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Mesurer l’impact des technologies, est-ce vraiment réalisable ?

Mesurer l’impact des technologies, est-ce vraiment réalisable ?
Share Tweet Email La question de la mesure des effets des technologies est « déjà » une vieille question. Les recherches les plus fréquentes, souvent construites sur une comparaison « avec et sans technologie » et axées sur les effets en termes de « réussite » des apprenants dans un contexte limité (par exemple : école, outil particulier, discipline) ont la plupart du temps été marquées par ce no significant difference. Déjà, les méta-recherches pionnières de Kulik et al. Or, nous l’avons dit, on peu très bien utiliser les technologies dans le cadre de méthodes transmissives (osons citer les xMOOC) ou alors dans le cadre d’un dispositif actif et interactif visant le développement de compétences. Pourquoi cette difficulté ? Par ailleurs avec l’arrivée des MOOC, on entend l’espoir véhiculé par le Learning Analytics : 20000 étudiants (et plus) qui suivent un cours (suivre un cours, c’est passif ça !) Russell, T. (2001). Pour de plus amples informations : Lebrun, M. (2012). lu : 5344 fois

Lebrun sur Ludovia Magazine Mesurer l’impact des technologies, est-ce vraiment réalisable ? La question de la mesure des effets des technologies est « déjà » une vieille question. Beaucoup de tentatives, et cela fait environ 30 années que cela dure, se sont hélas soldées par une conclusion qui tient en trois lettres : NSD. Ce No Significant difference a d’ailleurs été affublé d’une mention de phénomène tant les recherches en question [...] Isomorphisme, cohérence et variété … vers une systémique de la technopédagogie ? Dans cet épisode particulièrement centré sur la formation des enseignants, nous présentons le principe d’isomorphisme. Refonder l’école ou la flipper ? La « flipped taxonomie » ou l’inversion de la taxonomie des compétences Nous avons, dans la vidéo précédente, parler de la cohérence des objectifs, des méthodes, de l’évaluation … des outils. Les compétences au cœur du dispositif pédagogique Imaginaires et promesses du numérique en éducation, par Marcel Lebrun

L'informatique à l'école aide-t-elle à mieux enseigner ? Pas si sûr En refusant de proroger son plan "Ecoles numériques rurales", le gouvernement a-t-il fait un geste positif pour la qualité de l'éducation des jeunes Français ? D'instinct, nous pensons comme beaucoup d'observateurs que l'informatisation des écoles est un atout pour la qualité de l'enseignement. Nous pensons que les enfants apprennent plus rapidement et plus durablement avec un ordinateur qui leur pose des questions adaptées de façon ludique, qu'avec un professeur qui récite un cours devant une trentaine d'élèves aux niveaux différents. Et pourtant, le New York Times vient de publier un très long article qui jette le doute sur l'intérêt de l'e-éducation à l'école. Le journal américain a en effet constaté un paradoxe étonnant qui a déclenché son enquête. Cette stagnation est à relativiser, puisque les élèves de Kyrène avaient déjà de meilleurs résultats que la moyenne nationale. Car la décision pourrait avoir été avant tout économique.

Marcel Lebrun Element principal pour l'intégration des TICE Ron Canuel is one of Canada’s leading authorities on innovation in teaching and learning, and he came by that authority by fighting for change. Canuel was the principal architect of Canada’s first — and, nearly 10-years later, still the only, — district-wide one-to-one computing environment. In the process of implementing that ground-breaking innovation, he learned a lot about what it takes to influence change in education. “Education really doesn’t like change,” Canuel said, “whether it is “top-down” or by “local consensus.” But Canuel, who has been an educator for more than two decades, persisted. Today, as CEO of the Canadian Education Association, Canuel is able to leverage his hard-earned experience to help foster a spirit of innovation and change in his country’s schools. Can you describe how your professional achievements have advanced innovation in education? What has changed as a result of your efforts? How have you applied technology in innovative ways to support your work?

Apprendre et enseigner avec les réseaux sociaux : engluage sur la t... Dossier d'actualité – Quelles pratiques collaboratives à l'heure des TIC ?– mars 2009 par Rémi Thibert « La collaboration est assurément un thème à la mode, un point de passage obligé du discours politiquement et pédagogiquement correct » (Chaptal, 2009). Le terme « collaboratif » a connu un renouveau d'intérêt avec l'arrivée des technologies de l'information et de la communication (TIC), et surtout avec l'avènement du web dit 2.0 (Bruns, 2007). Les outils de réseaux sociaux en ligne prolifèrent, qu'ils soient à usage privé ou professionnel (mais la distinction entre les deux est de moins en moins évidente : les différents « mondes » se télescopent et s'interpénètrent), et invitent les utilisateurs à toujours plus collaborer. Les TIC ont révolutionné - et sont encore en train de révolutionner - notre façon de vivre, d'agir et même de penser. Avertissements au lecteur : En guise d'introduction Le travail collaboratif aujourd'hui Dans le domaine de l'éducation, Poyet et Bacconnier (2006) notaient déjà l'importance de l'aspect collaboratif pour les outils tels que les ENT.

5 raisons pourquoi les enseignants devraient se créer un RPA Un quoi? Un « réseau personnel d’apprentissage » (RPA). C’est la façon moderne et efficace de maximiser son développement professionnel et se tenir à jour sur les tendances en éducation. Pendant plusieurs décennies, les enseignants contribuaient à leur développement professionnel principalement en participant à un colloque ou en s’abonnant à des revues du secteur. Les réalités budgétaires étant ce qu’elles sont, les colloques et les abonnements ne sont pas possibles chaque année. Pour ceux qui résistent encore, voici 5 bonnes raisons de se créer un RPA en ligne dès maintenant. Raison 1 : Pouvoir se connecter à tout moment avec d’autres éducateurs. L’horaire des écoles est souvent surchargé et il est difficile de trouver des moments de rencontre. Raison 2 : Ne jamais cesser d’apprendre On veut que nos élèves soient curieux et qu’ils soient motivés à apprendre de nouvelles choses. Raison 3 : S’ouvrir au changement. Raison 4 : Faire éclater les murs de sa classe Raison 5 : Être inspiré

Construire son réseau personnel d'apprentissage Les enseignants sont des apprenants professionnels. Parce qu'ils savent et aiment apprendre, ils ont choisi d'enseigner et se sont formés à cela. Se forment-ils toujours, tout au long de leur vie ? Le réseau personnel d'apprentissage, de quoi nourrir une curiosité et un appétit de savoirs sans bornes Pourquoi donner la traduction anglaise de l'expression ? Ce n'est pas ce que pense Tom Whitby qui, en décembre 2010, déplorait de se sentir isolé parmi ses collègues, à cause précisément de son implication dans un PLN. Pourtant, les bénéfices de l'implication dans un PLN sont énormes : on y trouve des personnes dont on partage les centres d'intérêt, qui peuvent répondre à nos questions. Ceux qui ont adopté cette modalité de formation en connaissent les avantages. Comment créer son réseau ? Mais comment commencer ? Après avoir lu quelques listes de conseils et d'outils recommandés, nous en avons choisie une, pas plus mauvaise que les autres, et qui a le mérite d'être simple. Sésamath

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