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Data journalism at the Guardian: what is it and how do we do it?

Data journalism at the Guardian: what is it and how do we do it?

http://www.theguardian.com/news/datablog/2011/jul/28/data-journalism

Les données pour comprendre le monde Par Hubert Guillaud le 19/07/11 | 3 commentaires | 3,055 lectures | Impression L’année dernière, l’un des ateliers de Lift France était consacré au journalisme de données. A l’occasion d’une masterclass consacrée au sujet, Nicolas Kayser-Bril, datajournalise – c’est-à-dire à la fois journaliste, statisticien, programmeur et chef de projet -, est venu faire le point sur ce qu’il s’est passé en un an. Le livre "L’open data, comprendre l’ouverture des données publiques" (Simon Chignard, Fyp Editions mars 2012, préface de Jacques-François Marchandise, FING) Pour acheter le livre en ligne (sur Amazon.fr), cliquer sur le lien suivant : L’Open data La donnée est au coeur du fonctionnement des institutions publiques, de l’Etat aux collectivités. Elle permet d’aider à la décision, d’évaluer les politiques mises en oeuvre ou de faire vivre les services urbains de notre vie quotidienne (transports, vie culturelle, économie, politique sociale, …).

Datajournalisme ? Le mot « datajournalisme » vous est inconnu ou reste flou ? Cette page vous explique pourquoi c’est un sujet incontournable aujourd’hui pour les médias numériques. Découvrez d’abord la définition du « datajournalisme » donnée par Estelle Prusker-Deneuville, enseignante-chercheuse en datajournalisme et responsable de l’enseignement médias à SciencesCom – Audencia Group à Nantes. 7 études de cas en data journalism et visualisation de données « Beaucoup de veille en ce moment, et peu d’écrit. Voici quand même quelques études de cas à vous faire partager. Depuis un an que je piste les exemples de data journalism, je constate que les initiatives françaises sont bien rachitiques et que j’atterris le plus souvent sur des sites anglo-saxons. Avec le nytimes.com, le washingtonpost.com et le guardian.co.uk en pionniers du genre. Les études de cas ci-dessous illustrent assez bien l’état du journalisme de données français par rapport à ce qui se fait aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne ou même en Espagne.

« Pour faire du datajournalisme, il faut savoir maîtriser Excel » Nicolas Kayser-Bril, datajournaliste chez Owni Vidéo – Star française du Data Journalisme, NKB répond à Data News pour une interview 75% data et 25% LoL, parce qu’il faut pas déconner, quand même. DataNews : Ca fait un moment qu’on parle du data journalisme et de l’ouverture des données, où en est-on aujourd’hui ? Nicolas Kayser-Bril : L’accès aux données reste très compliqué encore aujourd’hui. Pas mal d’initiatives ont lieu sur l’ouverture des données publiques mais on reste dans une logique très topdown où c’est le décideur qui va gracieusement mettre en ligne cinq ou dix jeux de données. C’est ce qui s’est passé pour l’ouverture des données publiques à Paris où on nous présente quinze jeux de données et on nous dit “voilà on a ouvert !”.

Data Journalisme ou Journalisme de Données Got it! Ce site utilise des cookies pour vous assurer une meilleure expérience Cookie Consent plugin for the EU cookie law Accueil > Data Journalisme ou Journalisme de Données Data Journalisme ou Journalisme de Données Le Datajournalisme notre religion Depuis la fin des années 90, les expériences concluantes de Data-journalism représentent une nouvelle jeunesse pour les métiers de la presse, longtemps dominée par les règles de la presse d'opinion. En voici les principes fondateurs. Que défend OWNI.

Journaliste de données : data as storytelling Par Hubert Guillaud le 09/07/10 | 8 commentaires | 4,135 lectures | Impression En préfiguration de Lift France, l’un des ateliers était consacré au Journalisme de données, cette “nouvelle” façon de faire du journalisme, en utilisant les données comme matériel pour construire de l’information. Qu’est-ce que le data journalisme ? Le Web journalisme - l'info dans son temps ? Pour être un journaliste, aujourd’hui, il faut être un homme à tout faire, un touche à tout. Connaître les nouvelles technologies, savoir les manier et ne pas se laisser dépasser par elles. La raison ? L’argent. Les patrons de presse n’ont que ce mot à la bouche.

Le journalisme « hacker » À New York, Chicago, Londres, Helsinki ou Buenos Aires, plusieurs centaines de personnes se rencontrent régulièrement, souvent dans des arrières salles de bars ou des salles de conférences [1]. Ils sont étudiants, journalistes, programmeurs ou chefs de projet web, et ils appellent ces réunions informelles des rencontres « hacks/hackers ». « Hacks » est une façon de dénommer les journalistes tandis que « hackers » désigne des passionnés d’informatique. À travers la présentation d’applications informatiques développées pour des sites d’information, la formation à des langages de programmation ou plus simplement la mise en relation de journalistes et de programmeurs, les animateurs de ce réseau veulent relier le monde de la presse aux mondes informatiques de façon à transformer et même « réinitialiser » le journalisme. Les liens entre la presse et les mondes informatiques se sont incontestablement développés ces dernières années. Pourquoi des codeurs s’intéressent-ils à la presse ?

Données le vertige Des flots d’octets, un océan de données, un déluge de connaissances… A mesure qu’Internet tisse sa toile, le volume d’informations numérisées n’en finit plus d’exploser. D’ici huit ans, cette masse vertigineuse de «datas» sera 50 fois supérieure à ce qu’elle est aujourd’hui, prédit le cabinet d’études IDC. Et il faudra dix fois plus de serveurs informatiques pour espérer gérer cette déferlante. Pas par crainte d’être submergés, mais plutôt pour être en mesure de retrouver, d’extraire et d’exploiter cette nouvelle manne.

Quatre voies du datajournalism Le datajournalism ou journalisme de données, peut difficilement se résumer à un type de contenus ou à un type de démarche. Il requiert des compétences spécifiques, selon l'usage qui en est fait. J’ai eu l’impression, ces derniers jours, de répéter plusieurs fois la même chose à des personnes différentes (ce qui est un vrai plaisir quand il s’agit de datajournalism). D’où l’idée d’articuler ici ces quelques éléments récurrents. Photo CC par Ian-S sur Flickr

Le Chiffroscope Infos / Documentaires Le Chiffroscope Le Chiffroscope Pourquoi le data-journalisme, c’est l’avenir en marche Elle s’appelle Caroline Goulard, elle est encore étudiante (en 5e année, tout de même), elle est en passe de devenir LA spécialiste française du journalisme de bases de données, le databeyyyse djournaliseume en bon franglais, qui commence à faire florès ailleurs, entendre aux Etats-Unis et en Grande Bretagne, comme d’habitude, mais pas chez nous. Son blog est une mine de renseignements – et de (plaisants) fantasmes éditoriaux - pour ceux qui, comme Sophie Gohier, mon éditrice préférée, ou votre dévoué serviteur pensent que l’info en ligne, c’est pas seulement (surtout pas?) du batonnage de dépêches, des Web reportages et de la sous-télévision. Caroline Goulard a deux actualités: - Un article limpide sur le database journalism, confié à Owni. Elle y rappelle en quatre points ce que le genre peut apporter aux journalistes, ce qui n’est pas très important, et aux lecteurs-internautes-consommateurs, ce qui l’est nettement plus. Nos ambitions, donc.

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