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Transhumanisme : demain, l'Homme amélioré

Transhumanisme : demain, l'Homme amélioré
De l’Homme réparé à l’Homme augmenté et presque immortel, il n’y a qu’un pas… Dans le billet précédent, nous vous avons présenté quelques applications concrètes, bien réelles, dont le but est simple : réparer l’être humain. Soigner les blessures, mais aussi réparer, corriger les imperfections de la nature. Mais le transhumanisme ne s’arrête pas à cette étape. La prochaine, essentielle, consiste à passer de la réparation à l’amélioration. Sans que nous n’en ayons forcément besoin de prime abord, nous pourrions dans un avenir proche, troquer nos jambes contre de nouvelles, artificielles mais “fashion”, ou hyper rapides. Et nous pourrions aussi, pourquoi pas, décupler notre intelligence ou nos capacités cognitives, grâce à la stimulation cérébrale, aux interfaces cerveau-machine et aux neurosciences... Avec les progrès de la science, les rêves transhumanistes sont une réalité tangible. "Connected" - Kasey Mcmahon Le mécano humain Des caméras dans le corps "Improvement" - Ijal Sasino

Transhumanisme : technologie d'avenir, débat d'aujourd'hui Transhumanisme, acte IV. Cette semaine, la parole est aux experts : David Latapie et Didier Coeurnelle, de l'Association Française Transhumaniste ; Rémi Sussan, journaliste à Internet Actu ; et Jean-Michel Besnier, philosophe, auteur de "Demain, les posthumains". Tous sont passés derrière notre micro pour nous donner leur avis sur notre avenir, aux couleurs de l'augmentation. Le transhumanisme, une chance de dépasser "la tyrannie de la naissance", d'aller "plus loin", d'être "plus libre", indique David Latapie. Un jour, grâce aux NBIC, comme nous l'avons vu, nous pourrons peut-être augmenter considérablement notre durée de vie, vivre jusqu'à 100, 200 ans, sans vieillir. "En vivant plus longtemps, on se sentira plus heureux", remarque Didier Coeurnelle. Doit-on avoir peur, ou au contraire porter tous nos espoirs dans les améliorations ? A lire aussi (et pour s'y retrouver) : 1/ Transhumanisme : en route vers l'Homme augmenté 2/ Transhumanisme : aujourd’hui, l’Homme réparé

Transhumanisme : en route vers l'Homme augmenté Bienvenue dans votre futur. Un futur proche, très proche. Que vous avez le pouvoir de façonner... ou de laisser entre d’autres mains. Voici le premier billet d’une série consacrée à un courant de pensée technophile qui a déjà beaucoup fait parler de lui, j’ai nommé le transhumanisme. Vous connaissez sûrement les mythes de la pierre philosophale, de la fontaine de Jouvence, du Saint Graal, de Prométhée, d’Icare. Intelligence artificielle, robotique, nanotechnologies : la science progresse, inexorablement. A quand des implants, directement dans le cerveau, qui nous permettront de mieux voir, de surfer sur internet par l’esprit, sans smartphone ou sans Google Glass ? “Humain +” Kezako, le transhumanisme ? En s’appuyant sur les progrès de la science, nous modifierons notre corps et notre esprit, décuplerons nos sens et notre intelligence, et deviendrons des “Humains +”. Certes, ça peut vous sembler fantaisiste, ou utopique. Fusionner avec la machine L’ère de la Singularité Parler des risques

Transhumanisme : un futur entre nos mains Dernière étape de notre voyage dans l’univers transhumaniste. Pour finir en beauté, je vous propose de découvrir deux scénarios : celui où, grâce aux technologies émergentes et aux améliorations, tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes ; et celui où, au contraire, tout virera au cauchemar. Entre les deux se trouve, peut-être, la solution... Immortels et heureux Quel futur imaginer ? D’abord, l’immortalité serait garantie, ou plutôt “l’allongement considérable de la durée de vie”, jusqu’à 200 ans, voire plus. Cerise sur le gâteau : en nous injectant peut être une “hormone du bonheur”, nous deviendrons des “transhumains bouddhas”, sages et heureux, jamais dépressifs, atteignant le “bonheur permanent”. Et c’est sans parler de notre intelligence qui sera décuplée, de même que nos sens, ou notre force. La fin de la “loterie génétique” Grâce au séquençage ADN, nous pourrons aussi reprogrammer nos gènes pour corriger nos défauts et accroître nos performances. L’oligarchie transhumaniste

Transhumanisme : aujourd’hui, l’Homme réparé Credit : sous licence CC, par Kosmur. Deuxième étape de notre voyage dans l’univers du transhumanisme. Après vous avoir présenté ce mouvement qui entrevoit un futur où l’être humain pourra améliorer ses performances, voici venu le moment de vous prouver que le transhumanisme n’est pas qu’une philosophie, mais est aussi (déjà) une réalité. Car les transhumanistes s’appuient davantage sur les avancées techniques, que sur la science-fiction. Au premier plan, les progrès de la science liés à la médecine. Pour faire simple, aujourd’hui déjà, grâce aux NBIC, l’Homme peut être “réparé”, comme n’importe quelle machine. L’homme bionique Vous avez sûrement gardé en tête les images du film Robocop, ou encore de la série L’homme qui valait 3 milliards, ces histoires d’humains “abîmés” qui sont réparés grâce à un dispositif mécanique. Les exemples ne manquent pas. Point de mystère : c’est de la science. Très prochainement, l’italien Pierpaolo Petruzziello, lui, va bénéficier d’une main... robotique.

TRANSHUMANISME : EN ROUTE VERS L'HOMME AUGMENTÉ Samedi 17 août 2013 6 17 /08 /Août /2013 10:13 Un futur où l'Homme fusionnerait avec les machines ? Où il ne connaîtrait plus la maladie, la vieillesse, voire la mort ? C'est ce qu'imaginent les transhumanistes. Bienvenue dans l'ère de l'Humain +. Bienvenue dans votre futur. Vous connaissez sûrement les mythes de la pierre philosophale, de la fontaine de Jouvence, du Saint Graal, de Prométhée, d'Icare. Intelligence artificielle, robotique, nanotechnologies : la science progresse, inexorablement. A quand des implants, directement dans le cerveau, qui nous permettront de mieux voir, de surfer sur internet par l'esprit, sans smartphone ou sans Google Glass ? “Humain +” Kezako, le transhumanisme ? En s'appuyant sur les progrès de la science, nous modifierons notre corps et notre esprit, décuplerons nos sens et notre intelligence, et deviendrons des “Humains +”. Certes, ça peut vous sembler fantaisiste, ou utopique. Fusionner avec la machine L'ère de la Singularité A ses côtés, Google.

Qu’est ce que le transhumanisme ? Bonjour Marc, tout d’abord et étant donné que c’est la première fois que nous abordons le sujet sur Mesacosan, pourriez-vous nous donner votre définition du transhumanisme ? Je vous remercie d’abord de votre accueil et de votre intérêt. Vous avez raison, je pense, de parler de « notre » définition du transhumanisme parce que, à l’AFT Technoprog! Cela dit, pour simplifier, je rappellerai les grandes lignes. premièrement, l’humain n’est pas quelque chose de figé ni dans sa condition, ni dans son état biologique actuel. A partir du moment où l’on a dit cela, il est possible d’imaginer une infinie diversité de ce que chacun souhaitera appeler une « amélioration » de sa condition. Les transhumanistes semblent vouloir penser que nous allons, dans un futur plus ou moins proche, pouvoir sculpter à notre convenance notre corps et notre esprit et augmenter sans limites nos performances, n’est-ce pas inquiétant ? Mais j’aimerais préciser deux choses.

Copy of Le Transhumanisme by Yevez Loyerze on Prezi Transhumanisme Patrick Juignet, Philosciences.com, 2010. Le transhumanisme est un mouvement prônant l'usage des sciences et des techniques afin de développer les capacités humaines et de dépasser les limitations de l'homme. Un renouveau du transhumanisme voit le jour du fait des développements technologiques contemporains sans précédents, concernant l'usage de l'informatique et les biotechnologies. Les dangers d'une telle évolution préoccupent aussi le mouvement transhumaniste. Le fondement scientifique du transhumanisme comporte trois volets majeurs : 1/ L'humain et l'humanité ne sont pas fixés mais en évolution. 2/ Le monde et en particulier le vivant sont fondés sur l'organisation. 3/ L'organisation est fondamentalement information. Les deux premières affirmations nous paraissent juste mais nous restons interrogatif sur la troisième (voir information). Ces technologies soulèvent des questions scientifiques, sociales et éthiques nouvelles.

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