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Big data : vos données en vente

Big data : vos données en vente
Après un récent changement de ses conditions d’utilisation, la banque Barclays se réserve le droit de vendre un agrégat d’informations à propos de ses utilisateurs à des entreprises tierces à partir d’octobre 2013. « Ces informations seront quantitatives et non personnelles, et vous ne pourrez pas être identifiés sur la seule base de celles-ci », ajoute la banque. Selon The Telegraph, les utilisateurs ne pourront pas refuser que leurs données soient partagées. En France, SFR a remporté en avril le troisième prix de l’innovation « Big data » en annonçant la commercialisation prochaine de ses données géolocalisées. Les données collectées par l’opérateur puis anonymisées, pourront ainsi renseigner les entreprises sur la fréquentation d’un lieu. De la même manière, des opérateurs britanniques ont lancé Weve, un groupement d’entreprise, pour vendre les données de leurs utilisateurs. L’anonymat de ces données est cependant impossible à garantir complètement. Alexandre Léchenet

Kickstarting final development on Data Dealer, a clever game about online privacy Wolfie sez, A few days before the NSA/Snowden fiasco, we released the first English version of Data Dealer, a game to provoke conversation about surveillance, personal data & online privacy in a really new, clever and fun way. It's a browser game about running your own Smoogle & Tracebook, tracking people, collecting millions of personal profiles and selling them to health insurance companies or governmental agencies. Play 'god' with other people's data! Or simply: PRISM, the Game. It's a very worthy project, and they've already done the development; they're looking for $50K to keep the doors open while they finish a deluxe, multiplayer version with a wide variety of exciting features (scroll down the Kickstarter page to "Full Featured Multiplayer Version"). Data Dealer - Legal?

Vos données personnelles sur internet peuvent valoir de l'or Les données personnelles sont devenues l'or noir du XXIème siècle, celui qu'on exploite et qu'on stocke pour une utilisation ultérieure. Mais s'il existe un marché du fer ou des métaux non ferreux, il n'y a pas encore une bourse des données personnelles. Une étude de Vodafone pour le Royaume Uni indique que la monétisation des données pourrait injecter 21 milliards d'euros dans l'économie britannique! La somme a de quoi faire rêver. "Il y a plusieurs méthodes pour estimer la valeur des données, tempère Mouloud Dey, directeur Solutions et Marchés Emergents chez SAS, on peut prendre la capitalisation de Facebook et diviser par le nombre d'abonnés, ce qui fait de 40 à 300 dollars par personne selon la valeur de l'action. On peut aussi estimer cette valeur en calculant le manque à gagner quand les données disparaissent, à la suite d'un piratage ou d'un accident. Le calcul montre que ces données valent 1,18 dollar par personne..." Les données nues ont peu de valeur Le KGB en a rêvé...

[Infographie] Comment Google, Yahoo, Apple, Facebook et Amazon vous surveillent Mercredi 26 juin Web - 26 juin 2013 :: 11:30 :: Par Une infographie nous renseigne sur les données récoltées par les géants du Web, sur les techniques pour les récupérer et sur l’utilisation qui en est faite. Alors que l’affaire PRISM continue de créer le scandale aux Etats-Unis et que la question de la vie privée refait surface, le site Baynote nous propose une infographie afin d’y voir plus clair en mêlant données et géants du Web. Que Google, Facebook et Yahoo collectent un certain nombre d’informations sur ce que nous leur donnons n’est pas réellement étonnant vu que ces sites font reposer une bonne partie de leur économie sur la publicité. Les données les plus récupérées sont les clics sur les publicités et les recherches effectuées mais il en existe d’autres. Un point important que rappelle cette infographie, c’est que toutes ces informations ne sont pas collectées de manière illégale ou frauduleuse. Voici l’infographie qui résume tout en détail : Crédit image : Baynote

Des données personnelles étaient librement accessibles sur le site de la région Ile-de-France « Next INpact » a révélé mardi une faille permettant d’accéder, sur le site de la région, à des documents personnels sans protection : CV, cartes d’identité, passeports, RIB… LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une faille dans le site de la région Ile-de-France : c’est ce qu’a découvert le média spécialisé dans le high-tech Next INpact, après le signalement d’un lecteur, et qu’il a relaté dans un article publié mardi 12 décembre. Concrètement, il était jusqu’à mercredi possible d’accéder, sans aucune protection, à des documents personnels comme des CV, mais aussi des photocopies de passeports, de cartes d’identité, de relevés d’identité bancaire, de bilans médicaux et autres types de fichiers. Des informations confirmées au Monde par la région Ile-de-France. Ceux-ci proviennent principalement de candidatures de stage et de contrats d’apprentissage envoyés à la région à travers le formulaire du site, qui permet de transmettre différents types de documents.

Who will stop Google? Finally, journalists have started criticizing in earnest the leviathans of Silicon Valley, notably Google, now the world’s third-largest company in market value. The new round of discussion began even before the revelations that the tech giants were routinely sharing our data with the National Security Agency, or maybe merging with it. Simultaneously another set of journalists, apparently unaware that the weather has changed, is still sneering at San Francisco, my hometown, for not lying down and loving Silicon Valley’s looming presence. The criticism of Silicon Valley is long overdue and some of the critiques are both thoughtful and scathing. The New York Times recently published an opinion piece that startled me, especially when I checked the byline. What do the U.S. government and Silicon Valley already have in common? Google, the company with the motto “Don’t be evil,” is rapidly becoming an empire. In Europe, there’s an antitrust lawsuit over Google’s Android phone apps. Mr.

Algorithmes : comment sortir de sa "bulle culturelle"? La journée commence, et que ce soit sur votre ordinateur, votre tablette, ou votre smartphone, c’est désormais acquis les GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) mais aussi les ASNS (Amazon, Spotify, Netflix, et Steam) vont jouer un rôle déterminant dans votre circulation et votre consommation au sein de l’offre culturelle. Pardon pour le postulat acronymique de départ, qui j’en conviens donne mal à la tête, mais de fait ce sont les nouveaux acteurs de nos choix culturels individuels, voire collectifs. Passons rapidement par la case exemple : vous recherchez le nouveau livre d’Elena Ferrante à paraître en janvier « L’enfant perdue », Amazon vous proposera aussi « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une » de Raphaëlle Giordano et vous ne risquez pas de sortir de votre zone de confiance littéraire, avec la suggestion d’un ouvrage de Virginia Woolf par exemple. Alors, question inspirée de Dostoïevski, comment se débarrasser de l’influence de ce double ?

Projet HEKKAH | Acting Without Reality En acceptant l’amitié Facebook d’Hekkah Awr, les statuts de chacun remontent instantanément dans un espace d’exposition public. HEKKAH possède ainsi un lieu où se réalise une réflexion sur l’identité numérique. Son autel matérialise un corps à travers une projection interactive où chaque spectateur peut y voir une incarnation de soi (tracking du public avec une Kinect). Ici, le corps d’HEKKAH devient alors, l’espace d’un instant, le miroir du visiteur, le sacrifice et l’échange d’un corps pour un autre. L’image d’HEKKAH est ainsi formée avec les extraits de nos vies numériques sur le réseau social Facebook.

Une base de données regroupant 1,4 milliard de mots de passe et d'identifiants a été découverte - Tech - Numerama La découverte est de taille : une entreprise est tombée sur une base de données de 41 Go qui contient plus de 1,4 milliard d'identifiants et mots de passe en clair. Mais il a été constaté que cet amas est avant tout un agrégat de fuites précédentes. C’est une découverte spectaculaire que vient de faire la société américaine 4iQ : en se concentrant sur la recherche de données volées, perdues ou fuitées dans les tréfonds du net, les employés de cette firme spécialisée dans la collecte de renseignements portant sur les menaces d’identité sont tombés sur une base de données regroupant une quantité immense d’identifiants et de mots de passe. « Le dépôt de 41 Go a été repéré le 5 décembre 2017 sur un forum communautaire clandestin. 1 400 553 869 de paires associant identifiant et mot de passe À la lecture du papier, il apparaît que cet ensemble d’informations sensibles est, pour partie, avant tout un agrégat de fuites antérieures.

Facebook Kills Social Roulette, The App With A 1/6 Chance Of Deleting Your Facebook Account If you want a digital detox, you’re going to have to pull the trigger yourself. Social Roulette is an app that would delete one in six users’ Facebook account data, but its founder confirms it’s been blocked by Facebook so it no longer functions. While there’s no specific policy prohibiting apps from deleting your data, Social Roulette is clearly counter to Facebook’s mission and business model. Social Roulette launched on Saturday as an online version of Russian Roulette, the lethal real-life game where a player places one bullet in a six-chamber revolver pistol, spins the cylinder, and fires the gun at their head. Social Roulette describes itself, saying “Everyone thinks about deleting their account at some point, it’s a completely normal reaction to the overwhelming nature of digital culture. The app capitalizes on exhaustion with social networks.

Max Schrems : «La vision américaine d’un Far West numérique où tout serait permis recule» Max Schrems s’est fait connaître en Europe en menant un combat juridique contre Facebook, alors qu’il n’était encore qu’un étudiant en droit. En 2015, il obtenait l’invalidation par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) de l’accord-cadre dit «Safe Harbor», qui protégeait insuffisamment les données personnelles des Européens transférées aux Etats-Unis. Le militant autrichien a récemment annoncé le lancement d’une organisation non gouvernementale. Après avoir mené seul ou presque votre bataille contre Facebook, pourquoi fonder une organisation ? Le droit à la protection des données personnelles est un droit fondamental : le huitième dans la charte européenne des droits fondamentaux. Comment une ONG débutante pourra-t-elle tenir tête à des géants comme Facebook ou Google ? Selon le principe du tout ou rien, nous ne lancerons NOYB que si nous parvenons à récolter 250 000 euros en promesses de dons d’ici fin janvier. Ce règlement permet-il vraiment un changement radical ?

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