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"Les MOOC sont une vraie valeur ajoutée à un CV"

"Les MOOC sont une vraie valeur ajoutée à un CV"
Jusqu’ici, pour avoir un diplôme, ils étaient obligés de suivre des cours, de rendre des devoirs et de composer des copies lors des examens. Mais depuis qu’ils ont découvert les MOOC, ils peuvent désormais tout faire de chez eux. Les "MOOCers" ont entre 18 et 60 ans, ils sont étudiants, femmes au foyer, professeurs, salariés, viennent de France, de Tunisie ou des Etats-Unis mais tous ont un même point commun : ils ont suivi des MOOC, des "enseignements de masse en ligne". Traduction du terme anglais "Massive Open Online Course", les MOOC permettent à des millions d’internautes de suivre à partir de leur ordinateur personnel un ensemble de cours, proposés par les universités les plus prestigieuses du monde. Au terme de leur cursus, ces "étudiants" obtiennent un diplôme qui, le plus souvent, vient compléter leur formation initiale. "Financièrement, c’est accessible à tous" Viviane Moussolna, 54 ans, formatrice pour adultes "Les mères qui suivent des études à distance, je connais" Related:  MOOC

Mini-vídeos Docentes Modulares En la docencia actual los métodos principales de transmisión del conocimiento son la pizarra tradicional, las transparencias (diapositivas) y los vídeos de clases completas, cada uno con sus ventajas e inconvenientes (Letón et al. (2010)). Recientemente, en Letón et al. (2011), se ha introducido el concepto de mini-vídeo docente modular (MDM), que intenta combinar lo mejor de los anteriores métodos. Los MDM están caracterizados por unos elementos concretos en términos de duración (5-10 minutos), soporte (transparencias minimalistas), metodología (pizarra digital), filosofía (Yo trabajo / Tú trabajas), formato (web y dispositivos móviles) e interconexión (modularidad). Históricamente se llegó a este concepto a través de Letón (2006), Letón et al. (2007) y Letón et al. (2009).

Christine VAUFREY Demain jeudi 28 juin, je vais animer un atelier aux Journées du e-learning de Lyon, organisées par l’université Lyon 3 et ses partenaires. Quatre témoins de pratiques « améliorées » de formation et d’apprentissage vont se succéder pour un débat avec la salle. Moi, je ne dirai pas grand chose, car je considère que j’ai dit tout ce que j’ai à dire (pour le moment) sur le sujet, dans le livre blanc L’apprentissage augmenté que j’ai coordonné pour Thot, à partir des articles publiés sur le site depuis quelques années. Tout, sauf une chose, que je partage ici. Je ne suis plus étudiante depuis longtemps. Maintenant, je n’ai plus besoin de diplômes supplémentaires. Au moment d’effectuer un choix de cours / parcours, je me trouve face à une profusion d’offres toutes plus intéressantes les unes que les autres. J’élimine d’emblée : – Les cours sur des sujets sans doute intéressants, mais pas directement liés à mes préoccupations professionnelles ou privées. – Les cours « tout papier en ligne ».

Mon premier certificat en MOOC | Geek Mag Ce fut par pur hasard, lors de mes lectures des actualités sur Scoop.it, que je découvre la notion de MOOC, jamais entendu avant. Qu’est ce qu’un MOOC???? Les MOOCs « Massive open online course», ce sont des cours ou des formations mis en ligne, ils différent de l’enseignement à distance grâce à leur gratuité d’une part et d’autre part à leur très large audience. En effet, les participants ne sont pas obligés de répondre à certains critères pour y participer, aucune exigence n’est nécessaire : enseignant ou étudiant, expert ou chômeur, jeune ou retraité, peuvent tous y participer à un MOOC gratuitement et ce pendant une période courte allant de 4 à 10 semaines. Ma première expérience avec MOOC!!! ma première expérience était avec le MOOC de Gestion de Projet du Professeur Rémi Bachelet en utilisant la plateforme Canvas. A la fin de ce MOOC, trois types de certificat gratuit sont délivrés par L’École Centrale de Lille: certificat basique, avancé et par projet. Like this: J'aime chargement…

and MIT release working papers on open online learning Harvard University and the Massachusetts Institute of Technology (MIT) today released a series of working papers based on 17 online courses offered on the edX platform. Run in 2012 and 2013, the courses drew upon diverse topics — from ancient Greek poetry to electromagnetism — and an array of disciplines, including public health, engineering, and law. The series features detailed reports about individual courses; these reports reveal differences and commonalities among massive open online courses (MOOCs). In the coming weeks, data sets and interactive visualization tools will also be made available. The papers analyze an average of 20 gigabytes of data per course and draw on interviews with faculty and course teams as well as student metrics. Key takeaways Course completion rates, often seen as a bellwether for MOOCs, can be misleading and may at times be counterproductive indicators of the impact and potential of open online courses. Forward thinking

Des MOOCs et des idées Faut-il considérer les MOOCs comme une matière première susceptible d'être transformée, et intégrée à des produits offrant une valeur ajoutée supérieure ? C'est ce que semblent indiquer quelques expérimentations en cours aux Etats-Unis. Le MOOC dans la classe inversée L'université de San Jose (San Jose State University) en Californie a conclu un accord avec EdX (la plateforme de MOOC créée par le MIT et l'université de Harvard) pour utiliser certains MOOCs dans les curriculums dispensés sur ses 23 campus. Cette intégration s'effectuera dans un dispositif dit de "flipped classroom", ou classe inversée : les étudiants s'inscriront aux MOOCs indiqués par leurs enseignants, et suivront ces cours depuis chez eux. Ce dispositif a été expérimenté lors du premier semestre de l'année universitaire en cours par un professeur d'électronique de l'université de San Jose. Les MOOCs en cours de soutien Les MOOCs pour la formation continue des enseignants En Europe... McGuire, Robert. SWSWEdu.

Le MOOC, ou le retour du prof Aujourd’hui, j’ai eu le plaisir de participer à la conférence intitulée « MOOC et formation continue », évènement organisé par CCM Benchmark, avec le concours d’Orange, du JDN, du Figaro étudiant, et tout ceci à l’université Paris-Dauphine. Je suis intervenue sur le thème « MOOC et e-learning : points de convergence et de divergence », en compagnie de Véronique Saguez, enseignante de SVT et consultante académique pour les TICE. La première chose qui m’a été demandée, et la seule que je traiterai dans ce billet, c’est « est-ce que les MOOCs constituent une rupture vis à vis du e-learning tel qu’il se pratique depuis 20 ans« . J’arrête là, persuadée que vous pouvez vous-même poursuivre la liste ad libitum. L’accompagnement de l’apprenant. Dans le même ordre d’idée, j’ai insisté sur le fait que tout dispositif pédagogique est le produit de sa culture. Jusque là, nous ne voyons pas de véritable rupture entre le e-learning et les MOOCs, juste des points de vigilance. Donc, finalement, quoi ?

MOOC… Source d'inspiration pour les organismes de formation ? Le phénomène MOOC (massive online open course) : des cours gratuits, diffusés par des universités des plus prestigieuses (Harvard, MIT…), sur lesquels se ruent des centaines de milliers d'étudiants, officiellement ou non engagés dans un cursus universitaire. Quelques plateformes de diffusion (Coursera, EDX), soutenues par de puissants intérêts et auxquelles les universités s'abonnent pour tenir leur place dans cette nouvelle compétition. Finalité : conquérir ces millions d'étudiants sensibles aux grandes marques qui oeuvrent dans le secteur de l'éducation comme ailleurs ; des marques en cours de dématérialisation car l'éducation en ligne s'affranchit progressivement de la salle de TD ou de l'amphithéâtre traditionnels. Ces MOOC finiront par s'intéresser au monde de l'entreprise… Un marché prometteur, solvable, pour des universités et des grandes écoles qui doivent impérativement trouver de nouveaux revenus pour financer cette course mondialisée à la taille critique. Michel Diaz

MOOC : les profs face aux nouveaux cours en ligne C’est le mot de la rentrée universitaire : MOOC. Du moins, parmi les mesures de la ministre de l’Enseignement supérieur Geneviève Fioraso et dans les médias. Ces cours massifs ouverts en ligne nés aux États-Unis en 2008 ne cessent de prendre de l’essor et la France vient d’annoncer sa future plateforme. « Mooc ? Un sondage Opinionway pour le ministère publié mercredi révèle en effet que seuls 18% des enseignants savent précisément de quoi il s'agit et seuls 3% en ont déjà suivi un en entier. MOOC : Massive Open Online Course. Pour Geneviève Fioraso, cette révolution numérique digne de celle de l'imprimerie n'attend pas. A l'heure déjà des smartphones et tablettes en amphi, Rémi Bachelet n'a pas attendu ce top départ officiel étoffé notamment de la star des maths françaises, Cédric Villani. Maître de conférences à l'école Centrale de Lille et ancien administrateur de Wikimedia France, il est le chantre de MOOCs qu'il considère bien comme une formation complémentaire. >>> Et vous ?

Marcel Lebrun: De qui se MOOC-t-on ? Numérique Les MOOC, ce sont les Massive Open Online Courses, des cours en ligne ouverts (on s’y inscrit gratuitement sans condition préalable), et rassemblant des milliers d’étudiants répartis sur la planète entière. Tout a commencé, il y a 5 ou 6 ans, avec des vidéos de cours magistraux (dans tous les sens du mot) postés par Berkeley sur YouTube ou MIT sur iTunes-U. Dès 2011, de tout aussi prestigieuses universités s’associent en consortiums, tels edX ou Coursera pour proposer des parcours pédagogiques en ligne alternant séquences vidéo, exercices et, parfois, activités collaboratives Certains proposent un certificat de participation et d’assiduité. Dans la famille des MOOC, il est important de distinguer les xMOOC (centrés sur l’enseignant et constitués d’exposés et d’exercices) et les cMOOC (connectivistes basés sur les interactions des participants et dont le centre est partout). Une contribution du Professeur Marcel Lebrun parue dans LaLibre.be

Apprendre/désapprendre : sur la ligne de crête des apprentissages numériques A l’occasion de la parution de la 3e édition du Digital Society Forum consacrée aux nouvelles formes d’apprentissages (la première édition était consacrée aux nouvelles relations, la seconde à la famille connectée), en partenariat entre la Fing (et notamment son média, InternetActu.net), Psychologies Magazine et Orange, nous republions le texte introductif du sociologue d’Orange Labs, Dominique Cardon, qui revient sur les rapports entre éducation et technologies. Une bonne introduction aux deux principales problématiques de l’apprentissage : qu’est-ce qu’apprendre et qu’est-ce que change le fait d’apprendre avec le numérique… En elles-mêmes, les Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement (TICE) ne sont causes de rien, ne rendent pas les enseignants plus pédagogues, les enseignés plus performants ou la société plus savante. Regarder ailleurs Qu’apprendre ? Alors, si le savoir est dans le réseau, toujours à portée de main, que faut-il apprendre ?

Différents types de MOOCs Le terme MOOC : Massive Online Open Course, ou cours ouvert massivement multi-apprenants, a été proposé en 2008 et popularisé par quelques universités américaines l’année dernière. La première caractéristique de ces cours est qu’ils sont ouverts à tous, chacun pouvant s’inscrire à son gré. La deuxième dimension est que le nombre d’inscrits fait que les échanges entre participants (on parle aussi de pairs) sont encouragés, voire deviennent la forme primaire de l’apprentissage, ou de l’accompagnement. On assiste donc bien à un phénomène nouveau coté cours en ligne : des cours ouverts, non limités en nombre de participants (et c’est sans doute la caractéristique la plus innovante), et dont certains regroupent effectivement un grand nombre de participants. Le premier type de MOOC est basé sur une démarche participative, où chacun effectue ses propres recherches d’informations, échange avec ses pairs, et publie ses propres conclusions sur le site de son choix. J'aime : J'aime chargement…

Tips for new MOOCers Back in April, I attended my first ever MOOC. What is a MOOC you ask? A Massively Open Online Course, for a great introduction check out this video. I found the course to be useful, but also frustrating. It lacked a little in design – or at least that was my thought at the time, now that I know a little more about MOOCs, I'm starting to "get it". I'm planning to take another MOOC – eduMOOC. That being said, one thing I'm finding lacking in these MOOCs is advice for those that are new to MOOC and those that are new to learning online. So as an experienced online learner and not so experienced MOOCer, I figured I'd offer a few tips for getting the most out of a MOOC: You don't have to read everything. Technically the course starts next week, June 30, but already people have started to introduce themselves. If you are an experience MOOCer reading this and you have some tips to share, please leave a comment.

Should you start a MOOC? By Frank Kenna Digital technology continues to change the world as we know it, with one of the latest changes being the advent of massive open online courses. MOOCs are online education classes offered by leading universities such as Stanford, Harvard, Yale and MIT. Anyone can join these classes for free and without registration, creating unprecedented access to the world’s top thinkers and teachers. Translated into workplace jargon, think of the communication and employee-learning gains you could attain if you could reach 1,000 times as many of your employees at a time. While you may not have the educational resources of a Yale or Harvard, you do have the digital tools available to ratchet up your communications. Digital signage, which has become popular in the last few years, has been a step in that direction, offering one-to-many communication capabilities. So now may be the perfect time for you to start a MOOC - in the form of a DS implementation at your workplace.

Quelles modalités d'évaluation pour les MOOCs ? Aucun doute, le MOOC est bel et bien une tornade qui s'apprête à faire voler les vieux papiers des universités. Après un an à peine d'existence, ce nouveau modèle de distribution des cours s'apprête à entrer de plain-pied dans les cursus académiques. Ceci, grâce à l'adjonction de véritables crédits universitaires au certificat qui attestait jusqu'ici du succès des courageux ayant suivi l'intégralité d'un cours et ayant réussi l'examen final. Des examens surveillés pour obtenir des crédits universitaires Le New York Times annonce en effet que l'American Council of Education et Coursera ont pour projet d'examiner en 2013 les savoirs réellement acquis par les étudiants ayant suivi au moins un Mooc par le biais de Coursera, en les comparant à ceux qu'acquièrent les étudiants en présence suivant le même cours. Les participants engagés dans un MOOC distribué par edX (plateforme animée par le MIT et les universités de Harvard et de Berkeley) auront la même possibilité. À lire : Jeffrey R.

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