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Peers - Welcome to the Sharing Economy

Peers - Welcome to the Sharing Economy
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OuiShare - Connecting the Collaborative Economy Don’t believe the hype: Here’s what’s wrong with the ‘sharing economy’ Editor’s note: Milo Yiannopoulos is the founder and editor-in-chief of The Kernel and yesterday he gave a talk at LeWeb London entitled “Why the Sharing Economy is Bollocks.” It certainly proved a divisive argument and today he’s summed it up in this politically-charged post. Think he’s gone too far or missed the point? I believe the sharing economy is rooted in ideology that runs utterly contrary to human nature, entrepreneurship, free-market capitalism and even common sense. Airbnb is a great business, by some metrics, but what it offers is not “sharing”. Nor is the sharing economy an “economy” either. The sharing economy is dangerous. Bad politics The sharing economy is bad politics. We’re told we should be living more austere lives, sharing our possessions and consuming privately, if at all. After all, the sharing economy only works for rich people. Sharing initiatives and communitarian, collaborative consumption systems are not new. A cult Image credit: Håkan Dahlström / Flickr

La revue de presse de la consommation collaborative La consommation collaborative est une nouvelle façon – originale – de consommer et nous, chez Costockage, on trouve ça vraiment bien. La consommation collaborative c’est une multitude de choses : ça peut être stocker des cartons, louer votre cave ou partager votre voiture. Pour vous aider à cerner un peu mieux le sujet, on vous a préparé une sélection de nos articles préférés sur notre sujet préféré ! L’Economie Collaborative : meilleure amie de l’Entrepreneur L’économie collaborative est révolutionnaire pour le consommateur parce qu’elle permet un nouvel usage des biens et des services : la question n’est plus comment on possède un bien mais comment on l’utilise, à deux, trois ou plus. Un petit tip si vous êtes entrepreneur : faites appel aux 65 millions de Business Angels qui composent la France. Bobos, aventuriers, écolos : qui sont ces Français adeptes de la consommation collaborative ? Ici, on vous dit qui vous êtes, vous, adeptes de la consommation collaborative.

How To Design For The Sharing Economy The definition of ownership is changing. We are becoming less interested in owning products and accumulating wealth through long-term purchases. Instead, we crave experiences, seeking out things without much of a financial or time investment, and have a newfound appreciation of bargains and second-hand possessions (a song about thrifting is leading the Billboard charts as I am writing this). We increasingly consume products and services through renting, sharing, and purchasing subscriptions. Being “socially connected” is no longer just about having a lot of people to share your news with; these days, it’s about having a lot of people to share your stuff with--either for free or at a fraction of the market fee. The new sharing economy presents unlimited opportunities for us as consumers to reinvent our spending habits. If collaborative consumption is the commerce of 21st century, how do we support it with 21st-century design catered to the community rather than to individuals? 1. 2. 3.

La génération G - microDON À l’inverse de la génération X (les personnes nées dans les années 60 et 70) et de la génération Y (née essentiellement dans les années 80), la génération G ne se définit pas selon des critères démographiques ou sociologiques. La génération G se compose d'individus, consommateurs et citoyens, pour qui la générosité, l’échange, l’attention portée aux autres, constituent des éléments de satisfaction personnelle. Cette génération ne cherche pas son statut social dans la consommation, mais dans un comportement responsable, citoyen, tourné vers les autres. Générosité et partage sont d’autant plus naturels pour cette génération qu’elle a été nourrie à la culture du web et qu’elle a intégré les principes du développement durable. La génération G vit dans une société du partage qui se nourrit des valeurs du web : c’est à dire abreuvée d’une culture d’individus qui donnent, participent, créent et collaborent. L’engagement des marques dans une grande cause serait un facteur déclenchant l’achat.

The Sharing Economy Just Got Real The legal problems of the sharing economy just got real. The latest lawsuits against "ride-sharing" companies Lyft and Über could be game changers. The plaintiffs are drivers who give rides to strangers for money, paying a portion of their earnings to the companies. The class action lawsuits argue that the drivers should be classified as employees of the companies. Regardless of the outcome, the lawsuits call attention to the potential harms arising from the non-sharing parts of the sharing economy. The sharing economy is hard to define. Laws are already beginning to evolve for the sharing economy, but, for now, the sharing economy exists almost entirely in legal grey areas. But the "sharing economy" we usually hear about in the media is built upon a business-as-usual foundation. On one hand, these companies open economic doors. But it’s dangerous to take comfort in the simple fact that these companies create new opportunities to make a living.

Bobos, aventuriers, écolos : qui sont ces Français adeptes de la consommation collaborative ? L’ADEME a publié, jeudi 25 avril, une enquête sur les Français et la consommation collaborative. Objectif : mieux cerner les valeurs, les modes de vie, de consommation et les critères socio-démographiques des français qui adoptent ces nouveaux modes de consommation. Résultats : les motivations sont très diverses, ces consommateurs sont plutôt jeunes, actifs, et les critères socio-démographiques ne sont pas discriminants. Voyons cela de plus près. Des caractéristiques communes L’enquête a été effectuée à partir de l’échantillon de l’observatoire des modes de vie et consommation d’IPSOS : « Les 4500 ». La consommation collaborative from adesias. on Vimeo. Première observation, ces consommateurs partagent quatre caractéristiques communes : Seconde observation, ces consommateurs sont partagés entre la recherche de bons plans de consommation et des motivations collectives liées à des préoccupations collectives, écologiques, etc. Six profils différents Et vous, quel est votre profil ?

Se prêter des livres entre particuliers, une fraude pour l'industrie du livre Les fondateurs de Booxup, application de partage de livres papier, ne s'attendaient certainement pas à une telle visite. Leur application permet d'enregistrer sa bibliothèque personnelle et de consulter celle des autres utilisateurs : dès lors qu'un titre intéresse, il suffit d'entrer en contact avec l'utilisateur, et de le rencontrer pour un éventuel emprunt. Un inspecteur de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes s'est présenté à la porte du bureau, et pas pour emprunter un livre... Le numérique et la fraude, un vieux refrain (GotCredit, CC BY 2.0) « Inutile de dire que la visite nous a surpris, et nous a même fait flipper », admet David Mennesson, cofondateur de l'application Booxup. La quiétude du 5e étage de l'hôtel particulier où sont installés les bureaux de la start-up a été interrompue par la visite d'un inspecteur de la DGCCRF, administration française relevant du Ministère de l'Économie.

L’émergence de la génération G : comportement consommateur, générosité, relation marque client Et si l’accélération des tendances de consommation provoquée par la crise avait des retentissements plus grands que les marques ne l’envisagent ? Régulièrement, des études montrent la prise de distance qu’opèrent les consommateurs vis-à-vis des marques, voire de la consommation. Fin octobre, une enquête de TNS Sofres, pour l’agence Australie, indiquait encore que 59 % des Français s’estiment indifférents vis-à-vis des marques. Au-delà, 43 % disent ne pas avoir envie de dépenser pour le plaisir. La fin du « Me, myself and I » Cette année, Trendwatching a proposé une grille de lecture de ces nouveaux comportements et attentes des consommateurs, construite non pas sur des critères de refus, mais sur des aspirations positives. La générosité comme élément de statut social Repères sur les générations X et Y Génération X Les personnes nées après le Baby Boom, schématiquement entre le milieu des années 1960 et la fin des années 1970. Génération Y Les consommateurs en attente d’engagement social

Internet as Playground and Factory :: Intro Parole de VC: "Tout reste à faire dans l'économie collaborative" Avec des participations dans KissKissBankBank, La Ruche Qui Dit Oui !, A Little Market et Sculpteo, le fonds français Xange s’est spécialisé dans des startups de l’économie collaborative. Rencontre avec Rodolphe Menegaux et Nicolas Debock, deux investisseurs visionnaires et pionniers de l’économie collaborative. Quelles grandes évolutions technologiques, économiques et sociétales traduit le développement de l’économie collaborative selon vous ? Nicolas Debock : L’économie collaborative est selon nous l’illustration d’un mouvement global de transformation de notre société moderne, d’un modèle centralisé et construit sur des stocks vers des modèles organisés en réseaux horizontaux et construits sur des flux. D’un point de vue économique nous assistons à l’émergence d’une économie décentralisée et horizontale (comme le dit Daniel Kaplan de la FING), organisée en réseaux venant compléter les organisations centralisées et pyramidales issues du Fordisme. Nicolas Debock Crédit image : xtof

Économie collaborative : Pourquoi Jeremy Rifkin se plante sur toute la ligne Par Eric Raymond. J’ai reçu une note de l’éditeur de Jeremy Rifkin m’indiquant que l’auteur a procédé lui-même à une demande afin qu’il m’adresse une copie de son dernier livre intitulé La nouvelle société du coût marginal zéro. La raison en est très claire : comme j’ai écrit sur l’économie des logiciels libres, il pense que je lui fournis l’un des cas paradigmatiques de son livre, à savoir la destitution des marchés de biens rares par la production à coût marginal nul. L’ouvrage de Rifkin est le prolongement de l’argument selon lequel cette production à coût marginal nul est une tendance émergente qui va non seulement faire tomber en désuétude le capitalisme tel qu’on le connait mais, en plus, va entraîner avec elle toutes les formes de propriétés privées. Hélas pour M. Dans un marché libre, la pression compétitive normale pousse les prix des biens vers leurs coûts marginaux. Le premier argument est que le logiciel a un coût marginal de production qui est effectivement de zéro.

Concierge Durable lauréate du prix Femmes pour le Développement Durable 2013 Par Concierge Durable dans Développement durable le 14 octobre 2013 Le 7 octobre 2013, à Paris, les jurys des magazines du groupe Mondadori, en partenariat avec la marque Yves Rocher, ont remis les Prix Femmes pour le Développement Durable. 8 lauréates ont été sélectionnées en raison de leur action au quotidien pour un monde plus éthique, plus solidaire, plus soutenable. Martine Payeur, avec son entreprise Concierge Durable, a été élue par le magazine Biba. Améliorer la qualité de vie des collaborateurs pour renforcer leur productivité et leur créativité, tout en agissant pour le bien-être de tous. La qualité de vie au travail et la RSE/O sont devenus des sujets primordiaux pour les DRH, les syndicats et même les responsables du développement commercial. En effet, en temps de crise il est d’autant plus important de séduire puis fidéliser les collaborateurs stratégiques, de s’assurer de l’implication de ses équipes, en les incitant à être plus créatives et responsables.

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