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Les chiffres : l’économie du partage en Europe › yourope

Les chiffres : l’économie du partage en Europe › yourope

La monnaie alternative avec Tipkin Je vous avais déjà parlé des monnaies locales et je vous avais fait part de mon grand intérêt, ainsi que mon engouement pour elles ! Elles font partie intégrantes de l’économie collaborative. Elles permettent de re-dynamiser une économie locale, de valoriser des prestataires et producteurs locaux, et leurs adhérents répondent à une charte éthique ! Des points communs indéniables avec l’économie du partage et la consommation collaborative auxquelles Tipkin participe : Une fusion s’imposait ! Le Sol Violette semblait être le plus adapté, que ce soit pour sa position géographique (Tipkin est bien implanté en Haute-Garonne) et pour le message qu’il véhicule. Mais la monnaie alternative avec Tipkin ça consiste en quoi ? Ainsi localement, avec notre voisin, notre concierge, notre président de co-propriété ou tout simplement avec des gens du quartier ou des alentours, nous allons pouvoir faire des partages contre des sol violettes. Un « sol-kin » en somme ! Des conditions ?

The Sharing Economy Doesn’t Share the Wealth Every time Ian Haines rents out his spare room in the Australian port city of Albany, Airbnb takes a 13 percent cut. Haines, who’s semi-retired, uses the extra money to supplement his income running a local farmers market. He says he’s careful to pay taxes on the Airbnb money, because the San Francisco company may report the transactions to the Australian government. For Airbnb, things are different. Because it manages its finances via units in Ireland and tax havens like Jersey in the Channel Islands, only a small part of its share of the revenue is ever likely to be taxed by Australia or the U.S. A review of Airbnb’s overseas regulatory filings shows it has a far more extensive web of subsidiaries than it has publicly acknowledged—more than 40 in all. This is the challenge that Airbnb, like Uber and other companies in the so-called sharing economy, poses for the world’s treasuries. “These companies are the future,” says Stephen Shay, a former top international tax lawyer at the U.S.

Monnaies éthiques: les billets doux Dans son panier de courses, Sarah Barrière, une étudiante toulousaine de 26 ans, a mis des légumes, du lait de soja et des œufs. Quand elle passe en caisse, elle sort une poignée de coupons-billets colorés. Pas un seul euro. Comment ça marche ? Version tradi des monnaies sociales, le sol-violette, en circulation depuis mai 2011, est aussi l’expérience la plus aboutie. «Pour éviter que ces monnaies ne soient un gadget, il faut qu’elles apportent des solutions à un besoin quotidien», explique Anne-Cécile Ragot, de l’agence de conseil Alternatives & Alliances. Autre monnaie, autre objectif, les tookets, conçus en partenariat avec le Crédit agricole Pyrénées-Gascogne, s’adressent aux entreprises locales. Quelles origines ? D’une popularité limitée, le phénomène n’est pourtant pas récent. Pourquoi le phénomène monte-t-il aujourd’hui ? Ce contexte favorable au lancement de monnaies parallèles repose sur une conjonction de facteurs cités par les porteurs de projets. Quelles sont les limites ?

Rachel Botsman, pionnière de l’« économie collaborative » Charismatique, déterminée, rassembleuse : les qualificatifs élogieux ne manquent pas pour parler de Rachel Botsman. À 35 ans, cette ancienne directrice à la Fondation Clinton est devenue le porte-voix de l’économie collaborative. Un modèle où l’usage prédomine sur la propriété. Elle a créé l’agence Collaborative Lab, cabinet leader du secteur, qui travaille avec entreprises et gouvernements dans 26 pays. Un succès amplifié par Internet Nos comportements changent, à l’image du succès du covoiturage, du partage d’appartements… Une dynamique accentuée par la révolution Internet comme en témoigne l’audience de sites comme eBay ou Le bon coin. Maintenant, elle explique aux quatre coins de la planète comment cette « lame de fond » va bouleverser l’économie et faire du consommateur un acteur du marché. « Combien d’entre vous possèdent une perceuse électrique ? « Partager n’est pas anti-business » La solution pour éviter ce « gaspillage » ?

Voiture, logement, services : le Net réinvente l'économie du partage Les services d'échange de biens ou de talents se multiplient, sans forcément toujours faire recette. Un trajet de Paris à Arcachon en covoiturage pour 40 euros, trois fois moins cher que par le train. Une nuit chez l'habitant dans un bel appartement à Rome au prix imbattable de 50 euros. Ou un déjeuner typique pour 10 euros cuisiné par un voisin de plage. Durant les vacances, les Français affluent sur les sites de partage pour dénicher leurs bons plans, qui n'en finissent pas de gagner de nouveaux adeptes. Les pionniers de cette nouvelle économie sont nés dans les années 2000 avec une promesse ­attrayante: offrir aux internautes des gains d'argent en partageant des biens ou des talents qui n'étaient pas exploités jusqu'alors. Longtemps réservés aux initiés, ces sites ont gagné en notoriété et fait des petits. Deux raisons expliquent l'engouement récent des internautes pour le partage en ligne de leurs biens. Un modèle encore fragile • Louer sa voiture • Louer son temps • Louer ses talents

Economie solidaire : les circuits parallèles «Préférer le mieux au plus.» C’est le mantra de l’Américain Robert Costanza. Ce ponte de l’«économie écologique» (Libération du 5 mai) n’a pas attendu la crise pour appeler nos sociétés à retrouver l’essence de l’économie, et son but originel : améliorer le bien-être de l’humanité, plutôt que tout focaliser sur la consommation et la croissance matérielle, en épuisant le capital naturel dont nous dépendons. Cesser de courir comme un hamster dans sa roue pour produire et accumuler des biens dont on n’a - souvent - aucun besoin. Caricature.Libération est allé à la rencontre de ceux qui, mine de rien, appliquent déjà ce changement de société défini, entre autres, par Robert Costanza. Sur le terrain, il y a des raisons d’espérer : l’énergie est là, des citoyens se mobilisent et n’attendent pas que les politiques, souvent déconnectés des réalités, leur dictent leur mode de vie. Dogme. (1) «Vivement 2050 !» (2) «Un million de révolutions tranquilles», éd. Photo Thierry Pasquet. Coralie SCHAUB

Les vacances accessibles sous le signe du partage Depuis plusieurs jours le temps est enfin au beau fixe, nous donnant vraiment une sensation de vacances dans l’air. Les axes routiers des grandes villes ont commencé à se désengorger, rendant la circulation aux heures d’embauche plus fluide. Les premières cartes postales commencent à arriver dans les boites aux lettres, et les week-end grillades entre amis et festivités familiales se font entendre dans les quartiers. Ça y est les vacances sont là ! Et pourtant il y a une multitude de façons de profiter d’un coin de plage à moindre coût et se permettre de faire des activités très sympathiques. Si vous êtes le capitaine d’un groupe, pourquoi ne pas louer un véhicule 9 places et vous partager les frais. Pour ce qui est du lieu, à vous de choisir : loger chez l’habitant ou de profiter d’espaces plus grands, mais vous pourriez faire aussi un hébergement façon camping et se retrouver sous la tente. www.tipkin.fr Les plus courageux et aussi les plus aventureux pourront opter pour l’option vélo.

De l’économie collaborative à l’économie de fonctionnalité : passerelles Le dernier groupe de travail NOVUS avait pour objet de faire un focus sur la consommation collaborative et les changements de comportements des usagers, des consommateurs, d’identifier les passerelles possibles entre innovations du secteur non-marchand et économie de fonctionnalité et d’illustrer cela avec des exemples d’initiatives citoyennes. Comment proposer une nouvelle forme d’offre à ses clients ? Les consommateurs sont-ils réceptifs, ouverts à cette évolution ? Comment mettre en place une relation de confiance avec ses clients ? Vidéo à l’appui, Edwin Mootoosamy du collectif Ouishare souligne que beaucoup d’initiatives se développent en France et dans le monde dans le domaine de la consommation et de l’économie collaborative. Logiciels, production, finance, éducation, mobilité… autant de secteurs qui, à travers le collaboratif et l’open source, vivent une profonde mutation. En savoir plus sur NOVUS

Société: Partager plutôt qu'acheter - Société Société La consommation collaborative séduit de plus en plus de Romands. Née entre autres avec le covoiturage, elle s’étend aujourd’hui à tous les biens et services. Eco-Jardins partagés entre les habitanst d'un quartier à Morges. Etes-vous tenté par la consommation collaborative? Retrouver son voisin ECOJARDIN Une quinzaine d’habitants de Morges s’évertuent à faire pousser un nouveau projet: un «écojardin». Mille personnes par soirée SURFING DINNER «C’est lors d’un échange en Allemagne que j’ai découvert le surfing dinner. Vivre comme un local COUCHSURFING Damien est devenu couchsurfer il y a 3 ans. Signaler une erreur Vous avez vu une erreur? Veuillez SVP entrez une adresse e-mail valide Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Radins, altruistes, gauchistes ou adeptes de la rentabilité maximale… Tout ce petit monde se retrouve autour d’une économie en pleine expansion: la consommation collaborative. Nouvel état d’esprit

La consommation collaborative, une innovation durable La crise économique et la technologie se sont conjuguées et ont favorisé l'émergence de nouveaux modes de consommation basés sur le partage, l'usage plus que la propriété et le développement durable. Après le grand public, cette consommation collaborative gagne à présent les entreprises. Le concept de consommation collaborative est en train de gagner ses lettres de noblesse. Il repose sur un postulat simple : consommer ce n'est pas tant posséder qu’accéder à un produit ou à un service et en avoir l'usage. Partant de là, de nombreux services ont vu le jour comme la location d'objets entre particuliers, l'auto-partage et le co-voiturage, le troc de vêtements et d'objets, l'hébergement, les achats groupés, le crowd-funding alias le financement participatif et la finance avec les micro-prêts entre particuliers, par exemple. Ces nouveaux modèles de consommation sont nés de la conjonction de plusieurs événements. Un mouvement favorisé par les technologies numériques

Tous les chemins mènent à l’économie collaborative 22/04/14 : Élection européenne. Le 25 avril, José Bové, accompagné de Maryse Combres, candidate sur la liste du Sud-Ouest, visitera dans le 47 une exploitation expérimentale en agro-foresterie, puis se rendra des terres agricoles menacées d'artificialisation. 16/04/14 : Depuis le début de l'année, l'Aéroport de Bordeaux Mérignac a accueilli plus de 950.000 passagers et affiche une croissance de 3%, soit la plus forte croissance de trafic du top 5 des aéroports régionaux. 15/04/14 : Deux bombardiers d'eau Trackers sont prépositionnés sur l'aéroport de Mérignac depuis ce 15 avril compte tenu des risques d'incendie jugés : « sévères » par la préfecture en Dordogne et Charente-Maritime, « modérés » en Lot-et-Garonne, Gironde et Land 15/04/14 : Jean-Christophe Cambadélis a été élu ce 15 avril à la tête du parti socialiste par 67,12% des voix au sein du Conseil national contre 32,88% à Sylvain Mathieu candidat au nom de la gauche du PS. Cambadélis a promis des « Etats Généraux » du PS.

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