Patrimoine photographié, patrimoine photographique - Raphaële Bertho, Jean-Philippe Garric et François Queyrel (dir.) Avant-propos La journée d'étude « Patrimoine photographié, patrimoine photographique », organisée le 12 avril 2010 grâce à un étroit partenariat entre l'École pratique des Hautes Études (EPHE) et l’Institut national d’histoire de l’art (INHA)[1], s’est tenue dans l'auditorium de la Galerie Colbert. L'équipe d'accueil de l'EPHE « Histoire de l'art, histoire des représentations et archéologie de l'Europe : sources, documents, méthodes » (EA 4115) a notamment pour mission de permettre aux doctorants qui y sont rattachés de mettre en valeur leur travail ; aussi Raphaële Bertho, alors inscrite en thèse sous la direction de Frédéric Barbier, a-t-elle été en première ligne pour préparer l'organisation et la conception de cette journée, dont elle introduit les actes dans l'article liminaire. L’organisation scientifique s'est faite en étroite collaboration entre nous trois. Raphaële Bertho Jean-Philippe Garric François Queyrel
Histoire de la photographie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article retrace les étapes qui jalonnent l'histoire de la photographie, principalement vue sous son aspect technique. La photographie peut être considérée comme une technique propre à supplanter le dessin ou la peinture pour représenter le monde qui nous entoure. Son invention nécessitait, d'une part la réalisation d'un dispositif optique permettant la création de l'image, et d'autre part de fixer cette image sur un support pérenne par un processus chimique irréversible. Par ailleurs les usages de cette technique ont évolué, et sa dimension artistique a notamment été reconnue. La photographie comme technique[modifier | modifier le code] La chambre noire était déjà connue par Aristote (384-322 av. Elle fut employée par de nombreux artistes, dont Giambattista della Porta, Vermeer, Guardi et Giovanni Antonio Canal, dit Canaletto, qui l'utilisa notamment pour mettre en perspective ses célèbres paysages des canaux de Venise.
L'Œuvre d'art à l'époque de sa reproductibilité technique L'Œuvre d'art à l'époque de sa reproductibilité technique est un essai de Walter Benjamin Rédigé initialement en 1935 pour être publié en revue où le texte fut dénaturé, il fut finalement édité de façon posthume à partir de 1955 dans une version qui respectait les choix de son auteur, ceux de la version de 1939, et n'a eu de cesse ensuite de connaître auprès des publics un succès grandissant, sans doute à cause de la numérisation des images, processus qui permet actuellement leur multiplication et leur diffusion à l'infini. Benjamin annonce dès l'avant-propos que ce travail s'effectue dans une perspective marxiste, d'une part parce qu'il s'attèle à l'analyse de la superstructure artistique que Karl Marx n'avait pas pu développer, d'autre part parce qu'il l'écrit dans une dynamique pratique contre le fascisme et pour des exigences révolutionnaires. Genèse du texte[modifier | modifier le code] Thèmes[modifier | modifier le code] Pour Benjamin, l'art est par nature reproductible.
Science Allégorie de la Science par Jules Blanchard, située sur le parvis de l'hôtel de ville de Paris. La science (du latin scientia, « connaissance », « savoir ») est dans son sens premier « la somme des connaissances » et plus spécifiquement une entreprise systématique de construction et d'organisation des connaissances sous la forme d'explications et de prédictions testables. Le mot science peut se définir de plusieurs manières selon son contexte d'utilisation, alors que dans un sens premier on peut y voir la « somme de connaissances qu'un individu possède ou peut acquérir par l'étude, la réflexion ou l'expérience »[1] Hérité du mot latin scientia (latin scientia, « connaissance ») elle est « ce que l'on sait pour l'avoir appris, ce que l'on tient pour vrai au sens large, l'ensemble de connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables [sens restreint] »[2]. Dès 2600 av. Généralités
Sites sur la photographie Institutions et associations Quelques grands de la photographieGaleries collectives et institutionnelles en ligneAgences photo, ressources, banques d'imagesPhotos d'actualité en grand formatRevues et magazinesFestivalsDivers- partager Institutions et associations • Arago - Arago a pour but d’offrir l’accès libre et direct sur Internet à l’ensemble des collections de photographies conservées en France. En commençant d’abord par les collections de la Direction générale des Patrimoines et celles des établissements publics du ministère de la Culture et de la Communication. • ARIP - Association de Recherche sur l'Image Photographique • BAL - Espace d’exposition et de débats sur l’«image document» - Paris 18ème • Centre Atlantique de la photographie - Brest • Centre de photographie de Lectoure • Centre International de la photographie de New-York (ICP) • Centre photographique d'Ile de France • Centre régional de la photographie (CRP) - Région Nord, Pas de Calais • Daguerre Society - USA • Richard Avedon
Appareil photographique historique Cet article a pour but de faire découvrir les appareils photographiques historiques qui ont marqué l'histoire. Les appareils photographiques y sont présentés dans l'ordre chronologique. Alexander S. Wolcott[modifier | modifier le code] Principe de l'appareil d'Alexander S. En 1839, les daguerréotypes faisaient fureur en Europe. Fonctionnement[modifier | modifier le code] Une image du sujet est visible sur une plaque (A), par l'interstice (B) creusé à même la chambre, grâce à un miroir concave (C), poli, qui concentrait les rayons. Fox Talbot[modifier | modifier le code] Le principe de l'appareil photographique d'Alexander S. Aussi appelés « souricières », ces appareils, dont certains mesuraient six centimètres de côté, ne se révélèrent pas assez puissants (négatif de 6 cm2) et Talbot les rejeta. Le Mammouth[modifier | modifier le code] Le Mammouth conçu par George Raymond Lawrence en 1901. André Adolphe Eugène Disdéri[modifier | modifier le code] Brownie[modifier | modifier le code]
Les procédés d'impression Si, depuis le XVe siècle, de nombreux procédés d’impression ont été inventés, mis au point, développés, pour enfin coexister et connaître souvent des progressions parallèles, c’est bien que chacun d’eux répond à une utilisation, donc à un besoin, spécifique. Procédés d’impression avec forme imprimante 1. La typographie C’est un procédé d’impression directe qui utilise une forme imprimante en relief. Le principe en est très ancien : les premières impressions connues, à partir de clichés en bois gravé (xylographie) datent du VIIIe siècle. Gutenberg en 1450 n’a donc pas “inventé” la typographie, ni l’imprimerie, mais il a mis au point le premier procédé industriel de multiplication des caractères par coulée de métal dans des moules identiques fabriqués à partir d’une matrice unique. 2. Comme la typographie, c’est un procédé d’impression directe par une forme imprimante en relief, mais dans ce procédé, celle-ci est “flexible”, réalisée en caoutchouc vulcanisé ou en matière plastique souple. 3.
Musique La musique donne lieu à des créations (des œuvres d'art créées par des compositeurs), des représentations. Elle utilise généralement certaines règles ou systèmes de composition, des plus simples aux plus complexes (souvent les notes de musique, les gammes et autres). Elle peut utiliser divers objets, le corps, mais aussi des instruments de musique spécialement conçus, et de plus en plus tous les sons (concrets, de synthèses, abstraits…). La musique a existé dans toutes les sociétés humaines, depuis la Préhistoire. Elle est à la fois forme d'expression individuelle (notamment l'expression des sentiments), source de rassemblement collectif et de plaisir (fête, chant, danse) et symbole d'une communauté culturelle, nationale (hymne national, musique traditionnelle, musique folklorique, musique militaire) ou spirituelle (musique religieuse). L’origine de la musique est notamment le sujet d'étude de la musicologie évolutive (en). Cette définition intègre l'homme à chaque bout de la chaîne.
Liste des centres de la photographie en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article recense les centres dédiés à la photographie en France[1]. Centres[modifier | modifier le code] Le réseau des structures dédiées à la photographie en France[modifier | modifier le code] Créé en 2009 sur l'initiative des Ateliers de l'Image - Centre photographique de Marseille, le Réseau Diagonal est l'unique réseau national et européen réunissant des structures de production et de diffusion de la photographie contemporaine qui se consacrent également au développement de pratiques d’éducation à l’image. Liste des membres du Réseau Diagonal[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
SARTRE-ET-CAETERA | A quoi sert le design ? Le but du design est de concilier le beau et l’utile : c’est pourquoi il relève des arts appliqués (à comparer avec les sciences appliquées) ; d’une discipline gratuite et désintéressée, qui consiste à créer pour créer, on passe à une discipline qui doit s’adapter à la réalité matérielle et à une fonction utilitaire (créer pour servir) ; l’objet doit donc répondre à une double exigence d’action et de contemplation, pourvoir à la fois être agréable à utiliser et à regarder. Etymologie= « dess(e)in »= but, projet, objectif= désigne un ouvrage d’art jusqu’au 17ème, puis l’extension aux objets utilitaires de le la conception décorative (en France dès 1965)= esthétique industrielle appliquée à la recherche de formes nouvelles adaptées à leur fonction. Alors que la culture bourgeoise moderne opposait le monde des arts (le mou) et le monde des machines (le dur), le designer a investi la brèche et jeté un pont entre les 2 dès la fin du 19ème