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Le tournesol médiéval

Le tournesol médiéval
Extrait tinctorial : Le tournesol médiéval Le mot tournesol est au Moyen Age un mot générique qui désigne plusieurs espèces de plantes. Les formes "tournesol", "tournesot" ou encore "tornisot", ou "tornissot" sont clairement mentionnées dans le Mesnagier de Paris, ouvrage de référence d'instruction religieuse et morale, d'économie domestique et culinaire de la toute fin du XIVe siècle. L'espèce dont il s'agit est aussi connue sous le nom de Chrozophora tinctoria (L.) Crozophora tinctoria Franç. 1 - Le tournesol comme couleur végétale Très prisé des peintres, enlumineurs et miniateurs médiévaux, ce "tournesol" ou plutôt folium a la particularité de virer en fonction du milieu dans lequel il se trouve. la maurelle ou croton des teinturiers (Croton tinctorium L.) Le manuel de référence pour l'enlumineur reste le traité italien De Arte Illuminandi3 d'un auteur anonyme composé à la fin du XIVe siècle. 2 - Le Tournesol comme aide culinaire 3 - Le Tournesol en médecine ? 4 . Elisabeth Féghali Related:  Teinture végétale

FICHES TECHNIQUES DES PRODUITS - Le blog de JEAN CLAUDE Fiches techniques La droguerie du teinturier en végétal Sur ce site vous trouverez un choix de produits permettant au praticien, amateur ou professionnel d’obtenir de bon résultats en teinture , ainsi que pour la fabrication de pigments et peintures. Nous vous proposons également quelques produits élaborés par nos partenaires ( il s’agit notamment de pigments végétaux destinés à la peinture, mais le choix proposé ici sera élargi dans les mois qui viennent en fonction de l’intérêt que vous y porterez). Un choix volontairement restreint de matériaux ( l’essentiel du nécessaire pour réussir des couleurs belles et solides sur la plupart des textiles naturels) vous est ici proposé. Il s’agit : Nom botanique: ( Rubia tinctorum L. ) Description: La garance est une plante herbacée vivace croissant spontanément sur le pourtour du Bassin Méditerranéen et dans les régions tempérées jusqu’à l’Inde et la Chine, et cultivée dans différents pays d’Europe. Utilisation en teinture: Suggestions de mordançage:

Couleur : symbolique, physiologie, art et histoire - Canopé académie de Dijon Aller au menu Aller au contenu Haut de page Accueil > Le réseau Canopé académie de Dijon > Canopé académie de Dijon - Département de la Saône-et-Loire > Ressources > Arts et Culture > Actions - ressources premier degré > Couleurs, ombres et lumières Couleur : symbolique, physiologie, art et histoire Chacun des documents ci-dessous aborde un aspect spécifique de la couleur ; la recherche documentaire qui a permis leur rédaction a été réalisée par le CRDP de Poitou-Charentes. Couleur et codes sociaux Couleur et sciences Couleur et pigments Couleur et art Couleur et histoire Canopé académie de Dijon - Département de la Saône-et-Loire - 2, rue Jean Bouvet - 71000 Mâcon Tél. : 03 85 21 02 30 - Fax. : 03 85 38 20 74 - Courriel : cddp71@ac-dijon.fr © Canopé académie de Dijon - Pôle infomédia 2012 | Réalisé sous SPIP Mentions légales Interface privée

Liste de plantes tinctoriales Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Teinte bleue[modifier | modifier le code] Baptisia tinctoria (Baptisia tinctoria L.)Maurelle ou tournesol à drapeaux (Chrozophora tinctoria (L.) A.Juss.)[1]Indigotier (Indigofera tinctoria L.)Laurier des teinturiers (Wrightia tinctoria (Roxb.) R.Br.)Pastel des teinturiers ou guède (Isatis tinctoria L.)Renouée des teinturiers (Polygonum tinctorium Ait.) Teinte brun à noir[modifier | modifier le code] Teinte jaune[modifier | modifier le code] Teinte orange[modifier | modifier le code] Cryptocarya rubra (Cryptocarya alba (Molina) Looser) Teinte rouge à brun[modifier | modifier le code] Teinte violet pourpre magenta[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Tuto : Teindre avec de la teinture naturelle - Le blog de Systemeb Marjorie, naturaliste, nous a fait un merveilleux exposé sur les possibilités de la teinture par les plantes lors de la Fête de la Laine, au Beausset. L'atelier avait lieu en plein air, à proximité des grands pins. L'avantage de la teinture naturelle c'est qu'il ne faut pas d'ustensiles dédiés, on se croirait presque dans notre cuisine. On peut utiliser des casseroles en inox ou en cuivre mais il faut simplement éviter l'aluminium qui peut interagir. On apprend la différence entre couleur (ce qui est perçu par l'oeil), le colorant (le liquide qui teinte) et le pigment (la poudre qui teinte) On commence par aller cueillir ce qui est nécessaire, directement dans la forêt. Ici du Nerpun Alaterne, ou prunier noir, dont on utilise les fruits murs, en les écrasant dans un mortier, puis on verse de l'eau chaude et on va utiliser ce "jus" qui va donner un beau jaune. Ci dessous, de la Guesde, qui va donner de l'indigo : on va taper avec un maillet une feuille pour en faire sortir les pigments

Les Fils du Temps Nous préférons à tout autre teinture, la teinture végétale, naturelle. Aussi nous ne présenterons pas ici les techniques de teinture industrielles et chimiques. La nature a su nous donner bon nombre de plantes, animaux, minéraux qui pourront servir à donner une couleur à une laine, un lin ou un coton. Pour ce faire il existe plusieurs recettes, plusieurs techniques. Tout d'abord, il faut commencer par mordancer la fibre : c'est à dire la préparer à recevoir et conserver la couleur qu'on veut lui donner. Plusieurs mordants sont utilisés : l'alun (avant teinture) et le sulfate de cuivre, le sulfate de fer (après teinture). ALUN : Pour 1 kg de laine : 200 g d'alun Dissoudre l'alun dans de l'eau bouillante. SULFATE DE CUIVRE : pour 1 kg de laine : 25 à 50 g de sulfate de cuivre Le sulfate de cuivre fait virer les jaunes en verts. SULFATE DE FER : pour 1 kg de laine : 25 à 50 g de sulfate de fer Le sulfate de fer permet de foncer les couleurs.

Les "plantes tinctoriales" au jardin | Savoir faire | Côté techniques | Jardins du Nord Les "plantes tinctoriales" au jardin Pour commencer une petite définition...tinctoriale, du latin tinctorius, teindre...qui sert à teindre...ah! la magie du monde végétal!!! Promenades dans le temps: Un peu de curiosité!!! Le Néolithique: A cette période, on utilisé déjà les plantes pour se colorer le corps, les vêtements et les habitations. Les premiers écrits technique: On découvre les premiers écrits sur les techniques tintoriales vers 4000 AV JC, chez les peuples Chinois et Indiens.Vers 750 AV JC, Homère, mentionne les supériorités des techniques asiatiques au travers des conflits et des migrations successives. Au moyen-âge: Les artisans teinturiers sont en corporation, ils maîtrisent les mordants liés à l'emploi de la Garance. Au XV et XVI siècle:Comme l'or et les épices, les teintures font l'objet de grandes expéditions maritimes. Au XVII ème siècle: A cette époque une "palette" de 80 à 120 teintes. Au XVIII ème siècle: Les chimistes français: La préparation des fibres Les adjuvants Les bleus

teintures, pigments et colorants végétaux, achat plantes pigments et adjuvants pour la teinture végétale - ôkhra | comptoir librairie Panier (vide) Aucun produit (hors frais d'expédition) Total 0,00 € Panier Commander comptoir Le comptoir matériaux propose toutes les matières premières nécessaires aux techniques d'application de la couleur, issues de producteurs du monde entier. Ocres, terres colorées et pigments Terres d'Italie et de Chypre Terres et oxydes du monde Ocres du Vaucluse Couleurs vives art & déco Pigments fins Kremer Nuanciers & coffrets Teintures & Peintures Pigments végétaux Plantes et adjuvants pour la teinture Peintures écologiques et naturelles Matériaux & Outillage Outils artistes & artisans Décoration mur et sol Liants et adjuvants pour l'artisan et la décoration Charges minérales Vous ne trouvez pas ce que vous cherchez, vous avez un doute ? librairie La librairie d'ôkhra vous propose une sélection de livres sur le thème de la couleur : histoire régionale de l'ocre, livres pratiques sur le badigeon, le tadelakt et autres techniques murales, livres sur les pratiques artistiques, Couleur et Société L'ocre Livres jeunesse

tincto Voici ici, la liste des diverses plantes et insectes tinctoriaux : Ils sont classés par ordre alphabétique et vous indiquent la partie à récolter pour obtenir un bain de teinture, l'histoire de la plante et son utilisation en tant que teinture : Bon nombre de fruits, de plantes tachent les tissus si on a le malheur de les renverser. Qui n'a jamais renversé un verre de vin sur la nappe, ou écraser une framboise sur sa chemise... Mais, même si l'on a des problèmes pour enlever ces auréoles, ce ne sont pas forcément des produits de teinture. Il ne faut pas confondre taches et teinture. Voici la liste de quelques faux amis: La cerise qui ne donne que des vieux roses séchés La fraise La framboise...bref la plupart des fruits rouges Le bleuet qui n'a jamais donné de bleu, comme cela est bien souvent indiqué à tort dans des ouvrages anciens Les racines de pissenlit qui devraient donner un "rouge tomate" mais qui, en fait ne donnent que des litres de sueur perdue pour arracher ces racines

Plantes tinctoriales et techniques médiévales de teinturiers. | Passion médiévale Plantes tinctoriales et techniques medievales de teinturiers. D’une manière générale, l’activité tinctoriale est importante au Moyen-âge. On distingue les teintures végétales des teintures animales dans un premier temps, puis à l’intérieur de la première partie les couleurs communes autour des variations du jaune et les couleurs plus rares que sont le bleu et le rouge. Dans cette époque très attachée à la symbolique, il est évident que les différentes teintes vont avoir une portée sociale en fonction de la rareté des produits de fabrication. Les plantes tinctoriales. La gaude, autrement appelée aujourd’hui réséda des teinturiers, produit grâce au principe colorant qu’elle contient une teinte jaune particulièrement solide. Le carthame, utilisé principalement par les Egyptiens, est également diffusé par les Romains. Le safran est importé puis cultivé en France à partir du Xème siècle dans quelques régions. Le pastel / guède permet d’obtenir les gammes de bleu. Portée symbolique. sources :

les fibres Les matières utilisées par nos ancêtres dépendaient de leur implantation géographique. Ainsi, la plupart des hommes ont commencé à utiliser les fibres qu'ils pouvaient glaner sur le sol qu'ils traversaient : des fibres végétales, animales. Grand nombre de ces fibres que nos ancêtres utilisaient ne sont plus employées aujourd'hui. LE CHANVRE (cannabis sativa) : vient de l'Europe de l'Est mais au 1er millénaire avant J.C., il est connu dans toute l'Europe. Sa fibre est solide, on en tirera des textiles robustes nécessaires à la navigation. L'ORTIE (urtica dioïca) : les premiers textiles faits en fibres d'ortie viennent de la Scandinavie, d'Europe centrale et d'Europe de l'Est. LE JUTE , LE SISAL, L'AGAVE, LE YUCCA, L'ABACA, LES ECORCES DE CEDRE, DE SAULE, DE TILLEUL, DE BOULEAU...ont eux aussi contribué à la fabrication de textiles anciens. LES DUVETS : Les duvets végétaux ont aussi permis à certains hommes de fabriquer des tissus : chardons, épilobe, linaigrette.

Les textiles d'origine végétale Deux paramètres ont amené l'homme à utiliser certains organes végétaux sous forme de fibres permettant d'abord la fabrication de fils, ficelles et cordes, puis, grâce à des moyens technologiques de plus en plus sophistiqués (tissage à la main,tricotage, tissage à la machine) la fabrication des tissus manufacturés pour les vêtements, le linge de maison, l'ameublement et la décoration : 1-la richesse en cellulose, polymère de glucose à très longue chaîne, structuré naturellement en micro-fibrilles 2-la répartition de ces micro-fibrilles dans des cellules allongées (fibres végétales), utilisées par le végétal comme éléments de soutien et plus ou moins aisément extractibles.Les fibres naturelles viennent des tiges, des feuilles, des fruits de multiples végétaux.

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