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Extreme transformer home in Hong Kong: Gary Chang's 24 rooms in 1

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Le confinement ou la consécration de la « maison-monde » Le confinement imposé pendant deux mois a transformé nos usages et notre regard sur l’espace domestique. Dans un article en forme de brève histoire de la maison et de sa charge symbolique, Bertrand Naivin, théoricien de l’art et des médias, revient sur ces évolutions, à l’heure où « rester chez soi revient à sauver des vies ». La maison semble n’avoir jamais été autant valorisée que depuis la période de confinement qui s’est refermée le 11 mai. Lieu de protection, elle n’est plus seulement ce foyer où l’on se retire des dangers du monde mais est devenue également un poste de combat d’où l’on peut oeuvrer à l’endiguement de l’épidémie de coronavirus. La maison comme espace de résistance On a vu naître un « casaniérisme » d’un genre nouveau, qui se pare d’une vertu citoyenne. Car en ces temps viraux, rester chez soi revient à sauver des vies. La maison comme hyperlieu La maison est devenue en quelques jours un hyperlieu où se mêlent plus que jamais activités intimes et publiques. Tribune

Le wabi-sabi, un art de vivre pour être heureux avec peu | Le Huffington Post LIFE BIEN-ÊTRE - Ça y est. Nous y sommes. La nouvelle année vient de commencer. Peut-être avez-vous déjà réfléchi à une bonne résolution pour 2019, ou peut-être pas. Pour toutes les personnes qui sont dans ce second cas, il n'est pas trop tard. Si votre premier vœu consiste à adopter un mode de vie pour être plus heureux ces douze prochains mois, le concept qui suit peut vous séduire. Il ne nécessite aucun achat, ni aucun véritable sacrifice (matériel, en tout cas). Dit comme ça, cela paraît un peu flou. Schon & Probst/Picture Press via Getty Images C'est une définition du bien-être à la japonaise. Se concentrer sur l'essentiel Dans la vie de tous les jours, il se traduit de plusieurs façons. "Au lieu de remplir son agenda d'innombrables rendez-vous pour boire un café, il vaut mieux se ménager un dimanche libre pour avoir le temps de manger, de lire et de partager de bons moments avec des êtres qu'on aime vraiment, conseille cette dernière. [...] Ce dernier exemple est important.

La maison du Docteur Hitchcock - La Boîte à Images Psychose d’Alfred Hitchcock est paru sur les écrans il y a soixante ans exactement, le 16 juin 1960. Quand on pense à ce film, c’est aussitôt son rideau de douche qui nous vient en mémoire, cette douche où périt l’héroïne au bout de quarante-six minutes. Il est toutefois un autre personnage aussi important, et c’est la maison où vivent Norman Bates et sa mère. House by the Railroad par Edward Hopper, 1925 La similitude visuelle est évidente, mais cela va un petit peu plus loin que ça. Une maison bien inquiétante dans laquelle on n’oserait pas pénétrer, même si l’on pouvait franchir l’espace qui nous en sépare. Une maison qui n’en est pas une, puisqu’elle n’a pas de porte. « The house shines with finality… like a coffin» (la maison brille d’un caractère définitif, tel un cercueil). Un cercueil monumental, un tombeau vide préfigurant notre avenir inéluctable. La maison de Psychose est certes plus petite, plus simple que celle d’Haverstraw, mais sans aucun doute, elle s’en inspire.

Christopher Alexander Christopher Alexander. Sa théorie des patrons de conception ou des types culturels remet en question l'idée qu'il puisse y avoir une création ou une invention originale et individuelle dans le domaine de la conception. Les formes culturelles, qu'elles soient artistiques, mathématiques, littéraires ou juridiques, sont des idéaux transhistoriques (les types ou modèles) vers lesquels tendent les créations individuelles (les œuvres) qui ne sont que l'actualisation d'un processus de création qui reste collectif et transcende toutes les contributions individuelles. Ainsi, la valeur d'une œuvre singulière ne réside pas dans une originalité qui consisterait à s'éloigner de tout ce qui est connu, mais au contraire dans le fait d'approcher et de se conformer le plus possible à la forme idéale, au modèle culturel, et à le révéler en dépassant ses incarnations antérieures. Biographie[modifier | modifier le code] Travaux[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code]

La maison, miroir de soi - Ép. 1/5 - Habiter, demeurer, se loger Habiter, c’est bien plus que se loger : c’est s’inscrire dans une réalité différente pour chacun, c’est un mode de vie, qui touche à la fois à l’intime et au collectif. Habite-t-on un lieu, un pays ou le monde ? Choisit-on toujours où l’on veut habiter ? Le fait-on par raison ou par émotion ? Seul ou avec d’autres ? Nous nous concentrerons ici sur la philosophie de l’habiter : Heidegger (« habiter en poète...»), Gaston Bachelard (« être de quelque part »), Ivan Illitch (« Nous perdons l’art d’habiter, on loge maintenant ! Thierry Paquot, philosophe et urbaniste, professeur émérite à l'institut d'urbanisme de Paris et récemment auteur de Désastres urbains : les villes meurent aussi (Editions La Découverte, 2019), nous en parle ce soir. Habiter c’est « être présent au monde et à autrui ». On ne peut pas habiter la Terre simplement en ayant un logis. L’adolescent doit pouvoir avoir son chez soi, y compris chez ses parents. >>> Extrait musical : "Quatre murs et un toit" de Bénabar.

"Dans ma maison": analyse du BO Ce premier spark propose de reproduire et d'analyser le Bulletin officiel n°16 du 22 avril 2021 concernant le thème 2021-2023 de CGE au BTS: "Dans ma maison". Vous le retrouverez ici dans son format de publication original ou ci-dessous sur le site des Lettres de l'Académie de Paris: Voici donc d'abord la problématique telle que posée dans le BO. Les éléments en gras sont ceux sur lesquels nous allons nous arrêter pour approfondir les enjeux suggérés dans ce texte. Problématique La maison : rien n'est plus commun et familier que cet objet architectural, un toit et des murs, un abri où l'on se sent chez soi. La clôture architecturale de la maison semble favoriser le repli heureux sur soi, seul ou au sein d'une communauté choisie. Espace symbolique autant qu'architectural, la maison nous fait entrer dans les domaines de l'imaginaire et du rêve. 1. 2. quelques propositions Notre habitat nous définit-il d'un point de vue social ? Analyse des mots-clés et expressions Mots-clés Expressions 3. 4.

BTS : La maison onirique COLETTE, La Maison de Claudine, 1922. La maison était grande, coiffée d’un grenier haut. La pente raide de la rue obligeait les écuries et les remises, les poulaillers, la buanderie, la laiterie, à se blottir en contre-bas tout autour d’une cour fermée. Accoudée au mur du jardin, je pouvais gratter du doigt le toit du poulailler. Le Jardin-du-Haut commandait un Jardin-du-Bas, potager resserré et chaud, consacré à l’aubergine et au piment, où l’odeur du feuillage de la tomate se mêlait, en juillet, au parfum de l’abricot mûri sur espaliers. Apprendre à ne pas enseigner - Ép. 1/5 - Patrick Bouchain, l’architecture en partage Par Raphaël Bourgois. Réalisation : Vincent Abouchar. Attachée de production : Claire Poinsignon. « L’architecture est politique et doit répondre au souci de l’intérêt général », voilà en quelques mots résumés par Patrick Bouchain lui-même sa conception du métier. Pour la mettre en œuvre, l’architecte a élaboré une pratique bien plus qu’une théorie, même si comme on le verra au cours de ces entretiens, la cohérence de la démarche se résume en une cohérence de la pensée. C’est que Patrick Bouchain, architecte anti-star même s’il est « connu », a commencé à construire tardivement, vers 40 ans, après avoir passé plusieurs années à enseigner et à repenser surtout la meilleure façon de transmettre. Cette approche de l’architecture, Patrick Bouchain la développée tout au long de son parcours et bien au-delà des frontières de son métier. ENSCI - Les Ateliers : École nationale supérieure de création industrielle.

Confinement: les maisons plus populaires que les appartements Alors que suite au confinement, 36 % des Français sont enfermés dans un appartement, dont un tiers dans un logement sans balcon ni terrasse ou jardin ; l’envie de liberté se fait grandissante. Ce besoin d’air frais, de nature, de liberté se traduit ainsi par un regain d’attrait pour les maisons. Depuis mi-mars, il semblerait que les Français soient effectivement plus en quête de trouver une maison qu’un appartement. Faut-il y voir un effet du confinement ? Cette préférence pour les maisons sera-t-elle de long terme ? Quelles conséquences pourraient donc avoir cette tendance ? Confinement : tout le monde n’est pas sur un pied d’égalité… Depuis les annonces présidentielles du 15 mars, les Français sont confinés chez eux. On trouve à cela plusieurs raisons. Avec le confinement, la cohabitation est donc compliquée : manque de mètres carrés, manque de loisirs, manque de diversité, manque de liberté… Les Français rêvent d’être ailleurs. Un regain d’attrait pour les maisons

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