analyse d'oeuvres Les attributs de la peinture, de la sculpture et de l'architecture est un tableau de 1769, peint pour une circonstance très précise: l'admission à l'Académie royale de Peinture et de Sculpture. Ce morceau de réception avait pour pendant Les attributs de la Musique. Anne Vallayer (qui épousera M. Coster en 1782) a vingt-cinq ans quand elle s'y présente en 1770. Elle n'est pas la seule femme à y être entrée. Dès sa constitution l'Académie admet quinze femmes. [ + ] Les attributs de la musiquepar Anne Vallayer-Coster(huile sur toile, 90x121cm, 1769, Paris, Louvre), copyright RMN © [ + ] Un exercice académiqueEn 1648 Charles Le Brun, peintre officiel de la Cour, obtient du jeune Louis XIV la création d'une Académie royale de Peinture et de Sculpture,indépendante des puissants maîtres-jurés de la corporation de Saint-Luc. Un jeu de citations : Il y a tout d'abord le motif même. Enfin un emprunt patent à Chardin. En cela Anne Vallayer ne fait que respecter les conventions du genre.
Soldiers could have their bones copied and 3D printed in case of injury But the experts are now in talks to use the technology to scan healthy people to create a personal three dimensional record so that it could be compared with later scans after an injury. Scientists believe it could be particularly useful for creating state-of-the art limbs for wounded soldiers because the exact dimensions of their limbs would be recorded in 3D detail. Speaking at a conference in San Jose, California, Dr James Mah, Director of Advanced Education Program in Orthodontics at the University of Nevada, said that discussions were already taking place to bring the technology to the battlefield. “The idea is to image somebody when in a healthy state so that the data is available at a later point,” he said. “We do have soldiers that are injured, they lose limbs and it is a challenge to reconstruct. The thinking is if they do an image beforehand they may be able to 3D print a femur which could provide a template to facilitate surgical repair in the field.”
pensées intentions Et si nos pensées exerçaient une influence sur la réalité Et si la vigueur de nos intentions, focalisées sur ce que l’on souhaite vraiment, avait le pouvoir d’induire de véritables changements dans notre vie et de façonner le monde qui nous entoure ? Le Secret, best-seller de Rhonda Byrne, traduit en quarante-six langues, évoquait déjà en 2008 la loi de l’attraction de la pensée. Selon l’auteure, il suffit de visualiser l’objet de nos désirs et d'être convaincu qu’on l’aura pour qu’un message soit alors envoyé à l’Univers, qui se débrouillera pour réaliser notre souhait dans n’importe quel domaine : amour, santé, bonheur mais aussi pouvoir, argent, biens matériels, etc. Une recette simpliste, généreusement saupoudrée de « magie » et de « new age », un peu dure à avaler pour les plus cartésiens – qui taxèrent ce livre de « tissu de mensonges » -, et trop difficile à digérer pour les plus ouverts d’esprit– qui reprochèrent à l’auteure de mélanger ambitions matérialistes et spiritualité.
Networked Knowledge and Combinatorial Creativity by Maria Popova Why creativity is like LEGO, or what Richard Dawkins has to do with Susan Sontag and Gandhi. In May, I had the pleasure of speaking at the wonderful Creative Mornings free lecture series masterminded by my studiomate Tina of Swiss Miss fame. I spoke about Networked Knowledge and Combinatorial Creativity, something at the heart of Brain Pickings and of increasing importance as we face our present information reality. The talk is now available online — full (approximate) transcript below, enhanced with images and links to all materials referenced in the talk. These are pages from the most famous florilegium, completed by Thomas of Ireland in the 14th century. In talking about these medieval manuscripts, Adam Gopnik writes in The New Yorker: Our minds were altered less by books than by index slips.” You may have heard this anecdote. Here’s the same sentiment from iconic designer Paula Scher on the creation of the famous Citi logo: Kind of LEGOs. And I like this last part.