Entreprendre c'est apprendre
Êtes-vous d’accord pour dire qu’entreprendre c’est apprendre? Cette réflexion m’est venue en tête en discutant brièvement avec Paul-Arthur Fortin, fondateur de la fondation de l’entrepreneurship lors du Forum d’automne 2011 qui consiste à favoriser l’entrepreneuriat à l’école. Je suis convaincue que les Éric Chouinard, Guy Laliberté, Jean Coutu, Alain Bouchard, Cora Tsouflidou de ce monde pourraient en dire long sur le sujet. Selon moi, entreprendre c’est aussi apprendre : Apprendre à entreprendre Lorsque j’ai interrogé mon entourage à savoir s’ils avaient appris plus en dehors de leurs études, plusieurs m’ont répondu que c’était le cas. Qui, alors, doit enseigner l’entrepreneurship ? À mon avis, les entrepreneurs sont les mieux placés pour apprendre à entreprendre. Les entrepreneurs-athlètes de l’école entrepreneurship de Beauce ( titre donné aux étudiants de l’école ) sont par exemple toujours actifs dans leur entreprise. Peut-on tout apprendre de l’entrepreneurship ? Bien sûr que non.
investissement et dépense : comprenez les différences
Non, ne croyez pas lire un article entièrement dédié aux finances personnelles. En effet, si aujourd’hui je vous parle d’investissement et de dépense c’est pour aller plus loin et comprendre comment ces deux concepts peuvent nous être utiles dans bien d’autres et notamment l’efficacité ou bien la réalisation d’objectifs. La dépense : Avant de traiter d’investissements, commençons tout d’abord par les dépenses. Qu’est-ce qu’une dépense ? D’un point de vue financier, ce serait employer votre argent pour l’achat d’un bien ou d’un service sans espérer y voir un quelconque retour. Côté efficacité, une dépense pourrait se présenter par une perte de temps sur une action qui vous apporterait peu ou pas de retours. Une dépense est donc l’emploi de vos ressources (temps, argent, travail et/ou énergie) à perte ! Généralement, vous n’avez pas conscience de la dépense et ce n’est qu’après coup que vous réaliserez le véritable état des choses. L’investissement Investissement et prise de risques
L’effet domino du fail : sourcez !
Lundi 18 février, aux aurores, un coup de tonnerre fend la twittosphère journalistique : le groupe Dassault serait en train d’étudier un rachat du journal Le Parisien. C’est Laurent Guimier (Europe 1) qui révèle le scoop de France 24. Au tout petit matin, le scoop est repris par une Twittos (éditrice de journaux locaux – EDIT 19/02 : le tweet a été supprimé depuis) qui indique France 24 pour seule source. La presse libre est en danger, les retweets fusent – celui de @Vogelsong par exemple. Mais il y a un hic. Moqué, Jean-Christophe Féraud ne se démonte pas. Moralité : soit vous êtes journaliste et vous vérifiez vos sources avant de les relayer ;soit vous ne l »êtes pas et, si vous n’êtes pas la source de l’information, indiquez de qui vous la tenez, par un « via » ou « v/ » qui vous permettra de vous défausser si l’on vous accuse de colporter une fausse information : alimentée dans les règles de l’art, la mémoire du web peut remonter le fil de la pelote jusqu’à son origine !
Anthropology of Mid-Sized Startups
Guest post by Kevin Simler, who works at Palantir, observes the startup scene, and writes at Melting Asphalt, about… well, go see for yourself. In their natural habitats, social species organize into characteristic groups. Gazelles form herds, wolves form packs, and ants form colonies. Humans, in the same way, form tribes. Of course, we’re pretty far removed from our natural habitat these days. But tribes are a large and fundamental part of our evolutionary heritage, and they have a corresponding influence on our mental and social lives. Humans also form kingdoms, nations, states, and civilizations, but those units of organizations aren’t as fundamental to our psychology. So let’s see what happens when we treat startups as tribes. To do that, we’ll need to use the methods of anthropology rather than business analysis. Startups as tribes is a useful shift in perspective, I think, because we typically think about startups with a more technical mindset. Startups in culture space Rank ways.
Juger moins juger mieux (4): développer son jugement
Sylvaine Pascual – Publié dans Talents et ressources Nous avons tous le sentiment de savoir faire preuve de discernement, bien que nos certitudes soient plus souvent le fruit de nos préjugés que d’une conclusion solide suite à une étude approfondie du sujet. Rassurez-vous tout de même, quand je parle de juger moins, juger mieux, il ne s’agit pas de verser dans l’amour universel, béat et inconditionnel de 7 milliards de bipèdes, de tout ce qui les entoure et de tout ce qu’ils produisent. Nous conservons intact un droit au désaccord, à la mésestime, à l’antipathie sans lequel nous serions encore sous un régime médiéval. Chaque sentiment, chaque opinion, chaque décision renferme un jugement, et tous ne sont pas néfastes ou à proscrire. Nul besoind’un bac + 18 en philosophie pour développer son sens critique. 1- Eviter la généralisation Par nature abusive, la généralisation peut consister par exemple à transformer un comportement en identité : Tartempion a cassé un verre ? 2- De la nuance !
Can a Locavore Eat Chocolate, Coffee and Bananas with a Clear Conscience? | Simple, Good and Tasty
Chances are, if you’re a regular visitor to this web site, you proudly support the mission of local, sustainable farms: you’re a member of your neighborhood food co-op; you shop at farmers markets; you subscribe to a regular CSA delivery; you spend your Saturdays crop-mobbing; and you eat in restaurants that are similarly committed to supporting local farmers. Pat yourself on the back. You’re an informed and conscientious locavore – and darn proud of it. You care about your food’s origin, its environmental impact, and its connection to the community. So, tell me: Is it possible to honor these values if you eat food that’s not grown within a 100-mile radius, maybe even a 1,000-mile radius, of where you live? I hear you grumbling: “Do you expect me to boycott some of life’s greatest pleasures just because I live in a climate that can’t grow the crops that make them? Put down the ax. Maybe you’ve heard it but you’re not really sure what it is. 1. 2. 3. 4. 5.
Introduction to Growth Hacking for startups : SGE
Pintrest, Facebook, Zynga, Dropbox, AirBnb… What do they all have in common? They’ve all used growth hacking techniques to grow their user base from zero to millions (and sometimes hundreds of millions). Growth Hacking isn’t viral marketing (although viral marketing is part of it). Growth Hacking comes to solve a very common problem in consumer startups: getting to the first x thousand/million users quickly once the product has launched and the hype has passed. The term “Growth Hacking”, invented by Sean Ellis, and made popular by Andrew Chen, a Silicon valley marketer and entrepreneur, is a combination of two disciplines – marketing and coding: Growth hackers are a hybrid of marketer and coder, one who looks at the traditional question of “How do I get customers for my product?” In a recent post, TechCrunch defined the three characteristics of a Growth Hacker as follows: First Steps in Growth Hacking for Startups Growth Hacking Resources: Eze Vidra Latest posts by Eze Vidra (see all)
10 Leadership Nuggets from Nelson Mandela
Très intéressants propos, sur genèse, vie et mort de startups. Incubateur HEC... by ocpourvoir Jul 19