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Le développement du langage chez l'enfant de 1 an à 3 ans

Le développement du langage chez l'enfant de 1 an à 3 ans
Les habiletés de communication des enfants commencent à apparaître dès le début de leur vie. Durant les 12 premiers mois, les bébés apprennent à communiquer et découvrent les sons de leur langue. Ils « s’entraînent » à les utiliser en babillant. Vers 12 mois, ils commencent à utiliser des mots simples. De 18 à 24 mois, on assiste souvent à une explosion du vocabulaire. Comment l’aider à progresser? Voici quelques conseils et activités visant à favoriser le développement des habiletés langagières de votre enfant de 1 an à 3 ans. De 12 à 18 mois Les enfants de 12 à 18 mois utilisent des mots simples pour indiquer les choses qu’ils voient et pour exprimer ce qu’ils veulent (par exemple, « encore »). À cet âge, les jeunes enfants aiment souvent regarder des livres, particulièrement ceux qui présentent des illustrations très colorées. Lorsqu’on leur lit une histoire, ils peuvent participer en montrant les images qui correspondent aux mots nommés ou en les nommant eux-mêmes. De 18 à 24 mois

Rédaction au primaire - Élocution, vocabulaire, rédaction L'enfant qui s'ennuie « Je ne sais pas quoi faire! » Plusieurs enfants s’ennuient quand ils n’ont pas d’autres enfants ou des adultes avec qui jouer. Ce qui a changé, c’est la façon dont les adultes perçoivent cet ennui et y réagissent, ainsi que l’incapacité de certains enfants à le gérer. Beaucoup d’enfants, même très jeunes, ont un agenda chargé. En service de garde, les enfants ont de nombreux partenaires de jeu. Apprendre à son enfant à jouer seul Certains enfants n’ont pas appris à jouer seuls. Commencer une activité avec eux, les aider au début, puis vous éloigner. Et si l’ennui était formateur... Plusieurs chercheurs considèrent l’ennui chez l’enfant comme un tremplin vers la créativité. L’ennui amène aussi l’enfant à appréhender la réalité différemment. Encourager l’initiative Vous aurez avantage à ménager des plages libres dans l’horaire de vos enfants.

La pédagogie Montessori, c’est quoi ? Voici un très bel article paru sur « psychologie.com ». La seule critique que je pourrais faire, selon mon expérience, c’est qu’il est tout à fait possible pour pratiquement tous les enfants de s’adapter très rapidement dans une école Montessori en venant du système traditionnel. Encore cette semaine, un petit garçon de 8 ans est arrivé dans ma classe et s’est tout de suite mis au travail individuel, et à l’ambiance de la classe. Ses parents m’ont d’ailleurs écrit pour me dire qu’il était très heureux. J’ai même vu des élèves arrivés en classe de terminale s’adapter en une semaine et devenir plus Montessoriens que certains scolarisés depuis plusieurs années. Je ne suis pas non plus d’accord avec le fait que les enfants des écoles Montessori soient moins cadrés. Enfin, cet article est paru il y a environ 3 ans, et depuis de nombreux professeurs des écoles installent la pédagogie Montessori dans leurs classes. Sylvie d’Esclaibes Chacun fait son travail. Anne-Laure Vaineau J'aime :

5 clés pour donner confiance à son enfant Peur du noir, stress, crises de colère… Les parents sont à même d’aider leurs enfants à dépasser ces zones de turbulence émotionnelle sans le secours de professionnels. C’est la conviction de la psychologue Lise Bartoli, qui, dans L’Art d’apaiser son enfant, propose des outils simples et ludiques. Anne Lanchon Sommaire Les pères et mères d’aujourd’hui n’ont plus confiance dans leur savoir-faire parental, déplore la psychologue et hypnothérapeute Lise Bartoli. Certains parents préféreront la visualisation, d’autres le conte… L’idéal serait, lorsque l’on se sent soi-même calme et détendu, d’utiliser ces deux clés, mais pas le même jour. Faire appel à sa «partie-qui-sait-tout» L’inconscient, expliquait le psychiatre américain Milton H. Il s’agit ici de matérialiser cette « partie-qui-sait-tout », pour la rendre plus familière et la convoquer facilement. * Milton H. Le guider vers son «monde magique» Cette clé consiste à emmener l’enfant vers un monde de bien-être, où il se sent en confiance.

Stimuler le langage dans le plaisir et la simplicité | Un mot à la fois Qui dit « nouvelle année » dit aussi, souvent, « résolutions ». Celles-ci traduisent le désir louable de s’améliorer. Les résolutions des parents se résument fréquemment à faire plus ou mieux pour leurs enfants. Ainsi, si le plus vieux n’est pas très « moteur », on pense à l’inscrire à un cours d’activités sportives; si le plus jeune n’est pas très « jasant », on se dit qu’il faudrait le « pratiquer » à parler plus. Quatre ingrédients gagnants Il est largement reconnu que les parents jouent un rôle majeur dans le développement du langage de leur enfant (ce qui ne signifie pas, toutefois, que la stimulation des parents est en cause lorsqu’un enfant présente des difficultés langagières, car chaque tout-petit présente ses forces et ses défis). 1. 2. 3. 4. Cependant, pour certains enfants, la communication et le langage vont moins de soi.

L'enfant qui touche à tout Quand un enfant commence à marcher, un monde de découvertes s’ouvre à lui : il peut maintenant toucher à tout ce qui est à sa portée. C’est de cette façon qu’il explore les propriétés des objets (texture, sonorité, densité, goût, odeur). Durant les 2 premières années de sa vie, l’enfant développe sa curiosité lorsqu’il est en action et qu’il utilise ses sens (la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat et le goût). Pour encourager ce désir d’exploration et éviter les accidents, offrez à votre enfant un environnement stimulant et sécuritaire : enlevez de sa portée ce qui peut être dangereux; donnez-lui des objets à découvrir; expliquez-lui clairement les règles, en disant, par exemple : « Je ne veux pas que tu touches à… car tu pourrais te blesser »; redirigez le geste de votre enfant lorsqu’il s’oriente vers une source potentielle de danger ou de dégât. Par exemple, donnez-lui du papier pour dessiner, afin d’éviter une murale colorée dans le salon. Le respect des règles Entre 2 ans et 3 ans

Réussir à l'école, ça commence à la maison Quelle est l’influence de l’éducation familiale sur les premiers apprentissages à l’école maternelle ? Pour répondre à cette question, deux chercheurs ont mené une étude empirique qui porte sur 300 parents et leurs enfants scolarisés en dernière année de maternelle. Les apprentissages premiers des enfants (numérative, littéracie et apprentissages transversaux) ont été évalués et des questionnaires adressés aux parents ont permis de recueillir des informations concernant leurs aspirations, valeurs et pratiques éducatives. Les analyses montrent d’abord que ce sont les milieux sociaux les plus aisés qui adoptent les pratiques les plus en phase avec les exigences scolaires, ce qui explique – en partie – la meilleure réussite de leurs enfants. Ces résultats pourraient sans doute utilement contribuer, à la façon des « parenting program », à la conception et la mise en œuvre d’actions d’accompagnement, notamment auprès des parents dont le statut socioéconomique est le plus fragile.

Motivés, motivés (3/4) Nous avons vu dans les précédents épisodes que l’évaluation contrôlante n’est efficace que si elle passe par le compliment et que l’évaluation donnant un but et des informations permet d’arriver à de bien meilleurs résultats. Alain Lieury nous invite maintenant à observer ce qui renforce la motivation. Faut-il noter les élèves ? Episode 1 : Complimentez, il en restera toujours quelque chose Episode 2 : Feedback et gommettes L’idée de supprimer les notes, évaluation quantitative, a pour origine l’intuition que d’enlever des contraintes à l’élève est bénéfique à la motivation. Photo : Philippe Ibars A quelle motivation se fier ? Dans la théorie de l’autodétermination de Deci et Ryan, la motivation n’est pas unique et correspond à un continuum entre deux formes extrêmes : la motivation intrinsèque et l’amotivation ou démotivation. Compétition, rébellion et fuite Figure 1 : Les motivations (sous forme de pastilles) dépendraient à la fois du sentiment de compétence et du sentiment d’autonomie.

Comprendre les consignes: 1 à 3 ans Pour qu’un enfant respecte les consignes qui lui sont données, il doit d’abord les comprendre. Les consignes doivent donc être formulées en fonction de son niveau de compréhension. Plus l’enfant est jeune, plus les consignes doivent être simples, courtes et concrètes. En grandissant, il réussit à comprendre des directives plus complexes et plus longues. Comprendre les consignes: 3 à 5 ans 1 an à 2 ans L’enfant comprend : les consignes simples comme : « Assieds-toi », « Viens ici », « Donne-moi ta poupée », « Montre-moi ton camion. » Un geste explicatif est généralement nécessaire au début (vers 12 mois à 15 mois), par exemple montrer le sol lorsqu’il doit s’asseoir ou pointer l’objet à donner (livre, ballon, etc.). 2 ans à 3 ans Avant de penser que votre enfant ne vous écoute pas, assurez-vous qu’il a bien compris votre consigne. Attention aux consignes trop compliquéesLes consignes qui font référence au temps (ex. : « Avant de faire ceci, fais cela. ») sont difficiles à saisir.

Intervenir quand son enfant ne suit pas les règles Les enfants de 2 ans et de 3 ans ont de la difficulté à suivre les règles. Ceux de 1 an et de 1 ½ an sont encore moins enclins à y obéir. Cela vient du fait qu’ils n’ont pas encore leur propre notion du bien et du mal, et qu’ils comptent sur leurs parents pour les aider à se conformer aux règles. Les enfants de cet âge éprouvent également de la difficulté à se souvenir de celles-ci et à les appliquer dans des situations différentes. Ils ont tendance à se montrer très impulsifs et à se jeter tête baissée dans tout, au lieu de prendre le temps de réfléchir aux règles et à se comporter comme ils le devraient. Les parents aident leurs enfants à prendre conscience des règles en mentionnant et en précisant celles-ci, et en leur rappelant de tenir compte des sentiments des autres. Voici ce que vous pouvez faire pour aider votre enfant à comprendre et à respecter les règles : Les règles claires, concrètes et constantes permettent à l’enfant de socialiser et de se développer en toute sécurité.

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