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Franck Lepage - Inculture 2 - Partie 1

Franck Lepage - Inculture 2 - Partie 1

Constante macabre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. André Antibi considère que la constante macabre est à l'origine de nombreux échecs scolaires. La constante macabre est un phénomène qui serait observé lors de la notation d'examens, par lequel la proportion de mauvaises notes serait similaire quel que soit le sujet de l'examen et quel que soit le correcteur, indépendamment de la qualité véritable des réponses données par ceux qui passent l’examen. Le terme a été créé en 1988 par André Antibi[1], chercheur en didactique, qui a publié en 2003 un livre sur le sujet[2]. « Par “Constante macabre”, j'entends qu'inconsciemment les enseignants s'arrangent toujours, sous la pression de la société, pour mettre un certain pourcentage de mauvaises notes. Ce pourcentage est la constante macabre[3]. » Ce phénomène de « sociologie dans l'évaluation » a depuis fait l'objet de plusieurs études, notamment dans le cadre de la sociologie de l'éducation[4],[5]. Définition[modifier | modifier le code]

Le jour où la proviseure a interdit les cours Le lycée Jean-Jaurès d’Argenteuil, c’est un établissement qui joue la polyvalence jusqu’au bout. Un lycée ZEP, dont le caractère industriel et scientifique est affirmé. 80 % de garçons, de bons résultats aux examens, un dynamisme pédagogique plutôt marqué, une assez bonne image. Tout semble bien aller et pourtant... C’est une montée de signes de non-adhésion à l’école parmi les élèves (absentéisme grandissant, agressivité en cours allant jusqu’au refus agressif de « jouer le jeu » dans certaines classes) qui nous a alertés. Et qui nous a fait émettre une hypothèse : les élèves n’ont pas de plaisir à être à l’école, celle-ci n’a pas de sens pour eux, à moins que le signe qu’elle renvoie ne soit que l’on ne veut pas d’eux ! Malaise... À partir de ce constat, nous avons organisé une demi-journée de réflexion mêlant professeurs, délégués et quelques parents, préparée par le comité de pilotage du projet d’établissement. une semaine de rupture Un sentiment de réussite Annie TobatyProviseure

Franck Lepage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Franck Lepage est l'un des fondateurs de la coopérative d'éducation populaire Le Pavé[1]. Militant de l'éducation populaire, il a été jusqu'en 2000 directeur des programmes à la Fédération française des Maisons des jeunes et de la culture et chargé de recherche associé à l’Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire[2]. En évoquant la mémoire de Christiane Faure, il aborde de façon critique le rôle de la culture dans la société avec un spectacle intitulé Inculture(s) 1 - L'éducation populaire, monsieur, ils n'en ont pas voulu…[3], qu'il a joué plus de quatre cents fois lors de « conférences gesticulées » entre 2006 et 2014. Avec les quatre coopératives d'éducation populaire qui composent "la Grenaille", il accompagne la réalisation d'autres conférences gesticulées dans le cadre de formations organisées par ces coopératives. Biographie[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code] SCOP Le Pavé

Macabre constant Description[edit] Many parameters may contribute to the prevalence of this phenomenon, but the two main causes are: The tendency to sanction in the examination rather than emulating knowledge. This forces the reviewers to create tests based not on knowledge and skills, but on tricky questions, or even meta-knowledge (e.g., available in the book but not studied in the program or in the course with the professor).The credibility of the examination / teacher / institution vis-à-vis the society, leading to the establishment of a constant rate of failure. The macabre constant creates an "artificial failure of students",[3] which may potentially lead to a school disengagement of failing students[4] by a mechanism similar to the learned helplessness. Studies[edit] In 2006, Andre Antibi conducted a survey of 1900 teachers in France, which led to the result that "95% of the teachers recognized that the macabre constant existed, by which they account for the systematic attribution of bad marks

Bernard Defrance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parcours professionnel[modifier | modifier le code] Né le 26 novembre 1945 à Bourges, Bernard Defrance a étudié la philosophie et a d'abord enseigné la psychopédagogie et la philosophie de l'éducation en École Normale d'Instituteurs, puis la philosophie en lycées (Champagne-sur-Seine, Meaux, Stains). Publications[modifier | modifier le code] Bernard Defrance a publié un grand nombre d'articles parus dans de nombreuses revues concernant le droit et l'éducation, de même que de nombreuses contributions à des ouvrages collectifs[2]. La violence à l’école, éd. Références[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] Site de Bernard Defrance Portail de l’éducation

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