réplétion, anorexie.mp4 si on posait les bonnes questions , suite .une adaptation était elle necessaire ?partie 2 une adaptation était elle necessaire ? 1ere partie Physiologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La physiologie regroupe des processus qu'elle étudie en grandes fonctions qui sont : Histoire[modifier | modifier le code] L'étude de la physiologie humaine remonte à au moins 420 avant J.-C. avec Hippocrate. La pensée critique d'Aristote et son accent sur la relation entre la structure et la fonction a marqué le début de la physiologie dans la Grèce antique, tandis que Claude Galien est le premier à réaliser des expériences pour étudier le fonctionnement de l'organisme, faisant de lui le fondateur de la physiologie expérimentale[1]. Domaines[modifier | modifier le code] La physiologie comporte plusieurs subdivisions regroupées en divers articles : Électrophysiologie[modifier | modifier le code] L'électrophysiologie est la partie de la physiologie qui mesure les courants électriques des cellules. Système nerveux autonome[modifier | modifier le code] Neurophysiologie[modifier | modifier le code] Physiologie sensorielle[modifier | modifier le code]
les bonnes questions à poser 1 le carburant adapté pour notre moteur... la fonction du plaisir_x264.mp4 stratégies végétales et responsabilité humaine. Les huîtres écolos, ça existe ? On fait le point sur les labels Rennes, correspondance Vous êtes en plein dans les préparatifs de Noël. Dans la dernière ligne droite. Les cadeaux sont prêts, restent le repas et ses douzaines d’huîtres. Alors que l’on s’efforce de faire au mieux pour acheter des produits locaux, de qualité, à faible empreinte carbone, comment s’y prendre avec les huîtres ? Le plus souvent lorsque l’on se rend sur les marchés, chez le poissonnier ou au supermarché, plusieurs indications figurent sur les présentoirs. Des chantiers ostréicoles dans le golfe du Morbihan. Il y a aussi les labels qui imposent un cahier des charges plus exigeant que le minimum réglementaire. Les huîtres triploïdes, modifiées génétiquement, ont trente chromosomes Tout cela représente beaucoup de variables à prendre en compte lorsque l’on fait la queue chez le poissonnier. Benoît Le Joubioux, président de l’association Ostréiculteur traditionnel. Le logo AB ne garantit pas que l’huître achetée soit née en mer Mais ce n’est pas tout. Photos : .
Comment ouvir une Huître ? Comment ouvrir une huître ? Avant d’ouvrir, il est absolument nécessaire de se protéger la main opposée à celle qui ouvre - avec un torchon plié, - ou une manique - ou un gant de cuisine épais. Prendre un couteau spécial pour huître, moins dangereux et plus solide qu’un couteau ordinaire. Calculez une distance aux trois-quarts de l’huître à partir de la charnière... ...et placez la lame. Enfoncez doucement la pointe de la lame dans l’huître en maintenant le bout avec le pouce. Descendez lentement la lame vers la charnière pour couper le muscle adducteur. Exercez une pression pour faire levier et enlevez le couvercle. L’huître est prête à être dégustée.
Huîtres - Les huîtres triploïdes sur la sellette Faut-il étiqueter les huîtres triploïdes sur les étals des poissonniers ? Est-il légitime d’informer le consommateur des particularités génétiques de ces mollusques stériles produits en écloserie ? Alors que l’ostréiculture traverse une crise gravissime, la traçabilité de ces huîtres fait plus que jamais débat. Tous les amateurs d’huîtres le savent : à l’arrivée des beaux jours, période de la reproduction pour ces coquillages, les huîtres se gonflent d’une matière blanchâtre peu appétissante qui freine leur consommation pendant l’été. Sauf que depuis une quinzaine d’années, la plupart des huîtres proposées sur les étals ne sont plus laiteuses. En 2001, le Conseil national de la consommation (CNC) avait demandé que les consommateurs soient informés du caractère polyploïde de ces huîtres et qu’une indication « huîtres triploïdes » soit rendue obligatoire dans l’étiquetage. Chute de la production Quid de l’étiquetage obligatoire ? Tétraploïdes : un risque pour l’environnement
Potassium : de l’or en barre ! Le Potassium, du latin « Kalium », est un élément chimique que l’on retrouve à l’état naturel sous la forme d’un sel minéral. Le plus connu des sels minéraux étant le chlorure de sodium, soit le sel que l’on utilise en cuisine. Le sodium et le potassium sont des pierres angulaires du système vivant. Ces deux éléments permettent à nos cellules de fonctionner. Mais alors où va-t-on trouver le haut taux de potassium ? La plante tropicale, l’igname, que l’on trouve de plus en plus sur les étals des grands primeurs, est un exemple de richesse en potassium. Les fruits secs type banane, abricot ou raisin, sont très riches en potassium (+ de 1000 mg pour 100g) Pour 100g de produit, les herbes aromatiques sont des sources d’excellence comme le persil (4490 mg), le basilic (2630 mg), les graines de coriandre (1260 mg) Les épices à l’image du Paprika, du curcuma ou du curry sont aussi des fournisseurs de Potassium. Ils contiennent plus de 400 mg pour 100g : Ils contiennent plus de 400 mg pour 100g :