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Directory:Walipini Underground Greenhouses

Directory:Walipini Underground Greenhouses
From PESWiki Page first featured January 14, 2010 "The Walipini utilizes nature’s resources to provide a warm, stable, well-lit environment for year-round vegetable production. A directory of resources pertaining to the Walipini underground greenhouse mothod developed by the Benson Institute in Provo Utah. One of the main principles involves embedding the greenhouse in the earth to take advantage of the earth's constant temperature, to store the solar energy collected during the day. The solar gain comes through a light-permeable material such as plastic, Visqueen, polycarbinate. The word "Walipini" comes from the Aymara Indian language and means "place of warmth". The Walipini was first developed more than 20 years ago; deployed in South and Central America. 2014 NOTE: We've come to realize that this really isn't as well-suited for the northern latitudes of N. Official Website Videos The Power Hour, Jan. 15, 2010 David Allan on Walipini greenhouse method Photo Gallery Construction Insulation

Un robinet à miel connecté aux ruches : révolution ou coup de bluff ? Notre expert y répond Reconnaissons-le, la communication est efficace : une vidéo vous montre du miel qui s’écoule directement de la ruche dans votre pot ou sur vos pancakes. Les enfants glissent leurs doigts sous le robinet et pas une seule abeille ne semble se préoccuper de ce qui se passe. De plus, l’argumentation est audacieuse : finies les récoltes classiques de miel soi-disant si stressantes pour les abeilles ; finies les manipulations des cadres qui les écrasent et l’utilisation de la fumée qui les assomment ; fini le brassage et le conditionnement du miel. Désormais on récolte du miel pur et les abeilles ne s’en aperçoivent même pas. En outre, l’enthousiasme est communicatif, d’autant que d’importantes autorités apicoles sont convoquées pour confirmer l’intérêt du système : le rêve des apiculteurs se réalise. De surcroît, le fonctionnement paraît simple. Ses concepteurs australiens la présentent comme « l’innovation la plus significative en apiculture depuis 1852 ». Venons-en au miel récolté.

Le Bhoutan : premier pays à passer à une agriculture biologique intégrale Image : Allpe Le Bhoutan, avec ses quelque 750 000 habitants, sera le premier pays à passer à une agriculture biologique intégrale, et ce avant 2020. La vente de pesticides et d’herbicides chimiques sera dès lors interdite. Les agriculteurs bhoutanais n’utiliseront plus de produits chimiques artificiels pour leurs cultures, mais uniquement des engrais organiques naturels obtenus à partir de leur bétail. Pour l’heure, une grande partie de l’agriculture bhoutanaise est biologique en raison du coût élevé des pesticides et des herbicides artificiels. Le Bhoutan a l’intention d’exporter ses aliments biologiques vers les grands marchés chinois et indien, ses voisins géographiques. Le ministre de l’agriculture Pema Gyamtsho, également agriculteur à l’instar d’autres ministres bhoutanais, a fait cette annonce lors du Sommet sur le développement durable qui s’est tenu à New Delhi (Inde) en début de mois. Pensez-vous qu’une telle chose puisse se produire dans un autre pays ?

mrmondialisation L’association de défense des droits des animaux, L214, révèle une vidéo pour le moins interpelante. Un homme employé dans un couvoir en Bretagne y exprime son ras le bol, son désarroi et son humanité, en filmant son quotidien au travail. Sur les images, des centaines de milliers de poussins, des êtres vivants, sont consciemment exterminés car jugés indésirables pour la production industrielle. Des poussins mâles ne répondant au besoin en poules pondeuses, ou des poussins malformés, meurent sans la moindre compassion, déchiquetés dans des broyeuses ou étouffés à la main dans des sacs poubelles. Lanceurs d’alertes, journalistes d’investigations et associations se battent pour montrer au monde des faits que les médias main-stream évitent d’afficher. Si certains s’occupent du sort de l’Homme, d’autres se penchent sur celui des animaux. Parmi ces animaux que les Hommes mutilent, torturent et massacrent à la chaîne, une partie d’entre eux ne seront même pas mangé. Source :

Accueil - La serre du futurLa serre du futur | Ici et maintenant ! Les bases du jardinage sol vivant Que signifie Jardiner « Sol vivant » ? En fait je vous en fait la confidence, c’est une expression que j’ai inventée. J’aurai pu appeler ce blog jardin « sans travail du sol » mais ça me plaisait pas de définir par la négative un thème aussi passionnant. août 2011 : cette planche a été préparée à partir du mois de février de la même année sans aucun travail du sol ! Pourquoi donc vouloir supprimer le travail du sol ? Pour mieux comprendre cela, imaginez que 90% de la vie souterraine est dans les 10 premiers centimètres du sol ! Vous l’aurez compris, je propose de remplacer le travail de l’outil par celui des organismes du sol. Découvrons la vie du sol « On estime actuellement que la faune du sol représente plus de 80 % de la biodiversité animale. Préserver ce milieu de vie extrêmement riche apparaît donc comme comme un enjeu à la fois agronomique et écologique majeur ! pédofaune et pédoflore : un diplopode (mille pattes) au milieu de fructifications de champignons. © Ph.

Masanobu Fukuoka Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Masanobu Fukuoka Masanobu Fukuoka, en 2002 Masanobu Fukuoka (福岡 正信, Fukuoka Masanobu?) (né le et mort le ) est un agriculteur japonais, connu pour son engagement en faveur de l'agriculture naturelle. Biographie[modifier | modifier le code] Microbiologiste de formation et spécialiste en phytopathologie, il travaille au Bureau des Douanes de Yokohama, à la Division de l'Inspection des Plantes. Il écrit le livre La Révolution d'un seul brin de paille, publié en 1975 au Japon, qui raconte et théorise son expérience en agriculture naturelle. « ...répandre de la paille... est le fondement de ma méthode pour faire pousser le riz et les céréales d'hiver. « Faire pousser des arbres sans élagage, sans fertilisant ni pulvérisations chimiques n'est possible que dans un environnement naturel. » « Comme la nourriture naturelle peut être produite avec le minimum de coût et d'effort, j'en déduis qu'elle devrait être vendue meilleur marché. »

OpenFarm's community-created guides help you learn to grow anything Backyard gardens and home-scale farms are popping up all over the world as people re-develop an interest in cultivating their own food, but gardening newbies can get a bit lost at times. While the ideal situation would be to learn alongside a seasoned gardener, most folks turn to the web for helpful tips and tricks. OpenFarm is a new open-source platform in which people can create guides to help others with their food-growing attempts, and can learn new info that others have shared. The site just launched after a successful Kickstarter campaign, and is in need of all kinds of growing guides, so if you have expertise with growing vegetables, herbs, flowers, or even fruit or nut trees, consider creating an account and creating some how-tos for others to benefit from! You’ll be teaching countless people how to grow their own food, empowering them from where you’re sitting right now. + OpenFarm The article above was submitted to us by an Inhabitat reader.

Potagers urbains : quels risques de pollution ? Réagissez : Partagez : Les potagers urbains conquièrent nos villes petit à petit. Potagers urbains, une bouffée d’oxygène pour la ville Les potagers urbains ont plusieurs objectifs : récupérer les espèces verts des villes, améliorer la qualité de l’air, lutter contre le bétonnage. Mais surtout, assurer une production d’aliments éco-compatibles, nourrissants, sains et économiques. Ainsi, nombreux sont ceux qui développent les potagers urbains pour faire pousser salades, choux, carottes et autres pommes de terre, ou pour remplacer les plantes décoratives des balcons par de la sauge, de la menthe ou encore de la ciboulette. Potagers urbains : un succès collectif Les potagers urbains pullulent ci et là, en particulier dans les grandes villes, où pollution et ciment asphyxient l’environnement. Le potager urbain se place ainsi comme une solution privilégiée pour faire face à des projections démographiques inquiétantes. Potagers urbains : le revers de la médaille

L'urbaculture, nouveau territoire des villes modernes Réagissez : Partagez : Le chiffre est significatif : 200 000. Chaque jour, c’est le nombre de nouvelles personnes qui ont besoin de se nourrir. Un boom significatif qui devrait faire culminer à 9 milliards, le nombre d’habitants sur la planète d’ici à 2050. Le mot « urbaculture », s’inspire du mot permaculture. Mais que désigne-t-il ? L’urbaculture : une démarche empirique, mais pas une science L’urbaculture ne peut pas être considérée comme une science, dans la mesure où elle ne s’appuie pas sur la méthode scientifique. Le permaculteur Bob Hopkins initie en 2005, le mouvement des villes en transition qui change l’échelle de la réflexion. Mais Hopkins l’a élargi à la ville, cherchant, face à la double menace du pic pétrolier et du dérèglement climatique, à créer des communautés résilientes. L’immeuble : lieu de prédilection à venir ? La maison individuelle entourée d’un jardin n’est plus le lieu de vie de la grande majorité des citoyens.

Des Graines en open source contre le brevetage du vivant Le plus grand reproche qui est fait à des groupes agro-industriels ou de chimie comme Montsanto, plus encore que les techniques de plantes OGM, est sans doute celui de vouloir s’accaparer la propriété du vivant, et notamment des graines. L’initiative « Graines open source » ou « semences open sources » vise à les en empêcher. Pour éviter que de nombreuses semences de plantes usuellement cultivées, une initiative dénommée « Open Source Seed Initiative » ou OSSI entreprend depuis 2001 de développer des semences en « open source« , c’est-à-dire libres de droits ou brevets (1). Il s’agit de préserver pour chaque agriculteur ou chaque jardinier la possibilité de cultiver les espèces de leur choix sans avoir à passer par des graines dont les Du Pont, Syngenta ou Monsanto s’accaparent la propriété. Graines de liberté L’écologiste indienne Vandana Shiva proposait dès 2009 d’appliquer les principes de l’open source aux semences. Le débat sur les brevets sur le vivant

La Colombie interdit l’épandage de Roundup C’est une première en Amérique du Sud. La Colombie a officiellement banni l’épandage de produits à base de glyphosate, dont fait partie le tristement célèbre Roundup de Monsanto. À quelques jours de la marche mondiale contre Monsanto, c’est une victoire qui pourrait se propager à d’autres pays. Le gouvernement colombien vient d’annoncer l’interdiction de pulvérisation de pesticides à base de glyphosate sur l’ensemble de son territoire. Ce pays d’Amérique du Sud de 47 millions d’habitants restait le seul à pratiquer l’épandage aérien, notamment pour éliminer les cultures illégales de coca qui fournissent les réseaux de cocaïne. D’un côté la lutte contre la drogue, de l’autre, la lutte contre le cancer. Asperger ces champs de pesticides était l’un des moyens d’action dont disposait le gouvernement pour tenter d’enrailler le narcotrafic. C’est alors que le ministre colombien de la Santé, Alejandro Gaviria, a décidé de bannir les épandages aériens de glyphasate.

Burkina Faso : Yacouba Sawadogo, l'homme qui a arrêté le désert Modeste paysan burkinabè, Yacouba Sawadogo a réussi là où les organisations internationales ont failli : stopper l'avancée du désert dans l'un des pays les plus arides du monde, et transformer ainsi la vie de milliers de Sahéliens. Au début, les voisins de Yacouba Sawadogo l'ont pris pour un fou. Comment planter des arbres allait sauver la terre craquelée de Gourga, village au nord-ouest du Burkina Faso, de l'avancée inexorable du désert ? Mais 30 ans plus tard, c'est bien une forêt d'une quinzaine d'hectares qui sert de rempart au sable rampant du Sahel. Outre le président Obama et les médias internationaux qui lui consacré moult reportages, l'expérience atypique de Sawadogo a fasciné jusqu'au réalisateur Mark Dodd, qui a produit le film " L'homme qui a arrêté le désert ", projeté fin octobre lors de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification ( UNCCD) à Changwon en Corée du Sud. Plantes médicinale vitales Droit de propriété contesté

6 gestes simples pour aider les abeilles - Page 3 sur 3 | Page 3 Geste #4 pour aider les abeilles – Hébergez des abeilles Autre petit geste assez simple, la construction d’un abri pour abeilles. Vous pouvez vous-même fabriquer un nichoir. Geste #5 pour aider les abeilles – Parrainez une ruche Chacun peut participer à une démarche qui vise à multiplier les ruchers, et les chances de survie des abeilles : Le parrainage d’une ruche ou d’une fraction de ruche devrait ainsi être accessible à la plupart. Pour parrainer une colonie d’abeilles d’environ 40.000 abeilles, on peut s’associer à 10 personnes : pour la même ruche, on compte un parrain par tranche de 4.000 abeilles. Chaque année, les abeilles vous remercient en vous envoyant les pots de miel correspondant à votre parrainage, pour les consommer vous-même ou les offrir à des amis, et faire connaître ainsi la nécessité de les protéger. Geste #6 pour aider les abeilles – Aidez à la lutte contre les frelons asiatiques On estime qu’il faut 10 frelons asiatiques pour détruire une ruche entière d’abeilles.

Pas un jardin d’enfants... Un jardin PAR les enfants. Et en permaculture, s’il vous plait Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), reportage « Venez les enfants, on va cueillir les fraises ! » Huit bouts de chou, boucles blondes et bouilles chocolat, se précipitent autour de larges bacs où cohabitent allègrement radis, fraises et plantes aromatiques. Nourrir les enfants avec les fruits et légumes de leur jardin en permaculture. A gauche, Hassina Ferhoune ; à droite, Samia Bayodi ; de dos, Valérie Chafik Un jardin dessiné sur-mesure par un permaculteur Le trio a vite déchanté. Pendant trois gros week-ends d’avril 2014, dont un pluvieux, la joyeuse troupe des maris, familles, amis et voisins a retroussé ses manches. « On a vu travailler côte à côte des mormons et des barbus musulmans, s’émerveille Valérie Chafik. Valérie Chafik nettoie la récolte de radis de ses protégés. « Former les petits aux gestes éco-citoyens » Aujourd’hui, pour Valérie Chafik et ses collègues, ce jardin est une formidable ressource. Mila et Iliana fières de leur cueillette de radis.

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