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Économie circulaire

Économie circulaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie circulaire est une expression générique désignant un concept économique qui s'inscrit dans le cadre du développement durable et s'inspirant notamment des notions d'économie verte, d’économie de l'usage ou de l'économie de la fonctionnalité, de l'économie de la performance et de l'écologie industrielle (laquelle veut que le déchet d'une industrie soit recyclé en matière première d'une autre industrie ou de la même). Son objectif est de produire des biens et services tout en limitant fortement la consommation et le gaspillage des matières premières, et des sources d'énergies non renouvelables ; Histoire[modifier | modifier le code] Elle s'inspire notamment de Michael Braungart et de William McDonough ou plus exactement de leur formulation de la théorie du Du berceau au berceau (formalisée en 2002). Éléments de définition et d'enjeux[modifier | modifier le code] En France[modifier | modifier le code] Outils[modifier | modifier le code]

Écosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’écosophie est un concept forgé par le philosophe Arne Næss à l'Université d'Oslo en 1960. C'était au début du mouvement de l'écologie dite écologie profonde qui invite à un renversement de la perspective anthropocentriste : « l’homme ne se situe pas au sommet de la hiérarchie du vivant, mais s’inscrit au contraire dans l’écosphère comme une partie qui s’insère dans le tout » — Arne Næss , [1]. C'est autour de ce constat que va se développer l'écosophie comme un courant de pensée du mouvement écologiste depuis les années 1960. Ce courant est proche de celui de l'éthique environnementale qui remet en cause l'homme comme mesure de toute chose, ou comme sommet absolu de l'évolution, s'autorisant à puiser sans limite dans les ressources naturelles. Les trois écologies de Félix Guattari[modifier | modifier le code] — Anne Querrien, « Les Cartographies schizoanalytiques », Les Mardis de Chimères, juin 2008 [lire en ligne][MP3] Autres textes

Sacred Economics - Charles Eisenstein Le but de ce livre est de faire en sorte que l’argent et l’économie soient aussi sacrés que tout le reste de l’univers. Actuellement nous associons l’argent à ce qui est profane et avec juste titre. S’il y a quoi que ce soit dans ce bas monde qui est sacré, ce n’est certes pas l’argent. Depuis que Jésus a chassé les marchants du temple, nous associons l’argent à quelque chose d’impure. Mais en même temps personne ne peux nier que l’argent a aussi une mystérieuse qualité magique. Évidemment, si l’on veut faire de l’argent quelque chose de sacré, rien de moins qu’une révolution sous forme d’une vente en gros de ce qu’est l’argent ne peux suffire; Une transformation de sa nature essentielle. Il ne s’agit pas de simplement modifier notre attitude vis à vis l’argent tel que le prétendent certains pseudos gourous. Une transformation du profane vers le sacré de l’argent; quelque chose d’aussi encré dans notre identité et central au fonctionnement du monde aurait tout un effet profond.

Doux rêveurs & EnR - Peak Civilization Ou pourquoi nous n'aurons pas, en 2100 (ou 2050), le joli tableau décrit par quelques rêveurs : des majestueuses éoliennes autour de banlieues futuristes recouvertes de panneaux photovoltaïques, des voitures électriques ou à hydrogènes qui foisonnent sur des routes cadriant des prairies verdoyantes dans un monde globalement inchangé. […] J'aimerais donc mettre en lumière un aspect trop souvent ignoré (Outre les conséquences économiques/sociales des pics hydrocarbures) dans les projections de « mixs énergétiques over-greeeeen » sur lesquelles se tripotent une bonne partie des « écolo-bobos ». L’énergie nette La Présentation à laquelle il est fait référence à l'article 653[1], qui promeut l'énergie renouvelable comme alternative majeure aux carburants fossiles et à l'énergie nucléaire échoue à fournir des budgets énergétiques réalistes. Walter Youngquist a déclaré en 1999 : « Cinq litres d'essence contiennent la même énergie qu'une tonne de batteries électriques traditionnelles ».

L'économie du care Le care, c'est le soin, l'attention, l'aide. Bref, tout ce qui, à travers des liens personnels, apporte aux personnes en difficulté la béquille, les soins ou l'affection dont elles ont besoin. C'est l'antithèse de l'homo oeconomicus, individu rationnel, égoïste et préoccupé de son seul intérêt. L'auteur oppose ainsi l'approche morale d'Emmanuel Kant à celle d'Adam Smith, qui fait de l'empathie l'une des bases du comportement humain, alors que les libéraux n'en ont retenu que la place de l'intérêt personnel.

L’ÉCONOMIE POSITIVE : « J’ai des doutes… », par Maurice Lévy, suivi d’une réponse par Paul Jorion L’économie positive : « J’ai des doutes… » par Maurice Lévy. 4 avril 2013 J’avoue mon embarras. S’agissant de se projeter à l’horizon 2030 l’exercice devrait pourtant s’avérer facile. Il suffit de se laisser porter par l’utopie d’une économie « qui ferait du bien à tous » et du mal à personne. Mais, Il y a une situation de départ qui est de plus en plus déprimante, où la France perd chaque jour des points (ce n’est pas d’aujourd’hui : cette situation trouve son origine dans l’incapacité du modèle social français de s’adapter à un monde qui change..). Il y a un monde ouvert à la concurrence où la guerre économique a remplacé (pour partie) les guerres de conquêtes de territoires. Et une mondialisation qui a produit des effets considérables pour le mieux-être des populations des pays émergents (avec des déséquilibres considérables) et des tensions sur l’emploi dans la majorité des pays matures. Dès lors, on peut s’interroger : Réactions aux propositions terrain : Mais surtout : Maurice LEVY

Manifeste pour l'économie positive LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Jacques Attali, économiste Notre modèle économique semble avoir atteint ses limites. Les crises s'enchaînent et se nourrissent, inextricablement liées : de crise financière en crise économique. De crise sociale en crise environnementale. De crise politique en crise philosophique. Avançons trois raisons majeures qui nous incitent à agir. En premier lieu, parce que les modèles qui ont organisé le XXe siècle ont mené à l'impasse. De son côté, le capitalisme financier, qui ne cherchait plus qu'à se protéger du risque, a imposé partout un modèle construit sur l'incitation financière. Ensuite, parce que la dictature du court terme est suicidaire. Enfin, parce que l'avenir défie la raison marchande. Or, ces secteurs sont devenus fondamentaux. Nous ne ferons pas face à ces transformations en faisant "plus" de ce que nous faisions déjà. Mais qu'est-ce que l'économie positive ? L'économie positive, c'est d'abord une vision positive de l'homme.

» L’économie symbiotique Depuis 40 ans, des acteurs du monde entier ont développé de nouvelles stratégies durables dans tous les secteurs : agriculture, énergie, habitat, gestion des déchets et de l’eau, mobilité, biens d’équipements et de consommation… Bien qu’élaborés dans des contextes très différents et sans concertation, ces modèles économiques présentent une admirable récurrence de fonctionnement et une cohérence globale qui a été peu dégagée à ce jour. Leur émergence parallèle et non concertée montre qu’un vrai nouveau souffle irrigue notre époque et avance de façon autonome et forte, rassemblant de plus en plus d’industriels, de territoires, de citoyens et de consommateurs dans un mouvement qui a dépassé les signaux faibles. Parce que notre analyse montre que ces modèles couplent la rentabilité économique avec la restauration des écosystèmes et la résilience sociale, nous l’appelons « l’économie symbiotique ». > Une économie qui utilise l’intelligence des écosystèmes > Une économie propre

La destruction créatrice Il faut redécouvrir la flânerie dans sa ville, on n'est jamais à l'abri d'une surprise. Les travaux concernant la future façade de la résidence étudiante située rue Gametta à Saint-Etienne, laissent voir une ancienne publicité d’une diligence pour Annonay. C'est le moment de redécouvrir les temps anciens de Saint-Etienne et de réfléchir sur l’évolution de nos moyens de transport. L'économiste Schumpeter parlerait d'un phénomène de destruction créatrice. « Le charme est rompu et de nouvelles affaires se créent continuellement, appâtées par le profit. « Le nouveau ne sort pas de l’ancien, mais apparaît à côté de l’ancien, lui fait concurrence jusqu’à le ruiner. » Joseph Schumpeter, Théorie de l’évolution économique, 1911/1926 « La plupart des créations de l’intelligence ou de l’imagination meurent sans laisser de trace après une période qui varie entre une heure d’après-dîner et une génération. » Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, 1942

economie-symbiotique.fr Nous vivons dans une "société liquide" Ses livres s’interrogent sur les "horizons de sens" possibles dans un monde marqué par des crises radicales. Il invite à "se révolter par la créativité, l’écriture, l’engagement au plus près du monde". Zygmunt Bauman a notamment théorisé la "société liquide", un concept qui se penche sur le flux incessant de la mobilité et de la vitesse, caractéristique de notre modernité. Zygmunt Bauman décrit une société "en voie de liquéfaction avancée", où les relations humaines deviennent flexibles plutôt que durables, tant au plan personnel qu’au plan collectif. Dans notre "société liquide", « on évite la corvée de la rupture (rompre ou se faire licencier par SMS. Pour Zygmunt Bauman, prendre soin de l’homme, c’est prendre soin de sa créativité, de sa parole vive… Zygmunt Bauman est une figure majeure de la sociologie européenne. Une conférence enregistrée en octobre 2017.

» Blog Quelle semaine ! En quelques jours, trois annonces majeures se succèdent dans le domaine du développement durable. Le 12 février une tribune de Jacques Attali dans le Monde affirme le « Manifeste pour une économie positive », le lendemain la fondation d’Ellen Mac Arthur annonce le lancement de l’Institut de l’économie circulaire, pendant que le 14 la Commission Européenne annonce le lancement d’un observatoire sur la Bioéconomie. Sous la multiplication des appellations, ces acteurs apportent des réponses spécifiques aux enjeux de la raréfaction des matières premières et de la nécessité d’une économie plus génératrice de progrès social. La matière et l’énergie faciles : c’est fini Evolution du prix des matières premières ces 25 dernières années . Dans ces trois annonces, deux messages forts sont envoyés. D’une part, il semble que nous passons dans l’ère du concret : le passage à d’autres modes de production est désormais ressenti comme urgent et nécessaire. L’évolution est rapide.

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