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Photographier la Grande Guerre

Photographier la Grande Guerre
Contexte historique Au moment où éclate la Première Guerre mondiale, la photographie est encore considérée comme le meilleur moyen de s'approcher de la réalité. On parle d'objectivité irréfutable et, à ce titre, on estime que l'image instantanée est parfaitement adaptée pour rendre compte du nouveau conflit moderne. Analyse des images La charge d’une section de Zouaves sur le plateau de Touvent. Le second cliché a été publié le 15 mai 1915 dans l'Illustration. Interprétation Sur le premier cliché, la position du photographe, en retrait par rapport aux combattants et essayant de se protéger, est la seule vraisemblable dans un tel contexte. Quant au second, plusieurs remarques s'imposent.

Les lettres de la guerre 1914-1918 écrites par Marcelin Cailleau Autour du génocide arménien : mémoire(s), loi(s), enseignement Le 27 avril dernier, le groupe “mémoire, histoire, archives” de la LDH organisait une journée d’étude ,en partenariat avec la Revue arménienne des questions contemporaines et le CVUH, autour du génocide arménien. il y fut question d’enjeux scientifiques, mémoriels, politiques et éducatifs. Le collectif Aggiornamento fut sollicité pour une intervention sur l’enseignement, aujourd’hui,du génocide arménien. La journée ayant été intégralement filmée, vous trouverez ci-dessous les quatre liens vers les vidéos en ligne. 1ère vidéo : Ouverture de la journée d’étude par les co-organisateurs 1) Boris Adjemian pour la Revue arménienne des questions contemporaines 2) Gilles Manceron et Emmanuel Naquet, co-délégués du Groupe de travail « Mémoire, histoire, archives » de la LDH 3) Gérard Noiriel pour le CVUH 4) Le point historiographique sur les massacres des Arméniens et leur qualification, par Raymond Kévorkian 2ème vidéo : Imprimer ce billet

Première partie – Les causes de la guerre 8 mars 2014 Toutes à... À l’occasion de la Journée de la femme, ce samedi 8 mars, 1jour1actu te propose de découvrir, en images, le projet de l’association internationale Skateistan.... 5 mars 2014 Pourquoi tant... La situation est très tendue en Crimée : les russes se sont emparés de ce petit territoire qui appartient à l’Ukraine. 1jour1actu t’explique pourquoi les... 12 février 2014 C’est quoi un... Depuis lundi, le président de la République française François Hollande est aux États-Unis pour une visite d’État de trois jours. Août 1914, une mobilisation « la fleur au fusil » : un mytheCinéma et Histoire | Cinéma et Histoire Dès les premiers jours de la mobilisation en août 1914 se construit une légende, celle d’ »un départ enthousiaste » des mobilisés à la guerre, donnant l’image d’une France nationaliste et revancharde. Il s’agit d’un pur mythe : la nouvelle de la guerre est massivement acceptée avec stupéfaction et résignation dans les campagnes, les bourgades et les petites villes, où vivent alors les trois quarts des Français. Retour en images sur le mythe et sa déconstruction. Les premières photographies montrant des mobilisés en partance pour le front « la fleur au fusil » paraissent dans la presse dès les jours suivant l’ordre de mobilisation. La scène est immuable : dans les grandes villes, des soldats en ordre de marche, baïonnette au fusil, arme sur l’épaule droite, avancent sous les vivats de la foule qui se tient de part et d’autre de la chaussée. L’Illustration du 15 août publie un cliché de L. Télécharger en format pdf Télécharger en format pdf WordPress: J’aime chargement…

14-18, un monde en guerre L’histoire s’écrit au croisement des questions et des sources. Les questions changent avec le temps, et les historiens cherchent des sources pour y répondre. Aussi l’historiographie évolue-t-elle : les récits élaborés à une époque perdent leur intérêt pour l’époque qui suit. Les « vérités » se succèdent. Ainsi n’est-il pas étonnant que le dossier que l’on va lire témoigne d’un renouvellement de l’histoire de la Grande Guerre. L’histoire s’écrit au croisement des questions et des sources. L’ouverture de l’Historial de la Grande Guerre à Péronne en 1992 marque un double tournant. -- À propos de l'auteur Président du conseil scientifique du centenaire de la Grande Guerre, Antoine Prost est professeur émérite au Centre d’histoire sociale du XXe siècle (CNRS/Univ. Refermer l'édito

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