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Fonction cognitive : la mémoire - HAPPYneuron

Fonction cognitive : la mémoire - HAPPYneuron
La mémoire est omniprésente dans la vie quotidienne. Elle nous permet de retenir toute sorte d’informations (souvenirs personnels, connaissances culturelles, procédures automatiques…) pendant une durée plus ou moins longue (de quelques secondes à toute une vie). Elle constitue le passé de chacun, ou plutôt la connaissance de celui-ci, et permet ainsi à quiconque de posséder une identité. Plusieurs formes de mémoire : Nous ne possédons pas qu'une seule mémoire même si nous avons tendance à envisager la mémoire comme un tout en disant avoir, de façon globale, UNE bonne/mauvaise mémoire ou en utilisant des phrases du style : ''Je dois avoir LA mémoire qui flanche !'' Mémoire verbale et mémoire visuelle La mémoire verbale permet de mémoriser par exemple une série de mots et de la rappeler après quelques minutes. Il existe différentes mémoires selon la durée du souvenir : Cliquez pour dérouler La mémoire à court terme ou mémoire de travail Les plaintes de mémoire Dans la vie quotidienne 1.

Fonction cognitive : l’attention Qui n'a jamais entendu dire ou dit : "J'ai du mal à me concentrer !" ou "Tu ne fais pas assez attention !". L’attention est une fonction cognitive complexe qui est primordiale dans le comportement humain. Elle correspond à un processus de sélection d'un événement extérieur (son, image, odeur...) ou intérieur (pensée) et au maintien de ce dernier à un certain niveau de conscience. L'attention n'est pas stable mais fluctuante. Plusieurs formes d’attention L’état d’alerte Un coup de feu ou de tonnerre captera toute notre attention automatiquement. L'attention peut aussi intervenir de façon volontaire Si, pour une promenade en ville, vous avez opté pour une paire de chaussures qui vous fait mal, toute votre attention va se focaliser sur la recherche d'un endroit agréable pour vous reposer, ce qui vous amènera, par exemple, à repérer un banc dans un jardin. L’attention sélective L'attention partagée Les facteurs qui diminuent nos capacités attentionnelles Les troubles de déficit de l’attention

Mémoire (psychologie) Les formes et fonctions de la mémoire en sciences. En psychologie, la mémoire est la faculté de l'esprit d'enregistrer, conserver et rappeler les expériences passées. Son investigation est réalisée par différentes disciplines : psychologie cognitive, neuropsychologie, et psychanalyse. Pyramide des cinq systèmes de mémoire. Le courant cognitiviste classique regroupe habituellement sous le terme de mémoire les processus d'encodage, de stockage et de récupération des représentations mentales. Le plus influent des modèles structuraux de la mémoire est le modèle modal, qui divise la mémoire en trois sous-systèmes : registre sensoriel, mémoire à court terme et mémoire à long terme[1]. Les trois composantes de la mémoire dans le modèle modal sont : Le registre sensoriel : il peut retenir une grande quantité d'informations sous forme visuelle pendant un temps extrêmement court (quelques millisecondes). Les trois sous-composants du modèle de Baddeley et Hitch sont :

Les postures enseignantes, les postures élèves, et les APC... Une discussion au sujet des nouveaux APC et de ce qu’on peut en faire m’a fait penser à un apport théorique reçu au cours d’un stage PMQC (Plus de Maitre Que de Classe). L’une des interventions portait sur les gestes professionnels et les postures d’apprentissage des élèves. Cette intervention s’appuyait sur les travaux de Dominique Bucheton, professeur des universités, IUFM de Montpellier, directrice du Laboratoire interdisciplinaire de recherche en didactique éducation et formation. Les « postures d’étayage » se placent du point de vue de l’enseignant : Une posture de contrôle : elle vise à mettre en place un certain cadrage de la situation : par un pilotage serré de l’avancée des tâches, l’enseignant cherche à faire avancer tout le groupe en synchronie. Une posture d’accompagnement : le maître apporte, de manière latérale, une aide ponctuelle, en partie individuelle en partie collective, en fonction de l’avancée de la tâche et des obstacles à surmonter. Bibliographie :

Cognition - L'importance de la Cognition Qu'est-ce que la cognition ? Signification et définition La définition la plus acceptée de la cognition est la capacité des êtres vivants à traiter l'information à partir de la perception (stimuli qui nous parviennent du monde extérieur par les sens), les connaissances acquises par l'expérience et nos caractéristiques subjectives qui nous permettent d'intégrer toutes ces informations pour valoriser et interpréter le monde. Le mot cognition vient du latin "cognoscere" signifie connaître. Par conséquent, quand nous faisons référence à la cognition, nous faisons référence à tout ce qui s'associe à la connaissance, c'est-à-dire le cumul d'informations que nous avons acquises grâce à l'apprentissage ou à notre expérience. Plusieurs disciplines ont abordé l'étude de la cognition, la neurologie, la psychologie, l'anthropologie, la philosophie et même les sciences de l'information. Comment définir les processus cognitifs ? Pouvons-nous améliorer notre cognition ? Références : Shatil E (2013).

Fonction cognitive : les fonctions exécutives Les fonctions exécutives correspondent à des fonctions élaborées de logique, de stratégie, de planification, de résolution de problèmes et de raisonnement hypothético-déductif. La planification permet par exemple de définir un programme d'actions et à respecter des priorités sans se disperser. Cette capacité permet de hiérarchiser ses priorités en tenant compte des liens entre celles-ci et de la diversité des données concernées. Plusieurs formes de raisonnement Les fonctions exécutives nous aident à résoudre tous les problèmes plus ou moins complexes du quotidien. Raisonnement inférentiel Le raisonnement inférentiel : utilisé face à un problème qui n'a encore jamais été rencontré et pour lequel il n'y pas de solution existante à appliquer en l'état. Raisonnement analogique Le raisonnement analogique : correspond à la réutilisation adaptée d'une solution déjà utilisée face à un problème présentant des spécificités communes avec celui à résoudre. Raisonnement automatique 1.

Méthode MALO : la méthode pour lutter contre la perte de mémoire ! 900 000 personnes en France sont atteintes de la maladie d’Alzheimer. 7% des personnes de plus de 65 ans souffrent d’une forme de démence . Cela fait un grand nombre de personnes atteintes de trouble de la mémoire ! A cela s’ajoute les personnes âgées qui perdent la mémoire suite à une diminution de leurs activités, mais aussi certaines personnes qui ont eu un AVC ou un traumatisme crânien. Si vous lisez cet article, c’est que vous connaissez probablement une personne en situation de perte de mémoire et que vous recherchez une solution pour l’aider à vaincre la perte de mémoire, ou au moins la stabiliser. Ca a été mon cas, il n’y a pas encore si longtemps. Impossible pour moi de lire un livre ou de suivre un film, mais aussi, impossible pour moi de faire à manger sans danger ! Mais c’est peut-être le cas de votre proche ? Pour ma part, mes capacités me sont revenues à force de stimulation et de travail. Mais d’abord, qu’est-ce qu’un trouble cognitif ? Mais qu’est-ce c’est ?

Fonction cognitive : les capacités visuo-spatiales Les fonctions visuo-spatiales permettent de s’orienter dans l’espace, de percevoir les objets de notre environnement et de les organiser en une scène visuelle cohérente, d’imaginer mentalement un objet physiquement absent. L’imagerie mentale, par exemple, intervient activement dans les processus de pensée, dans le rêve, dans la résolution de problèmes (comme le calcul mental), dans l’anticipation des évènements (comme dans le jeu d’échecs), dans la mémorisation (des itinéraires par exemple), dans la compréhension d’une description verbale, dans le raisonnement, dans la reconnaissance d’objets présentés dans des orientations inhabituelles… La vision Si, parmi ces quatre objets, on vous demandait de saisir le cube le plus proche de la pyramide, vous n'auriez aucun mal à le faire. Notre système visuel est responsable de ces analyses spontanées. Rôle de l’environnement intérieur et extérieur L'imagerie mentale La créativité est le fruit de nos capacités d’imagerie mentale

COGNITION INCARNÉE Pendant longtemps, les sciences de la cognition ont tenté de décrire les mécanismes à la base des comportements en privilégiant une approche modulariste décrivant le cerveau comme un ensemble de systèmes hautement spécialisés (des modules), impliquant différents niveaux de représentations internes, et intervenant avant tout selon un mode séquentiel. Au-delà de la modularité, que certains ont limitée aux systèmes périphériques (perceptivo-moteurs), la deuxième caractéristique de cette approche dite « cognitiviste » est de mettre en avant la notion de représentation. C'est d'ailleurs l'introduction de cette notion qui a marqué au milieu du xxe siècle la rupture avec le courant béhavioriste. La troisième spécificité du cognitivisme est de s'intéresser quasi exclusivement à la cognition en tant que production du cerveau, en n'évoquant que marginalement le rôle du corps et de l'environnement (certains parlent de cognition autonome). « COGNITION INCARNÉE » est également traité dans :

Interactions entre fonctions cognitives Les fonctions cognitives n’agissent pas indépendamment les unes des autres. Il est souvent nécessaire de faire appel à plusieurs d’entre elles selon la tâche que nous sommes en train d’effectuer. Par exemple, les jeux HAPPYneuron sont présentés et classés par catégorie, cependant ils stimulent la plupart du temps plusieurs aspects cognitifs. Les jeux de mémoire notamment requièrent une attention particulière pour optimiser le processus de mémorisation. L'attention et la mémoire L'interaction entre les deux fonctions cognitives attention et mémoire est très grande. L'attention se portera sur une information familière principalement si elle diffère du contexte habituel (dans notre exemple, un élément aurait été déplacé) ou si nous recherchons volontairement un objet dans l'environnement. Notons que notre (pré)nom, entendu dans des contextes divers (dans la rue, au restaurant...) captera aussi immédiatement notre attention, même si cette information nous est extrêmement familière.

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