background preloader

Les Faucheurs Volontaires

Robin des Toits Les Dégonflés Le Clan du Néon Guerilla gardening pays de Bretagne Guerrilla gardening Paris Bordeaux Farmer Abstention Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : abstention, sur le Wiktionnaire Lors d'une élection, d'un référendum ou plus généralement d'une délibération, le comportement d’abstention marque le refus d'une personne de participer au vote : les personnes qui s'abstiennent sont qualifiées d'« abstentionnistes ». Les motivations des abstentionnistes sont multiples et variées. Ne doivent pas être considérées comme « abstentionnistes » les personnes qui votent blanc ou nul. Calcul du taux d'abstention[modifier | modifier le code] Le taux d'abstention peut être calculé de différentes manières : En France, le ratio est établi en rapportant le nombre des citoyens s'étant abstenu lors d'un vote au nombre de ceux inscrits sur les listes électorales, à la date du scrutin.Aux États-Unis, le ratio est calculé par rapport à tous les électeurs potentiels[1]. Statut légal de l'abstention[modifier | modifier le code] Combat contre l'abstention[modifier | modifier le code]

Élection Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'élection est la désignation, par le vote d'électeurs, de représentants (une personne, un groupe, un parti ou une option) destinés à les représenter ou occuper une fonction en leur nom. La population concernée transfère -par le vote de sa majorité- à des représentants ou mandants choisis, la légitimité requise pour exercer le pouvoir attribué (fonction censée être par ailleurs définie et orientée par le biais d'un contrat politique). Dans le cadre des régimes et institutions politiques, l'élection - à l'époque contemporaine- est revendiquée - au moins formellement- comme étant le mode le plus légitime d'accession au pouvoir. Étymologie[modifier | modifier le code] le terme « Élection » provient du verbe latin « eligere » (choisir) et du substantif « electio » (choix). Histoire[modifier | modifier le code] Ainsi, à l’époque aristocratique le roi athénien est « l’élu des grandes familles ». Institutions concernées[modifier | modifier le code]

Souveraineté Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples vivant en communauté. Le concept émerge avec celui d'État, au Moyen Âge. Le souverain est donc au départ une personne identifiée (le représentant de l'État, le roi) puis se détache de plus en plus de sa personne pour devenir un concept théorique indépendant et intemporel. La souveraineté n'est en principe qu'étatique, mais on voit apparaître aujourd'hui un concept de souveraineté qui se détache de plus en plus des États. Définition[modifier | modifier le code] Définition juridique[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Le concept émerge pour la première fois avec Jean Bodin dans les Six livres de la République (1576). Souveraineté de droit divin

L'abstentionnisme électoral en France Introduction « Voter est un droit, c’est aussi un devoir civique ». Tels sont les mots inscrits sur la carte électorale française, que tout citoyen pourrait ou devrait avoir en sa possession. On peut noter diverses formes d’abstentionnisme, au-delà des calculs parfois un peu simplistes : une abstention volontaire ou forcée par exemple. Par exemple, de 1988 à 2002, en France, on peut noter les taux d’abstention suivants, selon la catégorie d’élection : Mais le réel problème est ailleurs : la plupart des abstentionnistes choisissent de ne pas voter, ne font pas du vote l’expression de leur choix politique. Afin d’esquisser une réponse à ces questions, nous verrons dans un premier temps une explication politique du phénomène abstentionniste, pour nous occuper dans un second temps de la sociologie du citoyen abstentionniste. Première partie : La dimension politique du phénomène de l’abstentionnisme électoral. Comment expliquer l’abstentionnisme croissant à l’heure actuelle ? Deuxième partie :

Peut-on être citoyen et ne pas voter ?  - Une citoyenneté en crise Découverte des institutions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Quelques dates clés 1893 : La Belgique est le premier pays à adopter le vote obligatoire, en même temps qu’elle instaure le suffrage universelSuffrage universelDroit de vote accordé à tous les citoyens majeurs. (masculin) au lieu du régime censitaire antérieur. 8 novembre 1988 : À l’occasion du référendumRéférendumProcédure de vote permettant de consulter directement les électeurs sur une question ou un texte, qui ne sera adopté qu’en cas de réponse positive. sur la Nouvelle-Calédonie, un taux d’abstentionAbstentionNon participation à un scrutin de 63,11 % est enregistré. 24 septembre 2000 : Le référendum sur la réduction du mandatMandatDurée d’exercice d’une fonction élective présidentiel à cinq ans (quinquennat) est marqué par un taux d’abstention record de 69,8 %. Quelques pistes de réflexion Le vote des citoyens fonde la démocratie représentative Exemple concret Le vote obligatoire

du Mouvement Abstentionniste et Progressiste Non à la remise en cause des libertés associatives ! - Appel Une circulaire du Premier ministre assimile toute action associative à une activité économique. Elle vise notamment à restreindre la possibilité pour les collectivités locales de soutenir les associations, accusées de distorsion de concurrence, dans un marché qui devrait être « libre et non faussé ». À l’initiative de Récit (Réseau des écoles de citoyens), d’Action-Consommation et de la Fédération nationale des foyers ruraux (FNFR), une vingtaine d’associations décident de lancer un appel et d’agir contre cette remise en cause des spécificités des associations. Une circulaire du Premier Ministre, signée le 18 janvier 2010, prétend « clarifier et sécuriser le cadre juridique des relations financières entre pouvoirs publics et associations ». Elle réaffirme la liberté d’association comme un droit fondamental inscrit dans la déclaration des Droits de l’Homme. De nouvelles formes de mobilisation sont aujourd’hui nécessaires Une atteinte grave à la liberté d’association

c'est bien, en revanche j'ai apris que dans le sud ouest des cultivateurs contournent la loi grace à des achats en espagne frontiere proche by neobio Mar 27

J'apprécie le lien URL Qui renvoie à l'association....
Le site est vivant et dynamique by mamye Feb 29

Related: