background preloader

Eve Ensler: Soudain, mon corps

Eve Ensler: Soudain, mon corps

Penser positif c'est bon pour la santé Ce nouvel ouvrage tient compte de tous les aspects du sujet abordé (biologique, psychologique, sociologique et philosophique). L’approche de Thierry Janssen est originale car, à l’inverse de la tendance actuelle de ne voir en l’être humain que des manques et des défauts, il nous rappelle que nous sommes d’abord les détenteurs d’un potentiel éminemment positif. Pour lui, le défi est de prendre conscience de ce potentiel et de le manifester à travers nos actes. Thierry Janssen y parle d’optimiste et d’altruisme, d’intégrité et de créativité, de discernement et d’humilité, d’humour et de gratitude. Il nous révèle les secrets de ce que les philosophes de l’Antiquité appelaient une "bonne vie", une vie à la fois éthique et esthétique. Reportage Pendant longtemps Christine Ley a été journaliste, notamment à la RSR. Un burn-out et un pélerinage à Saint-Jacques de Compostelle la confirment dans son besoin de se tourner vers des activités plus lumineuses. Par Muriel Mérat.

Les énigmes du plaisir Est-ce parce que des forces psychiques inconscientes nous poussent à agir exactement à l'opposé de ce que nous voulons, à aller vers ce que Freud désignait comme l'au-delà du principe de plaisir? Peut-on identifier dans le cerveau des mécanismes neurobiologiques spécifiques nous permettant d'expliquer cette tendance chez l'homme? En somme, avons-nous, en nous, la capacité d'aller vers le plaisir et le bonheur, ou bien cela nous échappe-t-il totalement? Les invités François Ansermet est psychanalyste, professeur de pédopsychiatrie à l’Université de Genève, directeur du Département universitaire de psychiatrie et chef du Service de psychiatrie d’enfants et d’adolescents aux Hôpitaux universitaires de Genève (SPEA). Pierre Magistretti est médecin et neurobiologiste, directeur du Brain Mind Institute de l’EPFL. Reportage Muriel Mérat: Quels liens un danseur professionnel entretient-il avec le plaisir?

Pilules de 3e et 4e génération : 30 nouvelles plaintes en janvier Après le Médiator, s’achemine-t-on vers un nouveau scandale sanitaire ? Suite à la plainte déposée le 14 décembre dernier par Marion Larat, 25 ans, contre le laboratoire Bayer, d’autres femmes ont décidé de poursuivre des firmes qui commercialisant des pilules contraceptives de troisième et quatrième génération. « Nous avons reçu 30 dossiers complets, en plus de celui de Marion », a indiqué Philippe Courtois, l’avocat de la jeune femme qui accuse la pilule Meliane d’être responsable de son accident cardio-vasculaire. Un chiffre qui devrait, selon lui, « augmenter dans les semaines qui viennent », avant un dépôt des plaintes dans les premiers jours de janvier au tribunal de Bobigny. Des séquelles importantes AVC, embolies pulmonaires, thromboses veineuses, phlébites… Les futures plaignantes, âgées de 17 à 48 ans, ont toutes eu de graves soucis de santé suite à la prise de leur contraceptif.

Attention, cette pilule peut nuire à votre santé - rts.ch - émissions - temps présent - santé C’est l’histoire d’une réussite qui tourne au scandale, l’histoire à peine croyable des dernières-nées des pilules contraceptives. Elles s'appellent Yasmin, Yasminelle et Yaz et rapportent des milliards au fabricant Bayer. Or, ces pilules sont plus dangereuses que les anciennes. Elles présentent un risque de thrombose, rare certes, mais grave. Des millions de jeunes femmes dans le monde et en Suisse prennent ces pilules de nouvelle génération, séduites par le marketing sans précédent de leur fabricant Bayer. Derrière ce vernis enthousiasmant se tapit un risque rare mais grave. Temps Présent a enquêté en Suisse et aux Etats-Unis. Rediffusion le vendredi 9 décembre 2011 à 1h20 et le lundi 12 décembre 2011 à 15h sur TSR2. Générique Un reportage de Isabelle Ducret et Philippe Mach Image : Walter Hug Son : Benedikt Früttiger Montage : Dan Marcocci

De combien de sommeil les adolescents ont-ils besoin Un quart des jeunes de 15 ans sont en manque chronique sévère de sommeil, selon une étude internationale menée par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) et l'Institut national du sommeil et de la vigilance (Insv) auprès de 9 251 collégiens âgés de 11 à 15 ans. Les jeunes de 11 à 15 ans ont besoin d'un temps de sommeil plus long que les adultes. L'idéal pour eux serait de dormir entre 8 et 9 heures par nuit, selon le Pr Damien Léger (Hôtel-Dieu à Paris) dont les propos sont rapportés par Le Point. Chez les adolescents, le seuil de privation chronique de sommeil est considéré comme sévère à partir de nuits de moins de 7 heures. Une telle privation est rare à 13 ans mais concerne un quart des jeunes de 15 ans. Les adolescents de 15 ans dormiraient en moyenne 8 heures par nuit en semaine et 9H49 par nuit lorsqu’ils n’ont pas cours le lendemain. Voyez également: Risque de dépression plus élevé chez les adolescents qui manquent de sommeil

Related: