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L'impression en 3D, un risque pour la santé

L'impression en 3D, un risque pour la santé
Crédit Photo: D.R Véritable phénomène de mode, l'impression 3D aurait aussi une face cachée avec des risques sur la santé. Selon des chercheurs, les particules émises par les impressions peuvent être dangereuses si elles sont inhalées. Les imprimantes 3D sont devenues une vraie tendance avec des orientations très variées, fabrication de micro-batteries, d'un avion, d'une figurine à son image et même d'un pistolet. Or des universitaires américains et français ont publié un avertissement sur le fait que l'impression 3D génère des particules fines dangereuses pour l'homme si elles sont inhalées. Des risques méconnus Les chercheurs ont testé deux matériaux d'impression 3D différentes, l'ABS (acrylonitrile butadiene styrene) et le PLA (polylactic acid), pour voir combien de particules fines sont émises à chaque réalisation. Related:  Medical

Première mondiale : un crane remplacé par une prothèse imprimée en 3D C’est une opération incroyable qui a eu lieu il y a trois mois sur une patiente hollandaise de 22 ans souffrant d’une maladie rare. Une (large) partie de son crâne a été remplacée par une prothèse imprimée en 3D. La patiente souffrait en effet d’une maladie qui épaississait singulièrement son crâne augmentant sans cesse la pression sur son cerveau. Bon Veirweij, le chirurgien derrière tout ça, n’en était pas à son coup d’essai concernant l’usage de prothèse imprimée en 3D malgré tout, on ne peut être qu’admiratif devant l’ambitieuse opération entreprise. C’est la première fois qu’une prothèse aussi grande est implantée dans un crâne. La prothèse en question est faite de plastique et a été imprimée par une société spécialisée selon les modèles fournis par l’équipe médicale. La vidéo ci-dessous montre des images de l’opération en question. --Cet article a été rédigé par +Francois

Une colle « génétique » pour l’impression 3D d’organes Des scientifiques de l’Université du Texas, à Austin, ont inventé ce qui sera peut-être l’avenir de la bio-impression de tissus synthétiques. À partir de gènes et de brins d’ADN complémentaires, les chercheurs ont réussi à mettre au point un gel « intelligent », qui dispose de plusieurs propriétés intéressantes. L’étude afférente précise que cette « glue » est constituée de nanoparticules enrobées d’un revêtement d’acides nucléiques dont les interactions moléculaires permettent de maintenir l’ensemble collé. Bon, dis comme ça, ça ne vous parle peut-être pas. Mais là où ça devient intéressant, c’est que ce gel peut par la suite être extrudé avec une imprimante 3D afin d’obtenir des objets de toutes formes. Pour l’instant, la petitesse des corps conçus à partir de cette colle (de l’ordre du centimètre) s’explique par le fait qu’il est encore fastidieux de produire en grande quantité de l’ADN. --Cet article a été rédigé par Julien

Des organes sortis de l’imprimante Les imprimantes à jet d’encre ou à rayon laser ne servent pas seulement à imprimer des cartes d’anniversaire : il peut également en sortir des morceaux de tissus ou même des organes entiers comme un rein. par Sascha Karberg Depuis maintenant une vingtaine d’années, les chercheurs tiennent en main le Saint Graal de la culture d’organe. Car en théorie, des cellules souches embryonnaires, cultivées en laboratoire depuis 1998, permettent de reconstituer un être humain entier, et donc tous types de tissus ou d’organes. Début mai de cette année, Shukrat Mitalipov, un chercheur spécialisé dans les cellules souches de la Health&Science University de Portland dans l’Oregon, est parvenu à cultiver des cellules souches embryonnaires humaines à partir de cellules de peau en recourant à une technique de clonage thérapeutique. Des organes obtenus à partir de ces cellules ne seraient donc pas rejetés par le système immunitaire du patient.

Besoins impression 3D : médical, dentaire Les avancées technologiques dans le secteur du médical et du dentaire permettent aux médecins de proposer régulièrement de meilleures conditions de traitement des patients, une amélioration des délais, une réduction des coûts et toujours plus de précision et de fiabilité. En tant que technologie de rupture, l'impression 3D pour le dentaire et la médecine s'inscrit parfaitement dans la lignée des améliorations technologiques majeures qui font avancer toujours plus loin le secteur de la santé. En s'équipant de matériel d'impression 3D de bureau, la médecine s'ouvre à de nouveaux outils de prototypage et d'aide à l'intervention, sans toutefois ouvrir la voie aux implants biocompatibles, qui demeurent aujourd'hui du domaine de l'impression 3D de pointe, avec du matériel commençant aux alentours des 20.000€. Imprimante 3D pour le dentiste et le prothésiste dentaire L'imprimante 3D en milieu médical et chirurgical Impression 3D : fabrication de prothèses sur mesure à bas prix

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