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Les Minutes Marketing

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Marketing Community Quelle direction pour France Télévisions ? - Idées L’essentiel a été préservé. Les téléspectateurs de France 3 n’ont pas été privés des Chiffres et des lettres cet après-midi. L’émission, une des signatures de la télé publique, a bien eu lieu, malgré le mouvement de grève de 24h lancé par plusieurs syndicats de France Télévisions. Martine Martinel et Christian Kert J-C F © Radio France Dans le collimateur des grévistes : la direction du groupe, pour sa gestion « défaillante » et la mise en œuvre « calamiteuse » de l’entreprise unique. Direction et tutelle dans un même panier. En septembre dernier, nous avions déjà consacré une émission à la mise en place de mesures d’austérité pour la télé publique. « Y a-t-il une direction pour France Télévisions ? Et si oui, laquelle ? Suivez-nous aussi sur :

Le vide poches : le blog du planning stratégique 2.0 de PSST (opinions et tendances 2.0). By jérémy dumont, planneur stratégique (jeremy dumont) Films, programmes TV, jeux, musique, événements, les marques commerciales ne lésinent pas sur les moyens pour nous séduire… jusqu’à lâcher un homme en parachute dans l’espace* ! Le « Branded entertainment » arrive, accrochez-vous ! Vous avez dit comment, déjà, brain dead ? Paris 2.0. la grande messe du « branded entertainment » – qui s’est déroulée à Paris les 5, 6 et 7 mars vient à peine de s’achever, affichant au compteur pas moins de 60 campagnes réalisées pour les plus grandes marques – Oasis, Orangina, Nescafé, Crédit Agricole, Perrier, Axe, pour n’en citer que quelques unes – que la rédaction de BONUS a rencontré l’un des animateurs les plus dynamiques de cette manifestation en la personne de Jeremy Dumont. Mais au fait, c’est quoi le « branded entertainment » pour ne pas dire le divertissement de marque ? Buster PARIS 2.0 organisé par jeremy dumont : 60 campagne de branded entertainment

Les grands patrons et la presse: mais qu'est-ce qu'ils lui trouvent encore ? - Idées Est-ce parce que Gérard Depardieu est beaucoup plus costaud que Bernard Arnault ? Libération a en tout cas fait preuve d’une certaine retenue pour sa Une du jour, saluant (si l’on peut dire) l’exil fiscal du comédien vers la Belgique d’un simple « Manneken fisc ». Pas de « Casse-toi riche con » cette fois-ci. Il est vrai qu’on ne ressert pas deux fois la même invective. Il est vrai aussi que celle-ci aura coûté cher à Libé, plusieurs entreprises du secteur du luxe, et pas seulement LVMH, décidant de suspendre leur campagne de publicité dans le journal. Jean Stern et Bernard Poulet J-C F © Radio France Or plus que jamais, l’argent de la pub est le nerf d’une guerre que les journaux semblent en train de perdre. En France, 2012 aura vu l’arrêt définitif de France Soir, le passage de la Tribune à une version numérique et hebdomadaire. Et la poursuite du démantèlement de ce qui fut autrefois un empire : le groupe Hersant : 260 millions d’euros de pertes, 210 millions d’euros de dette.

Prodimarques La vie des Marques Communiqués de presse Juin 2017 : Prodimarques assigne Lidl pour illicéité de sa campagne de publicité comparative Prodimarques, l'association représentative des marques de fabricants de produits de grande consommation, a décidé, dans le cadre de sa mission de défense des intérêts de ses adhérents, d'assigner l'enseigne Lidl devant le Tribunal de Commerce de Paris. Prodimarques agit sur le fondement du caractère illicite de la dernière campagne de Lidl en regard du non respect des règles et conditions relatives à la publicité comparative. Retrouvez le détail du communiqué ci-joint. Novembre 2013 : La force des Grandes Marques Le classement mondial des marques de grande consommation, selon Kantar Worldpanel. Juillet 2013 : Campagne Prodimarques Novembre 2012 : Prodimarques met l'accent sur l'importance de l'emballage pour les Grandes Marques, un vecteur primordial d'innovation Retrouvez les témoignages de responsables de Grandes Marques dans le communiqué ci-joint. Vidéo-résumé

Google envisage de ne plus référencer les médias français Le géant de l'Internet Google a menacé dans un courrier au gouvernement obtenu de ne plus référencer les médias français s'il devait s'acquitter d'une taxe voulue par les éditeurs de presse et à laquelle est favorable la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti. Les éditeurs français ont demandé en septembre au gouvernement un projet de loi pour que les moteurs de recherche, comme Google, les rétribuent via le versement de droits voisins, une sorte de prolongation des droits d'auteur, en cas d'utilisation indirecte de leurs contenus. Cela reviendrait pour Google à payer pour chaque lecture d'un article vers lequel le moteur de recherche aura redirigé l'internaute. Google "ne peut accepter que l'instauration d'un droit voisin pour le référencement de sites de presse français mette en cause son existence même et serait en conséquence contraint de ne plus référencer les sites français", écrit le groupe dans un courrier du mois d'octobre à plusieurs cabinets ministériels.

ADETEM - Les enjeux du bras de fer entre Google et la presse Le bras de fer commence entre Google et la presse française. Le géant du web a sorti l'artillerie lourde, jeudi 18 octobre, en menaçant de supprimer l'ensemble des sites d'information de son moteur de recherche, pour s'opposer à la proposition de créer une taxe sur ses revenus. Une réaction "disproportionnée" selon Nathalie Collin, co-présidente du "Nouvel Observateur" et présidente de l'association de la presse d'intérêt politique et générale (IPG, qui rassemble aussi bien les quotidiens nationaux et régionaux, les hebdos et les magazines), la presse dénonce l'attitude de Google qui "s'érige en censeur". "Cette tentative d'étouffer tout débat par la menace est clairement un déni de démocratie", juge Nathalie Collin. Concrètement, "ça veut dire que brutalement, du jour au lendemain, les sites d'information disparaîtront de la vue des Français", a expliqué Marc Feuillée, directeur général du Figaro et président du Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN), sur France Inter.

Territoires : accepter 7 principes du marketing Le marketing territorial est un dérivé direct du marketing commercial et, à ce titre, il convient de le connaître un tant soit peu. Ne serait-ce que pour comprendre qu’il ne se résume à préconiser la création d’une marque. Une chance, le marketing est riche de réflexions, de théories, d’ouvrages et d’articles. Ainsi, ce recul important et cette abondante littérature permet de tirer, pour les besoins des territoires, quelques principes fondamentaux. Un avertissement cependant : un choc culturel est à prévoir. Nous ne sommes plus au pays idéal de la démocratie participative ou de l’intérêt général, nous sommes dans le monde du commerce. 1 – Il vaut mieux être le premier que le meilleur. « Dans chaque catégorie, la marque leader est presque invariablement la première à s’être imposée dans l’esprit des consommateurs ». L’anticipation étant une clef parfois délicate à manier. 2 – Si vous n’êtes ni le meilleur, ni le premier, créez une nouvelle catégorie dans laquelle vous le serez.

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