Handshake Blog | On dustbins and the price of personal data Your Rating User Rating: 5 (1 votes) A recent article in the UK’s FT, Companies scramble for consumer data, June 12th 2013, shared some intriguing but puzzling insights into the market for personal information. Perhaps the strangest was a proposition which seemed to suggest a complete inversion of normal market economics. The reporter, Emily Steel, started her article by observing that: “Corporate competition to accumulate information about consumers is intensifying … pushing down the market price for intimate personal details to fractions of a cent.” This is very strange indeed because normal market dynamics suggest that as demand rises, all other things being equal, the price should rise rather than fall. The article was accompanied by a calculator that estimated the market value of the reader’s own personal data which returned values of less than a dollar – and often a lot less than a dollar (I know because I tried it multiple times changing my answers to see what happened).
Vos données personnelles sur internet peuvent valoir de l'or Les données personnelles sont devenues l'or noir du XXIème siècle, celui qu'on exploite et qu'on stocke pour une utilisation ultérieure. Mais s'il existe un marché du fer ou des métaux non ferreux, il n'y a pas encore une bourse des données personnelles. Une étude de Vodafone pour le Royaume Uni indique que la monétisation des données pourrait injecter 21 milliards d'euros dans l'économie britannique! La somme a de quoi faire rêver. "Il y a plusieurs méthodes pour estimer la valeur des données, tempère Mouloud Dey, directeur Solutions et Marchés Emergents chez SAS, on peut prendre la capitalisation de Facebook et diviser par le nombre d'abonnés, ce qui fait de 40 à 300 dollars par personne selon la valeur de l'action. On peut aussi estimer cette valeur en calculant le manque à gagner quand les données disparaissent, à la suite d'un piratage ou d'un accident. Le calcul montre que ces données valent 1,18 dollar par personne..." Les données nues ont peu de valeur Le KGB en a rêvé...
Les 5 étapes d’une stratégie Big Data efficace Qui ? Jean-Claude Muratore, DG de Turn France. Quoi ? Comment ? Pas besoin d'être technicien ou data scientist pour mieux connaître ses clients. 1/ La sensibilisation : prendre conscience de l’importance de vos données existantes Dans son CRM, une société stocke déjà des données transactionnelles, que ce soit on line ou off line : clients qui ont acheté dans un magasin ou sur le site ou le centre d'appels, statistiques de visites du site Web, performances des campagnes d’emailing, de publicité, display, de la vidéo, de la publicité sur mobile, télévision, ou presse. 2/ La structuration: Avoir une vision à 360° de vos clients La valeur de la base de données augmente avec les données d'audience provenant de fournisseurs de données tiers. 3/ La stratégie: Augmenter le taux d’engagement de votre cible avec des messages personnalisés. Il s'agit d'utiliser les informations sur les clients et prospects pour diffuser un message personnalisé, qui les touche parce qu’il est pertinent et utile.
The-Value-of-Our-Digital-Identity.pdf Des données personnelles étaient librement accessibles sur le site de la région Ile-de-France « Next INpact » a révélé mardi une faille permettant d’accéder, sur le site de la région, à des documents personnels sans protection : CV, cartes d’identité, passeports, RIB… LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une faille dans le site de la région Ile-de-France : c’est ce qu’a découvert le média spécialisé dans le high-tech Next INpact, après le signalement d’un lecteur, et qu’il a relaté dans un article publié mardi 12 décembre. Concrètement, il était jusqu’à mercredi possible d’accéder, sans aucune protection, à des documents personnels comme des CV, mais aussi des photocopies de passeports, de cartes d’identité, de relevés d’identité bancaire, de bilans médicaux et autres types de fichiers. Des informations confirmées au Monde par la région Ile-de-France. Ceux-ci proviennent principalement de candidatures de stage et de contrats d’apprentissage envoyés à la région à travers le formulaire du site, qui permet de transmettre différents types de documents.
La prévision du coût total de possession, nécessaire dans le cloud ? S'il est communément admis que le cloud computing permettrait de déployer plus facilement et à moindre coût, encore faudrait-il pourvoir apprécier les économies réalisées si toutefois il y en a. Afin de pouvoir aiguiller les managers dans les bonnes pratiques à adopter par rapport au cloud, l’institut de recherches Saugatuck Technology a privilégié l’approche du coût total de possession (ou TCO) pour hiérarchiser les types de projets pouvant être raisonnablement mis en place par l’apport d’une solution issue du cloud computing. En effet, les dirigeants et gestionnaires ont tendance à considérer le Cloud comme une ressource à faible coût et ainsi à transférer des tâches assez facilement vers le nuage. Une optique de gestion de projet à mettre en place L’étude révèle ainsi que la comparaison empirique des coûts face aux prévisions permet d’affiner l’approche à adopter par rapport au cloud. Des économies drastiques sur des postes à faibles charges de travail
Handshake Blog | The supply curve for personal data Your Rating User Rating: 0 (0 votes) In the TED talk, ‘What physics taught me about marketing’, Dan Cobley, a marketing director at Google, speaks about the Heisenberg Uncertainty principle. In a nutshell, this means that it’s impossible to exactly measure the position and momentum of a particle, because the act of measuring changes them. Dan’s “marketing takeaway” from this was that we should measure what consumers actually do, rather than what they say they’ll do. Those of you who’ve read our other posts will know why we cringed when he cited “better point-of-sale tracking” as a way things have ‘improved’ in this respect. But there is a lot of truth in what Dan says, and it applies to an interesting chart in a report by the Boston Consulting Group called ‘The value of our digital identity’. This is an intriguing stab at the ‘supply curve for personal data’, but you’ll notice it was constructed by asking respondents for their willingness to provide data at different price points.
Algorithmes : comment sortir de sa "bulle culturelle"? La journée commence, et que ce soit sur votre ordinateur, votre tablette, ou votre smartphone, c’est désormais acquis les GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) mais aussi les ASNS (Amazon, Spotify, Netflix, et Steam) vont jouer un rôle déterminant dans votre circulation et votre consommation au sein de l’offre culturelle. Pardon pour le postulat acronymique de départ, qui j’en conviens donne mal à la tête, mais de fait ce sont les nouveaux acteurs de nos choix culturels individuels, voire collectifs. Passons rapidement par la case exemple : vous recherchez le nouveau livre d’Elena Ferrante à paraître en janvier « L’enfant perdue », Amazon vous proposera aussi « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une » de Raphaëlle Giordano et vous ne risquez pas de sortir de votre zone de confiance littéraire, avec la suggestion d’un ouvrage de Virginia Woolf par exemple. Alors, question inspirée de Dostoïevski, comment se débarrasser de l’influence de ce double ?
#petitclub : les Data sont Big, mais sexy Qui ? Kilian Bazin, CXO de CaptainDash et co-fondateur des Data Tuesday, Davy Tessier, directeur général de Disko (en photo) et Christophe Ebro, fondateur de Clapfeeder. Quoi ? Le compte-rendu du Petit Club du jeudi 8 novembre sur le thème des Big Data, en partenariat avec l'agence Disko, lors de l'événement ConnectParis. Comment ? Ce traitement des données implique deux révolutions culturelles : la fin de la moyenne, pour adopter une approche atomique, d'une part et la fin des questions présupposée, d'autre part. Les Big Data trouvent des applications notamment dans la prédiction comportementale : "la prédiction, ce n'est que des probabilités" explique Davy Tessier. Application concrète avec Clapfeeder, un service de VOD sociale qui se lance fin novembre en France : il intègre un modèle prédictif pour recommander des films. Les équipes marketing vont devoir se convertir à la data. Ces articles vont vous intéresser :
Handshake Blog | Adam Tanner on the selling of personal data Your Rating User Rating: 4.9 (4 votes) An interesting article by Adam Tanner on the Forbes website in which he traces where one particular piece of junk mail came from. Tanner is a fellow at Harvard University’s Department of Government and is writing a book on the business of personal data. What’s immediately interesting about his article is that the junk mail he chose to investigate came from the American Civil Liberties Union, asking him, unbidden, to make a donation. It turns out that the ACLU, like many similar organisations, not only buys job lots of personal data, spending about $100,000 per year to do so, but it is busy selling the personal data of its own members. When asked to comment, Geraldine Engel, the ACLU’s deputy director of development noted that “Keeping the list (of their members) available to other groups or publications ensures that we will have access to their lists”.