background preloader

La spirale d'or

La spirale d'or
Hélice des galaxies, de l'ADN, des coquillages, et des toiles de Van Gogh ou de Léonard de Vinci. Fusée d'énergie, mouvement d'incarnation, ressort et rebond, la spirale est sacrée, vitale, spontanée. Elle est à l'origine de la vie, à l'origine du cosmos, elle sous-tend l'univers. De tout temps, la spirale a été utilisée par l'homme pour symboliser de multiples choses : l'accomplissement, l'élan vital, l'ordre cosmique, le cycle des saisons et divers autres cycles, miroirs de sa racine sacrée. La danse-spirale est une passe magique, une expérience ineffable qui vise à réveiller l'esprit, donc à guérir le corps, ce corps si mal aimé, ce corps qui sait, et que nous ne savons pas toujours écouter. Les mauvaises langues, qui ne croient pas à la magie des cropies, diront que la spirale est facile à obtenir à l'aide d'une corde attachée à un piquet. Comme tous les corps célestes, à vrai dire... A première vue, la double hélice semble une figure bien plus complexe, plus élaborée.

Les mondes parallèles ont-ils une réalité physique ? Un des thèmes les plus excitants de la science-fiction repose sur l’existence de mondes parallèles au nôtre, dans lesquels l’Histoire de nos civilisations a suivi un cheminement alternatif. Bien distincts de l’uchronie et des voyages dans le temps, les mondes parallèles furent popularisés au cours des années 90 grâce à la série TV Sliders, dans laquelle un groupe d’aventuriers voyageait d’un monde alternatif à l’autre en empruntant des trous de ver artificiels. Sujet fréquemment débattu dans les oeuvres de science-fiction, l’existence d’un nombre infini de mondes parallèles est également spéculée dans la physique moderne, bien que le concept puisse laisser sceptiques certains spécialistes. C’est le cas deux physiciens espagnols, qui publient sur arXiv.org [1] un article critiquant la validité physique de ces mondes parallèles. Les mondes parallèles chez les super-héros (Crédits : DC Comics). La seconde proposition, publiée par Garriga et Vilenkin [3], s’appuie sur la théorie quantique.

Origine des éléments Premier volet de la trilogie : Comment se forment les éléments, Comment se forment les minéraux, Comment se forment les cristaux. Qu'est-ce qu'un élément ? Comment ont été créés ces éléments qui composent notre Univers ? D'où viennent les différentes espèces chimiques du tableau périodique de Mendeleïev ? [modifier] L'origine des éléments de notre Univers La nucléosynthèse : par définition cela veut dire : création des noyaux atomiques. Il y a 3 voies de formation des noyaux de tous les corps de l'Univers qui correspondent à trois processus distincts : _La nucléosynthèse primordiale. _La nucléosynthèse stellaire. _Le processus de spallation dans le gaz interstellaire. La nucléosynthèse primordiale : qui a eu lieu durant les premières minutes de l'Univers, responsable de la formation des noyaux légers, principalement hélium(4He)(qui combine 4 noyaux d'atomes d'hydrogène (4 protons) pour former un noyau d'atome d'hélium.), mais également deutérium(D) et lithium(Li). Retour aux différentes listes

Les scientifiques ont-ils enfin réussi à dénicher de la matière noire ? Des physiciens affirment, en s’appuyant sur les premiers résultats obtenus par une expérience menée à bord de la Station spatiale internationale (ISS), qu’ils ont pu observer un excès d'antimatière dans le flux des rayons cosmiques. Après des années de recherches incessantes, les physiciens pourraient finalement réussir à mettre la main sur la mystérieuse matière noire invisible qui formerait près d'un quart de l'Univers (26,8% selon les données fournies par le satellite Planck). Grâce aux premiers résultats dévoilés mercredi et obtenus au cours d'une expérience de 18 mois menée à bord de la Station spatiale internationale (ISS), les chercheurs expliquent avoir observé l'existence d'un excès d'antimatière, d'origine inconnue, dans le flux des rayons cosmiques qui pourrait avoir résulté de l'annihilation de matière noire. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter D'autres expériences pour en savoir plus

Yi King, I Ching : Richard Wilhelm, Etienne Perrot Le Yi KingRichard Wilhelm Le Yi King, « Le livre des transformations » en français, fait partie des livres les plus importants de la littérature universelle. Il est à la base de la philosophie chinoise où confucianisme et taoïsme puisent leurs racines communes. C'est en 1924 que Richard Wilhelm livre au public cet important ouvrage (en langue allemande), traduit dans notre langue en 1967 par Etienne Perrot. C. G. L'approche chinoise est très différente de l'approche occidentale ; Jung indique : «Tandis que l'esprit occidental trie, pèse, choisit, classe, isole avec soin, le tableau chinois du moment embrasse tout, jusqu'au détail le plus mince et le plus dépourvu de sens, parce que le moment observé est fait de tous les ingrédients.» On interroge le livre comme s'il agissait d'un être réel et l'on reçoit des réponses intelligentes en relation directe avec la préoccupation du moment. Comment l'esprit occidental peut il ignorer des grands esprits comme Confucius ou Lao Tseu ?

Les supernovae Il arrive un moment, dans la vie d'une étoile, où celle-ci n'a plus de carburant lui permettant de continuer à briller. Arrivé à cet instant, si l'étoile est suffisamment massive, elle va alors subitement se contracter sur son noyau et dans un fantastique rebond, va littéralement exploser dans l'espace, libérant toutes les couches gazeuses de son enveloppe. L'étoile devient alors une supernova, libérant ainsi de nombreux atomes lourds et ensemensant l'espace de matière fertile, participant ainsi à la complexification de la matière qui semble être une loi universelle ... Parcourez notre gamme de posters sur les supernovae : Introduction Le terme « supernova » a été introduit en 1934, par Walter Baade et Fritz Zwicky. Des supernovae célèbres L’éclat fabuleux de ces « explosions » nous permet également de les observer dans d’autres galaxies (entendez à l’œil nu !) M1, la nébuleuse du Crabe Cassiopeia A Historique des supernovae observées à l'oeil nu et répertoriées Les supernovae de Type I

Matière noire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne la matière de nature inconnue. Pour le film, voir Dark Matter. La matière noire (ou matière sombre), traduction de l'anglais dark matter, désigne une catégorie de matière hypothétique jusqu'à présent non détectée, invoquée pour rendre compte d'observations astrophysiques, notamment les estimations de masse des galaxies et des amas de galaxies et les propriétés des fluctuations du fond cosmologique. Différentes hypothèses sont émises et explorées sur la composition de cette hypothétique matière noire : gaz moléculaire, étoiles mortes, naines brunes en grand nombre, trous noirs, etc. La matière noire aurait pourtant une abondance au moins cinq fois plus importante que la matière baryonique, pour constituer environ 24 %[2] de la densité d'énergie totale de l'Univers observable[3], selon les modèles de formation et d'évolution des galaxies, ainsi que les modèles cosmologiques. Premiers indices[modifier | modifier le code]

Quatre éléments Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Élément. Les quatre éléments, qui sont l'air, le feu, l'eau et la terre, dans un symbole solaire Dans le cadre de la philosophie naturelle, la théorie des quatre éléments est une façon traditionnelle de décrire et d'analyser le monde. Histoire[modifier | modifier le code] Les quatre éléments. À l’origine il s’agissait d’une hypothèse de certains philosophes grecs présocratiques et notamment d'Empédocle au Ve siècle av. la Terre (symbole ) ;l'eau (symbole ) ;l'air (symbole ) ;le feu (symbole ). Chaque substance présente dans l’univers serait constituée d’un ou plusieurs de ces éléments, en plus ou moins grande quantité. Les philosophes présocratiques ont imaginé une essence première en toute chose. Empédocle[modifier | modifier le code] Le texte fondateur se trouve chez Empédocle (vers 460 av. Empédocle ajoute aux quatre éléments matériels deux forces spirituelles. Le cinquième élément[modifier | modifier le code]

Naissance, vie et mort d'une étoile - Astrophy Voir également : Fusion nucléaire, Qu'est-ce qu'une étoile ?. Toutes les étoiles EtoileBoule de gaz en fusion qui émet de la lumière. ont une durée de vie limitée. Très longue mais limitée. GalaxieGroupe d'étoiles et de nuages de poussières et de gaz en rotation. contient tant d'étoiles qu'il nous est possible d'observer des individus de tous âges. Naissance Pour construire une étoile, il faut des matériaux. NébuleuseNuage de gaz formé par l'explosion des étoiles. interstellaires. GravitationForce élémentaire d'attraction des corps proportionnelle à leurs masses qui décroît avec le carré de la distance. AccrétionPhénomène d'agglomération de poussières et de gaz lors de la formation des planètes, des satellites .... PlasmaGaz ionisé électriquement neutre.. La nébuleuse d'Orion, pouponnière d'étoiles La fusion nucléaire va former des jets de gaz qui éjectent la majorité des poussières environnantes. L'étoile (et éventuellement son système planétaire) est née. Vie PhotonParticule de lumière..

Énergie sombre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'énergie sombre ne doit pas être confondue avec la matière sombre qui, contrairement à l'énergie sombre, ne remplit pas uniformément l'univers et qui interagit normalement (forces attractives) avec la gravitation. Naissance de la notion d'énergie sombre[modifier | modifier le code] L'expression dark energy (énergie sombre) a été citée pour la première fois dans un article de Huterer et Turner[1] en 1998, quelques mois après la découverte de l'accélération de l'expansion de l'Univers[DE 1]. Du fait de sa nature répulsive, l'énergie sombre a tendance à accélérer l'expansion de l'Univers, plutôt que la ralentir, comme le fait la matière « normale ». Mais l'idée d'une composante accélératrice, invisible et diffuse, de l'univers est plus ancienne[DE 1]. Nature de l'énergie sombre[modifier | modifier le code] La nature exacte de l'énergie sombre fait largement partie du domaine de la spéculation. Constante cosmologique[modifier | modifier le code] .

APERCU  SUR  LES  PANDEMIES Depuis tant d’années, et même bien des décennies, je traîne des dossiers en suspens qui témoignent d’une plongée dans telle et telle recherches, en saisie d’un quelque chose qui gagne à être poursuivi, état justifiant la publication malgré un non aboutissement de résultat. Mais, ne vaut-il pas mieux, plutôt que rien, déjà une approche de connaissance, tel un acquis provisoire ? Depuis longtemps déjà, en marge du milieu astrologique, le sujet a d’ailleurs été traité par quelques astronomes et astrophysiciens qui se sont risqués à comparer certaines perturbations de la santé publique avec les courbes de l’activité solaire, comme en témoignent divers textes de la revue « Cosmobiologie » précédant la Seconde guerre mondiale (voir « 75 ans d’astrologie »). De même que, depuis celle-ci, d’autres savants du monde médical. Et face à cette apocalyptique tragédie historique, nous tombons sur l’une des trois plus extrêmes concentrations planétaires de tout le millénaire !

Évolution stellaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution d'une étoile, ou évolution stellaire, désigne l'ensemble des phénomènes allant de la formation à la « mort » d'une étoile. Elle peut être décomposée en plusieurs phases principales dont la formation de l'étoile, son séjour sur la séquence principale et sa phase finale. La plus grande partie de l'existence de l'étoile se passe sur la séquence principale, où elle brûle de l'hydrogène pour former de l'hélium. Une fois le cœur de l'étoile appauvri en hydrogène, elle quitte la séquence principale pour évoluer vers son stade ultime d'évolution, laissant un objet compact : une naine blanche, une étoile à neutrons ou encore un trou noir. La formation[modifier | modifier le code] Les étoiles se forment à partir de nuages interstellaires qui se contractent sous l'effet de la gravitation. La séquence principale[modifier | modifier le code] Évolution finale[modifier | modifier le code] Parcours évolutifs de différents types d'étoiles.

Related: