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MATRIX – Ce que nos données Gmail révèlent de notre vie sociale

MATRIX – Ce que nos données Gmail révèlent de notre vie sociale
Que contiennent les métadonnées transmises par Google à la National Security Agency (NSA) américaine ou celles qu’observe en France la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) ? Les métadonnées sont l’enveloppe d’une donnée, son contenant. Dans le cadre d’une conversation téléphonique, ce seront par exemple les fadettes, les factures détaillées des appels émis et reçus et les numéros contactés, mais pas le contenu de la conversation. L’accès à ces données techniques constitue-t-il de l’espionnage ? Le tout nouvel outil Immersion, développé au Massachusetts Institute of Technology (MIT) par le professeur César Hidalgo et ses étudiants, apporte d’intéressants éléments de réponse à cette question, et montre qu’avec les seules métadonnées, on peut en savoir beaucoup sur une personne, ses fréquentations et ses réseaux. >> Lire la tribune cosignée par César Hidalgo parue dans Le Monde daté du 27 juin : « Il est temps de parler des métadonnées« Signaler ce contenu comme inapproprié

Facebook va analyser votre navigation web pour ses publicités : voici comment bloquer le tracking Facebook a publié une note sur sa page Facebook and Privacy, dédiée à la confidentialité et à l’utilisation des données des internautes. Une page trop peu suivie du grand public, malheureusement. Pourtant, l’annonce de Stephen Deadman, Global Deputy Chief Privacy Officer, gagne a être connue : le réseau social a annoncé qu’à partir d’aujourd’hui, la navigation des internautes allait être prise en compte, afin que « des publicités plus pertinentes » soient affichées sur Facebook. Le bouton Like, un mouchard très répandu Pour obtenir votre historique de navigation, Facebook va utiliser tous les boutons Like présents sur les pages web. Comment bloquer le tracking ? Facebook explique que ce traking de la navigation sur toutes les pages web qui contiennent un bouton Like est réalisé « pour le bien des internautes », qui verront désormais des publicités plus pertinentes.

Des chercheurs détectent les homosexuels sur Facebook - Politique La protection de la vie privée interdit-elle de deviner l'orientation sexuelle d'un internaute à partir de ses réseaux sociaux ? La question éthique devra nécessairement se poser puisque, si l'on en croit des chercheurs du MIT, il serait possible de détecter l'homosexualité d'un internaute en étudiant son réseau d'amis sur Facebook. Dites-moi qui sont vos amis et je vous dirai qui vous êtes. De plus en plus d’internautes comprennent aujourd’hui qu’il n’est pas dans leur intérêt, notamment professionnel, de trop afficher d’éléments personnels sur leur profil Facebook. Le Boston Globe rapporte que des étudiants du MIT ont mis au point en 2007 un « Gaydar », un radar à gays (sic), qui permettait de prédire l’orientation sexuelle des étudiants de l’université en fonction des amis auxquels ils étaient connectés sur Facebook. Effrayant.

De la surveillance de masse à la paranoïa généralisée Il y aura un avant et un après Snowden. Avant, ceux qui dénonçaient la montée en puissance de la société de surveillance passaient pour de doux paranoïaques (alors que les paranos, c’était pas eux, mais la NSA, ce que Snowden a amplement démontré). Depuis, tout le monde ou presque est persuadé d’être espionné par la NSA, ou encore que la DGSE espionnerait toutes les télécommunications, en France… ce dont je me permets de douter : la NSA ou la DGSE (& Cie) ont certes les moyens de tenter d’espionner n’importe qui, mais les documents Snowden ne permettent aucunement de conclure qu’ils espionneraient tout le monde, a fortiori tout le temps, façon « Big Brother« . Mise à jour, juin 2015 : vous trouverez plus bas la vidéo de la suite de cette conférence, donnée à Pas Sage en Seine 2015, où j’ai tenté d’expliquer pourquoi je n’avais pas particulièrement peur des « boîtes noires » du Projet de loi relatif au renseignement, et pourquoi le problème me semble être ailleurs… Problème.

Comment fonctionne l'algorithme de Facebook ? Facebook a été la cible de critiques virulentes, ces derniers jours, après la publication des résultats d'une expérience psychologique portant sur le fonctionnement de son algorithme qui sélectionne les contenus vus par les utilisateurs. Facebook a été ces derniers jours la cible de critiques virulentes après la publication des résultats d'une expérience psychologique. Pour les besoins du test, des chercheurs ont modifié le type de contenus qui s'affichaient dans les fils d'actualité de plusieurs centaines de milliers d'utilisateurs, pour vérifier si l'exposition à des contenus « joyeux » ou « tristes » influait sur l'humeur des contenus publiés par un utilisateur. Lire : Facebook : ce que nous apprend une vaste expérience psychologique controversée Certains utilisateurs ont été choqués que Facebook ait pu tenter d'influencer leurs émotions.

▶ EdgeRank de Facebook : son Fonctionnement Décrypté [Guide] Soyez le premier à me soutenir L’edgerank de Facebook : comment le maîtriser ? Comment augmenter votre edgerank ? Comment améliorer votre edgerank ? L’edgerank – aujourd’hui appelé « News Feed Ranking Algorithm » – est le nom donné à l’origine à l’algorithme qui régit la diffusion ou non d’une publication dans le fil d’actualité des utilisateurs. Téléchargement gratuit :cliquez ici pour récupérer vos 13 guides gratuits pour maîtriser les réseaux sociaux et améliorer vos performances + 14 fiches PDF sur Facebook, Twitter, Instagram, Pinterest... La naissance de l’edgerank L’edgerank a été créé en 2010 par Facebook pour faire face aux trois défis suivants : 1. Comment fonctionne l’edgerank ? Vous avez certainement remarqué que les publications de pages n’étaient pas vues par tous vos abonnés ? Un cas concret de l’edgerank en application. La définition de l’edgerank 1. 2. Consultez le tutoriel pour savoir quelles publications ont les meilleures performances sur Facebook 3. 1. 2. 1.

Sony Xperia Z5 – Une photo révèle un scanner d’empreintes étonnant Sony a confirmé la tenue d’une conférence au salon IFA de Berlin. Celle-ci se déroulera le 2 septembre et elle sera certainement l’occasion de découvrir l’Xperia Z5. En attendant, une première photo nous dévoile ce que pourrait être le prochain smartphone haut de gamme du constrcuteur. Après le déconcertant Xperia Z4 ou Xperia Z3+, Sony a promis de repenser entièrement le concept de son smartphone. Une photo récemment apparue sur le compte Twitter de Vizileaks nous donne un aperçu de deux versions de l’Xperia Z5. La photo montre ce qui pourrait être les Xperia Z5 et Xperia Z5 Compact entourant un iPhone 5S. L’élément le plus intéressant est la présence d’un scanner d’empreintes. L’Xperia Z5 serait également équipé d’un bouton pour déclencher la caméra, placé au même endroit juste sous le volume. En attendant le 2 septembre, vous pouvez découvrir les Xperia C5 Ultra et Xperia M5 officiellement dévoilés par Sony.

Facebook, Apple, Google: Mais qu’ont-ils tous avec nos souvenirs? DATA Après la fonction «Ce jour-là» de Facebook et ses mauvaises surprises, Apple vient d’annoncer l'arrivée de «Memories» dans l'appli Photos. Mais qu’ont les géants du Web à scanner nos photos et dicter nos souvenirs?... Annabelle Laurent Publié le Mis à jour le 2016, année de l’éphémère? Depuis plus d’un an maintenant, la fonction «Ce jour-là» («On this day») de Facebook vous propose, dans une rubrique dédiée et via des notifications à rythme régulier, de revoir des photos oubliées. Ainsi allait-il de soi qu’Apple s’aligne et annonce lundi soir, lors de sa conférence annuelle WWDC, l'arrivée prochaine dans l'appli Photos de l'iOS 10 d'une fonction «Souvenirs» («Memories»). Tout photographier frénétiquement peut nuire à notre mémoire, d'après une étude du journal Psychological Science en 2013. «Merci Facebook de me rappeler la mort de mon chat» La fonction «Ce jour-là» de Facebook s’est attirée des ennemis dès son arrivée. Merci pour ce moment? Les data, le nerf de la guerre Mots-clés :

"Au début, c'était bon enfant." L'appli Gossip, rumeurs en un clic - 16 juin 2015 Elle a la voix tremblante au téléphone. Non, elle ne veut pas nous voir. Elle voudrait disparaître et qu’on l’oublie. Astrid (*), 17 ans, en première S dans un lycée de banlieue parisienne, est depuis dix jours victime de Gossip, l’appli qui colporte les ragots et fait rire de vous dans votre dos. La dernière semaine de mai, des gens ont publié de vieilles photos de moi, datant du collège, quand j’avais des problèmes de poids. Astrid ne sait pas non plus comment "ils" se sont procuré ces photos. J’ai dit aux gens autour de moi d’arrêter, ils se sont tous foutus de moi, même mes amis." Astrid fait partie des victimes de Gossip, l’appli qui, lorsqu’elle a été lancée le 10 mai dernier, a cartonné dans les cours de collèges et de lycées. Une appli "débile, malsaine, horrible"... Gossip, "potin" en anglais, "démocratise les ragots de façon totalement anonyme", lit-on sur le site. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. (Capture d'écran du site de l'appli.) ... mais très tentante

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