Sérendipité, ou de l'art de faire des trouvailles 1er février 2005 par par Pek van Andel m.v.van.andel@med.rug.nl Texte traduit et adapté du hollandais par Danièle Bourcier, directeur de recherche au CNRS bourcier@msh-paris.fr Sérendipité, ou de l'art de faire des trouvailles Ex chercheur et expérimentateur à l'université de Groningue, Pek van Andel possède la plus grande collection mondiale de sérendipités et est considéré aux Pays-Bas comme "sérendipitologue". L'auteur a proposé aux journaux Le Monde et Le Figaro le texte qui suit - texte d'une communication faite le 1er février 2005 à l'université de Cannes - qui en ont refusé la publication (mais était-ce finalement le bon endroit où le publier ?). Il a alors décidé de l'offrir ici gratuitement, à condition que soient respectés le droit d'auteur et celui de la traduction. Automates Intelligents Le mot serendipity ('sérendipité' en transcription) a été forgé il y a 251 ans. Introduction L'histoire Le mot sérendipity a été crée le 28 janvier 1754. Ici se termine le passage de la lettre.
Internet des objets Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Internet des objets (IdO ou IoT pour Internet of Things en anglais) représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers le réseau Internet. L'internet des objets est considéré comme la troisième évolution de l'Internet, baptisée Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l'ère du Web social. Histoire et définition de l'internet des objets[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Il est parfois suggéré que l'objet deviendra un acteur autonome de l'Internet, capable de percevoir, analyser et agir de lui-même selon les contextes ou processus dans lesquels il sera engagé[5].
Sacred Economics - Charles Eisenstein Le but de ce livre est de faire en sorte que l’argent et l’économie soient aussi sacrés que tout le reste de l’univers. Actuellement nous associons l’argent à ce qui est profane et avec juste titre. S’il y a quoi que ce soit dans ce bas monde qui est sacré, ce n’est certes pas l’argent. Depuis que Jésus a chassé les marchants du temple, nous associons l’argent à quelque chose d’impure. Mais en même temps personne ne peux nier que l’argent a aussi une mystérieuse qualité magique. Évidemment, si l’on veut faire de l’argent quelque chose de sacré, rien de moins qu’une révolution sous forme d’une vente en gros de ce qu’est l’argent ne peux suffire; Une transformation de sa nature essentielle. Il ne s’agit pas de simplement modifier notre attitude vis à vis l’argent tel que le prétendent certains pseudos gourous. Une transformation du profane vers le sacré de l’argent; quelque chose d’aussi encré dans notre identité et central au fonctionnement du monde aurait tout un effet profond.
Smart grid Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le smart grid est une des dénominations d'un réseau de distribution d'électricité « intelligent » qui utilise des technologies informatiques de manière à optimiser la production, la distribution, la consommation et qui a pour objectif d’optimiser l’ensemble des mailles du réseau d'électricité qui va de tous les producteurs à tous les consommateurs[1] afin d’améliorer l'efficacité énergétique de l'ensemble. L'apport des technologies informatiques devrait permettre d'économiser l'énergie en lissant les pointes de consommation et en diminuant les capacités de production en pointe qui sont les plus coûteuses, de sécuriser le réseau et d'en réduire le coût. C'est aussi une réponse partielle à la nécessité de diminuer les émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre le réchauffement climatique. En outre, le smart grid est l'une des composantes de la notion de ville intelligente (smart city). Terminologie[modifier | modifier le code]
Loi de puissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En science, une loi de puissance est une relation entre deux quantités x et y qui peut s'écrire de la façon suivante : où a est une constante dite constante de proportionnalité et k est une autre constante, dite exposant, puissance, indice ou encore degré de la loi. On observe des lois de puissance dans beaucoup de domaines scientifiques (physique, biologie, psychologie, sociologie, économie, linguistique). Elles permettent en effet de décrire tous les phénomènes qui présentent une invariance d'échelle. Propriétés[modifier | modifier le code] Invariance d'échelle[modifier | modifier le code] L'une des caractéristique des lois de puissance est leur invariance d'échelle. Ainsi toute les lois de puissance de même exposant sont équivalente à un facteur constant près. Tracé logarithmique[modifier | modifier le code] Sur un graphique aux échelles logarithmiques, le graphe d'une loi de puissance est une droite. En posant , et
L'économie du care Le care, c'est le soin, l'attention, l'aide. Bref, tout ce qui, à travers des liens personnels, apporte aux personnes en difficulté la béquille, les soins ou l'affection dont elles ont besoin. C'est l'antithèse de l'homo oeconomicus, individu rationnel, égoïste et préoccupé de son seul intérêt. L'auteur oppose ainsi l'approche morale d'Emmanuel Kant à celle d'Adam Smith, qui fait de l'empathie l'une des bases du comportement humain, alors que les libéraux n'en ont retenu que la place de l'intérêt personnel.
Ringwoodite Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un échantillon de ringwoodite bleu, sa plus grande dimension est d'environ 150 micromètres. Le minéral a été identifié la première fois dans la météorite de Tenham en 1969[5]. Il a été nommé en l'honneur du spécialiste des sciences de la Terre Ted Ringwood (en) (1930-1993), qui a étudié les transitions de phase polymorphiques de l'olivine et du pyroxène, communs dans le manteau terrestre, à des pressions et températures élevées. En 2014, un diamant[4]provenant de grandes profondeurs est trouvé à Juína, Mato Grosso, au Brésil. Il contient des inclusions de ringwoodite et est actuellement le seul échantillon d'origine terrestre[6]. (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ringwoodite » (voir la liste des auteurs).
Définition du Big Data - Profitez des opportunités du Big Data - France Définition du Big Data Chaque jour, nous générons 2,5 trillions d’octets de données. A tel point que 90% des données dans le monde ont été créées au cours des deux dernières années seulement. Ecoutez les experts Le Big Data couvre quatre dimensions : volume, vélocité, variété et véracité. Volume : les entreprises sont submergées de volumes de données croissants de tous types, qui se comptent en téraoctets, voire en pétaoctets. Transformer les 12 téraoctets de Tweets créés quotidiennement en analyse poussée des opinions sur un produitConvertir les 350 milliards de relevés annuels de compteurs afin de mieux prédire la consommation d'énergie Vélocité : parfois, 2 minutes c'est trop. Scruter 5 millions d'événements commerciaux par jour afin d'identifier les fraudes potentiellesAnalyser en temps réel 500 millions d’enregistrements détaillés d’appels quotidiens Véracité : 1 décideur sur 3 ne fait pas confiance aux données sur lesquelles il se base pour prendre ses décisions.
Manifeste pour l'économie positive LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Jacques Attali, économiste Notre modèle économique semble avoir atteint ses limites. Les crises s'enchaînent et se nourrissent, inextricablement liées : de crise financière en crise économique. De crise sociale en crise environnementale. De crise politique en crise philosophique. Avançons trois raisons majeures qui nous incitent à agir. En premier lieu, parce que les modèles qui ont organisé le XXe siècle ont mené à l'impasse. De son côté, le capitalisme financier, qui ne cherchait plus qu'à se protéger du risque, a imposé partout un modèle construit sur l'incitation financière. Ensuite, parce que la dictature du court terme est suicidaire. Enfin, parce que l'avenir défie la raison marchande. Or, ces secteurs sont devenus fondamentaux. Nous ne ferons pas face à ces transformations en faisant "plus" de ce que nous faisions déjà. Mais qu'est-ce que l'économie positive ? L'économie positive, c'est d'abord une vision positive de l'homme.
Principe de Peter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe de Peter, également appelé « syndrome de la promotion Focus », est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le Principe de Peter (1970)[1]. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité. » L'ouvrage de Peter et Hull est rédigé sur un ton satirique mais le principe qu'il expose a fait l'objet d'études universitaires étudiant sa validité par la modélisation ou par la confrontation à des cas réels, certaines concluant à sa validité complète ou partielle. Présentation de la thèse[modifier | modifier le code] Explication du principe[modifier | modifier le code] Ces dernières hypothèses ne sont qu'une interprétation non systématiquement retenue du principe de Peter. ↑ Laurence J.
Mémétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mémétique utilise le concept de mème, pour étudier les évolutions de la culture avec une approche Darwinienne étendue. Si la génétique se base sur le concept de gène, pour étudier la nature, la mémétique se base sur le concept de mème, pour étudier la culture. On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés mèmes, dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’homme, l’animal, la machine (tout support mémoriel). Le mème peut se définir comme un élément d'une culture pouvant être considéré comme transmis par des moyens non génétiques, en particulier par l'imitation[1]. Elle associe les sciences de autour de l'étude de l'évolution des phénomènes culturels dans le temps et l'espace physico-social, dans une approche culturo-centrée. Origine[modifier | modifier le code] Le mot mémétique a été formé dans les années 1980 à partir du terme mème. L'approche d'Aaron Lynch est un exemple[2]. Certains[Qui ?]