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Interview KTO V.I.P.

Interview KTO V.I.P.

►Arte, avec Raphaël Enthoven Pourquoi se cache-t-on pour faire l'amour ? Le plaisir vient-il de l'interdit, ou l'interdit s'explique-t-il par la structure même de ce plaisir ? Autrement dit, le sexe est-il d'abord cette transgression qui a besoin de perpétuer l'ordre qu'elle ébranle, ou cette douce sauvagerie à laquelle il faut poser des limites, pour faire mieux que les bêtes ? Invité : André Comte-Sponville André Comte-Sponville, né le 12 mars 1952 à Paris, est un philosophe français. Ancien élève de l'École normale supérieure de la rue d'Ulm (où il fut l'élève et l'ami de Louis Althusser) et agrégé de Philosophie, André Comte-Sponville a soutenu, en 1983, une thèse de doctorat en Philosophie intitulée "Éléments pour une sagesse matérialiste". A sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il enseigne durant un an la philosophie au lycée Adolphe Chérioux de Vitry-sur-Seine. Parmis ses œuvres : Bonus

AGEAC l'avenir de l'humanité Préface 1 Le but de ce texte est de vous proposer une réflexion sur l’évolution de notre société. La seule chose dont on soit certain, est que l’être humain ignore vers quoi il se dirige, quelle forme prendra la société , et quel prix devrons-nous payer pour nos erreurs avant d’y parvenir. Il semble que nous voguions au gré des circonstances, en espérant tous que notre modèle de civilisation s’améliore ; mais à l’évidence personne ne sait exactement quel chemin suivre pour y arriver. notre démarche se rapproche plus d’un tâtonnement à l’aveugle, que du résultat d’un développement rationnel. Pourquoi un tel manque de clairvoyance ? La question qui se pose est de savoir comment cesser cette errance intellectuelle, et s’il existe un raisonnement apte à nous guider en ligne droite ver notre objectif. Le point de départ de ce raisonnement part d’un constat : notre société est récemment parvenue dans le domaine de la prospérité à des résultats présentant une avancée certaine. Chapitre 1 Genèse 1.1

Philosophie (aperçu). Il serait mal aisé de marquer la place que peut actuellement occuper la philosophie (du grec philos, ami, sophia, sagesse) dans l'ensemble des connaissances humaines, si l'on partait de cette idée que chaque genre de connaissances trouve son objet nettement déterminé par la réalité elle-même et est capable d'en épuiser la notion : dans ce cas, les sciences proprement dites pourraient se partager, à l'exclusion de la philosophie, tous les objets positivement donnés ou même positivement concevables. Mais sans sortir du domaine des sciences, il est visible que le même objet peut donner lieu à des modes d'explication différents. C'est ainsi que l'espace peut être compris comme lieu des figures géométriques, comme idée présente à l'esprit, comme condition de la faculté de percevoir, et à ces divers titres relever de disciplines intellectuelles diverses. Suivant une tradition rapportée par plusieurs écrivains de l'Antiquité, notamment par Cicéron (Tusc. , V, 3), par Quintilien (Inst. . Aug.

Le désir Global search | Philosophie magazine « De la maison […] la philosophie a toujours fait peu de cas » : dès l’origine, elle s’est pensée par rapport à la cité et a fait de la ville le seul « théâtre » digne d’intérêt. C’est sur ce constat critique que s’ouvre le nouvel ouvrage d’Emanuele Coccia. L’espace domestique est devenu un « reste » obscur : « Écoles, cinémas, restaurants, bars, musées, discothèques, commerces, parcs, rues […] : c’était en dehors de la maison que le monde se faisait réellement expérience. » Le bonheur « a prétendu devenir un fait politique, une réalité purement urbaine. » En réalité, dans ce glissement, nous avons perdu le sens même du bonheur.

Michel Onfray ou la détestation du christianisme ? - Chrétiens en débats Il y a quelques semaines, Michel Onfray présentait sur une station de radio (le 21 octobre dans Un monde d’idées sur France Info, ndlr) sa dernière publication, le Magnétisme des solstices, cinquième volume de son Journal hédoniste (Flammarion). Le journaliste qui l’interrogeait lui faisait remarquer que ce livre manifestait une véritable détestation du christianisme et transpirait de hargne envers l’Église, alors même que l’influence de celle-ci avait considérablement diminué dans notre pays. Notre philosophe a répondu ceci : « Ce n’est pas parce que les églises sont vides que les têtes sont vidées du christianisme. (…) Dans les tribunaux, dans les hôpitaux, dans les écoles, le schéma chrétien fonctionne encore. Vous n’avez pas de crucifix dans les tribunaux. (…) Sauf qu’on y part du principe que nous sommes libres, que nous avons le choix. Par quel système remplacer le christianisme ? Une conception chrétienne de la personne Quid de la démocratie sans libre arbitre ? > Hippolyte Simon :

►Débat La santé du dirigeant, un capital pour réussir André Comte-Sponville : Rien n’est jamais passé ni futur, tout est présent André Comte-Sponville Ecrivain philosophe, chroniqueur à Psychologies, André Comte-Sponville vient de publier L’Etre-temps (PUF) après La Sagesse des modernes, écrit en collaboration avec Luc Ferry (Robert Laffont). Le temps Pour une fois, il ne s’agit pas de ce qu’il faut « faire » du temps (l’économiser, en trouver davantage, savoir en perdre…) mais de ce qu’il convient d’en « penser » (le passé, le futur, la nature du présent, la réalité du temps, dont quelques-uns doutent). Attention, cela relève de la métaphysique. Psychologies : On répète volontiers que le paradoxe du temps perçu est que le passé n’est plus, que le futur n’est pas encore, et que le présent est insaisissable. André Comte-Sponville : Que le passé ne soit plus, que l’avenir ne soit pas encore, ce n’est pas faux : c’est au contraire la stricte vérité, et même leur définition.

Ecrire à Compte-Sponville Posez vos questions à André Comte-Sponville par e-mail (a.c-s@orange.fr). S'il s'agit de questions générales, il y répondra volontiers ici même. Si vous ne souhaitez pas que votre nom figure sur ce site, merci de l'indiquer expressément. Monsieur Comte-Sponville, C'est à l'auteur de "L'esprit de l'athéisme" que je m'adresse pour lui demander ce qu'il pense de la position de Michel Benoît sur la question de la preuve de l'existence de Dieu. Dans un article reproduit sur son blog, intitulé: "l'univers: une preuve de l'existence de Dieu?" Ce plan d'organisation, tous les astrophysiciens sont contraints d'en constater à la fois l'existence et l'inimaginable précision. Les philosophes l'appellent une pensée directrice. Les religieux l'appellent "Dieu." En fidèle lecteur de vos livres (dont "Le miel et l'absinthe" est mon préféré), je serais donc très intéressé de connaître votre avis sur cette question. Croyez(?) Pierre Debray. Réponse d'André Comte-Sponville Cher Monsieur, Bien cordialement. Stéphane

Raymond Boudon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Boudon. Raymond Boudon Principaux travaux Thèse de doctorat, L'analyse mathématique des faits sociaux (1967)À quoi sert la notion de structure ? Raymond Boudon est un sociologue français né le à Paris et mort le à Paris. Il est connu pour ses recherches sur la mobilité sociale et l'inégalité des chances ainsi que pour sa défense de l'individualisme méthodologique. Biographie[modifier | modifier le code] Ancien élève de l’École normale supérieure de la rue d'Ulm, agrégé de philosophie, il enseigne la sociologie à l'université de Bordeaux puis est nommé professeur à l’université Paris IV-Sorbonne. Durant les années 1960, Raymond Boudon part aux États-Unis et collabore avec le sociologue américain Paul Lazarsfeld. En France, Raymond Boudon devient le chef de file de l'individualisme méthodologique, courant qu’il a introduit dans le paysage sociologique français, et qu'il a ensuite largement promu.

Interview La Revue-Médias « Je n’aime pas mon époque. Pourquoi m’aimerait-elle ? » André Comte-Sponville n’a jamais été un nouveau philosophe. On pourrait même dire qu’il philosophe à l’ancienne. A la recherche d’une morale laïque. Vous êtes un philosophe médiatique. Quand vous dites « les gens vous connaissent », c’est la version gentille de la chose : cela peut vouloir dire que je suis un philosophe connu. Ce qui me fait fantasmer - même si c’est évidemment absurde -, c’est ce qu’auraient pensé de mes livres Aristote, Montaigne ou Pascal, ou ce qu’on en dira dans deux ou trois siècles. On vous voit moins à la télé. On m’y invite de moins en moins... Avez-vous été blessé par certaines critiques vous réduisant à un philosophe « populaire » ? Vous connaissez la formule de Diderot : « Hâtons-nous de rendre la philosophie populaire ! Avant « Le Petit Traité des grandes vertus », j’avais publié trois livres, qui ont eu un succès d’estime. photos : Isabelle Nègre Philosophe de droite ? J’ai toujours été de gauche.

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