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L'ADN décrypté : et maintenant

L'ADN décrypté : et maintenant
Related:  Sur les épaules de Darwin

Charles-Robert DARWIN, 1809-1882 Charles-Robert Darwin (1809-1882), La descendance de l’homme et la sélection sexuelle. Traduit de l’Anglais par Edmond Barbier d’après la seconde édition anglaise revue et augmentée par l’auteur, 1874. Préface par Carl Vogt. Edition définitive ornée de 38 planches hors texte. Paris: Librairie C. Charles-Robert Darwin (1809-1882), Observations géologiques sur les îles volcaniques explorées par l’expédition du «Beagle». (1844) Traduit de l’Anglais sur la 3e édition par Alphonse-François Renard. Charles-Robert Darwin (1809-1882), L'origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou La lutte pour l'existence dans la nature. (1859). Charles-Robert Darwin (1809-1882), Les plantes insectivores. (1877). Charles-Robert Darwin (1809-1882), Voyage d’un naturaliste autour du monde fait à bord du navire le Beagle de 1831 à 1836.

Des toxines au service de la médecine Des armes chimiques La plupart des animaux venimeux produisent les substances toxiques dans des glandes spéciales et des sécrétions corporelles, telles que la salive ou le sang. Ils inoculent ensuite le poison à l’ennemi ou à la proie au moyen de leurs crocs, crochets ou dard, ou encore grâce à des techniques élaborées, par exemple par projection. Les serpents, par exemple, sont incapables de dépecer les animaux qu’ils capturent ; ils doivent donc les avaler en entier, plumes, bec, griffes ou pelage compris. Du poison pour se défendre Le poisson-pierre, qui inocule son venin par ses épines dorsales, compte parmi les espèces marines les plus dangereuses au monde. Bouchées délicieusement dangereuses Parfois, les toxines ne sont présentes que dans la peau, la chair ou les viscères de l’animal, de sorte qu’il n’est toxique que si on le mange. Des toxines de batraciens aux propriétés antalgiques Un article de Susanne Wagner

Charles Darwin - Biographie - Dossiers Dès son retour, Charles Darwin étudie tous les spécimens rapportés, les rapproche, et commence à élaborer sa théorie de l’évolution. A la même époque, d’autres scientifiques remettent en cause les théories officielles : le catastrophisme et le fixisme. Jean Baptiste Lamarck parle d’évolution des espèces par adaptation au milieu (le fameux cou de la girafe qui s’allonge). L’apport de Lyell et de Malthus En 1842, Darwin publie The Distribution of Corals Reefs, véritable compilation de ses observations sur les récifs coraliens recueillies pendant son voyage.. Alfred Wallace En 1858, Darwin apprend que Alfred Wallace (naturaliste) prépare également une théorie sur son sujet de prédilection: l’évolution… Cette « concurrence » et le géologue Lyell vont le convaincre de présenter le fruit de ses recherches. Le 1er juillet 1858, Charles Darwin et Alfred Wallace présentent conjointement leurs travaux à la Linnean Society de Londres… Un aparté célèbre opposa Huxley à l'évêque d'Oxford.

Les mammouths et les dinosaures bientôt de retour D’après George Church, professeur de génétique et directeur du National Institutes of Health Center of Excellence in Genomic Science à Harvard, ressusciter le mammouth laineux est aujourd’hui possible. La méthode que propose ce généticien consiste à remplacer par des fragments d’ADN de l’animal disparu certaines parties du génome séquencé d’une espèce proche et encore vivante - ici, l’éléphant d’Asie – afin de doter ce dernier de caractéristiques semblables à celle du mammouth. Ce processus capable de ramener des espèces disparues à la vie est appelé la « de-extinction ». Quelles avancées scientifiques ? George Church n’est pas le seul à travailler sur le retour du mammouth laineux. Pour George Church, il ne s’agit pas de cloner le mammouth laineux mais de remplacer certaines parties de l’ADN d’un éléphant afin de le faire se rapprocher du pachyderme préhistorique. Pourquoi ramener le mammouth laineux à la vie ? La de-extinction : un débat bioéthique Sophie Roche

Requiem pour Darwin - L'évolution du col blanc selon le site listicles.com - Requiem pour Darwin. Tel est le titre d'un livre que vient de publier en janvier 2009 un religieux dominicain français, Jacques Arnould, docteur en histoire des sciences et en théologie, chargé de mission au Centre national d'études spatiales (CNES). Sa formule est pertinente si l'on veut bien prendre au sérieux, comme le fait cet expert reconnu, les attaques encore menées contre le naturaliste anglais Charles Darwin, père de la théorie de l'Evolution, dont le monde scientifique a célébré, le 12 février, le deuxième centenaire de la naissance. L'auteur de "L'origine des espèces" - ouvrage qui comptera 150 ans en 2009 - est à l'initiative d'une révolution dont Freud pensait qu'elle a renouvelé de fond en comble toute notre représentation du monde, comme l'avait déjà fait Galilée avant lui au XVIéme siècle. publicité Ce mouvement se dote de prétentions scientifiques à partir des années 1970. On en est là aujourd'hui. Devenez fan sur

Faut-il douter des vaccins Quel est l'impact des polémiques sur le vaccin apparues depuis les années 1990 ? Alors qu'en France, le Comité technique de la vaccination *, qu'il préside, vient de réclamer une réforme de la politique en la matière, le Pr Daniel Floret fait le point, en marge d'un film qui éclaire la situation mondiale. La méfiance à l'égard des vaccins a-t-elle beaucoup progressé depuis vingt ans ? Daniel Floret : Elle ne touche pas tous les vaccins et, pour la plupart d'entre eux, en France, le taux d’immunisation des jeunes enfants se maintient à 95 %, ce qui nuance la portée de ces polémiques. Quelles en sont les conséquences ? La vaccination contre la rougeole, même si elle n'a cessé de progresser depuis vingt ans, reste en deçà de ce qui serait nécessaire pour éradiquer la maladie : parmi les enfants de 2 ans, seuls 90 % pour la première dose, et 75 % pour la seconde, sont vaccinés. Lire la suiteFermer Nous estimons en effet que l'obligation vaccinale doit être reconsidérée.

Sciensport > Jean-Claude Ameisen - Sur les épaules de Darwin Les émissions de haute qualité en termes de vulgarisation sur le cerveau et en neurosciences sont rares. Aussi, lorsqu'apparaît une émission de ce genre dans le paysage audio-visuel ou radiophonique, il est important d'en faire et l'éloge, et la publicité, pour la faire connaître du plus grand nombre. Voilà pourquoi je mets à disposition des internaures qui le souhaite, l'ensemble des fichiers MP3 de cette excellente émission animée par un homme remarquable à bien des égards : Jean-Claude Ameisen. Pour télécharger les émissions, deux possibilités : 1°) Faire un clic gauche sur la date et non les textes en lien créés automatiquement par votre navigateur our Google ; 2°) Faire un clic droit et choisir l'option "enregistrer la cible du lien sous. Bonne ballodiffusion pour le plaisir de vos oreilles et surtout de vos neurones ! Le lien vers le site officiel de Radio France pour vous abonner et découvrir l'auteur...

Épidémies : la menace invisible Les chercheurs ont découvert 60 nouvelles espèces de paramyxovirus. Mais ils viennent surtout d’observer chez les chauves-souris des formes génétiquement très proches de paramyxovirus que l’on pensait spécifiques à l’homme. L’existence d’un tel réservoir animal compromet les espoirs d’éradication de certaines maladies humaines comme la rougeole. D’autres virus, tels que les fulgurants Hendra et Nipah qui sévissent en Asie et en Australie, ont également été observés en état de latence en Afrique. Les chiroptères doivent dès à présent être mis sous haute surveillance. Rougeole, oreillons, pneumonie, grippe ou encore encéphalites chez l’homme, maladie de Carré chez le chien, peste des petits ruminants… sont autant d’infections dues à des virus de la même famille : les Paramyxoviridae. Les virologues ont réuni près de 10 000 échantillons d’animaux, dont près de 90 espèces de chiroptères2 provenant d’Afrique, d’Amérique latine, d’Asie et d’Europe. Des continents en sursis

Sur les épaules de Darwin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les épaules de Darwin est une émission diffusée depuis le mois de septembre 2010 sur France Inter dont l'auteur est Jean Claude Ameisen. L'émission occupe le créneau horaire du samedi matin, de onze heures à midi. Les sujets abordés sont assez éclectiques, de l'Œuvre de Charles Darwin à l'évocation des travaux scientifiques les plus récents, mis en résonance avec la littérature, la philosophie, l'éthique, la poésie, l'art[1]. Le titre de l'émission fait référence à l'image des nains sur des épaules de géants, une métaphore attribuée à Bernard de Chartres au XIIe siècle, qui montre l'importance de s'appuyer sur les grandes œuvres du passé. Le , le Grand Prix des Médias 2013 de CB News a décerné à cette émission le Prix de la meilleure émission de radio[2]. Auteurs fréquemment cités[modifier | modifier le code] Liste des émissions[modifier | modifier le code] Citations[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]

Les nouvelles pistes contre le cancer Echec au roi – les traitements contre les cellules souches cancéreuses Une thérapie anticancéreuse est un peu comme une partie d’échecs : le vainqueur n’est pas celui qui prend le plus de pions, mais celui qui met le roi échec et mat. En règle générale, les traitements anticancéreux tentent d’éliminer autant de cellules cancéreuses que possible, mais trop souvent les tumeurs sacrifient leurs pions et remporte la partie, car toutes les cellules cancéreuses ne se valent pas – certaines restent, comme le roi aux échecs, inaccessibles. Ce sont ces cellules souches qui, dans 80 % des cancers, jouent un rôle et se forment dans les seins, le cerveau, le colon, le pancréas, les poumons ou la prostate. Jusqu’à présent, les essais pour mettre en échec les cellules souches cancéreuses ont échoué. Las d’attendre, des scientifiques étudient le moyen de réveiller les cellules souches avec par exemple la molécule interféron alpha, pour ensuite les détruire avec du mésilate d’imatinib (chimiothérapie).

Peut-on apprendre l’orthographe à des pigeons © Edmund Gall. C’EST un petit casse-tête pour… les spécialistes du cerveau. La neuroimagerie a montré que lire des mots (mais pas les entendre) activait une zone bien délimitée de notre encéphale, nommée de ce fait l’aire cérébrale de la lecture. Or, comme l’explique un des meilleurs connaisseurs de la question, Stanislas Dehaene, directeur de l’Unité de neurosciences cognitives et professeur au Collège de France, « l’écriture n’a été inventée qu’il y a environ 5 400 ans, et jusqu’à très récemment, seule une toute petite fraction de l’humanité apprenait à lire. Le cerveau humain ne peut donc en aucun cas avoir fait l’objet d’une pression sélective, au cours de son évolution, pour en faciliter l’apprentissage. » D’où vient donc que, dans toutes les cultures, ce soit cette aire cérébrale-là qui soit sollicitée lorsque nous avons un livre sous les yeux ? Les chercheurs tirent plusieurs conclusions de leur travail. Pierre Barthélémy (suivez-moi ici sur Twitter ou bien là sur Facebook)

Régime chocolat : Le mensonge des études alimentaires La recette : Préparation – Prendre une étude de piètre qualité, voire carrément indéfendable sur un plan scientifique. En faire une synthèse conforme en apparence à celles des études standardisées. La rédiger évidemment en anglais, et mieux encore, la truffer de termes abscons. Cela découragera d’emblée quelques lecteurs. Au niveau de l’étude proprement dite, laisser beaucoup de détails dans l’ombre. Puisqu’on sait bien que ce torchon ne risque guère d’être retenu par une revue un tantinet sérieuse, on préfère acheter les services d’un journal qui ne vérifie jamais à fond la validité des informations scientifiques qu’on lui propose. Dégustation – Votre publication est fin prête, mais elle est encore inconnue du grand public. Voilà de quoi intéresser les lecteurs ! C’est alors que paraissent dans la presse des gros titres dans le genre « Nouvelle étude : le chocolat aide à perdre du poids », ou « Avec le choco, fini l’effet yoyo ! La morale de l’histoire ? Uwe Knop Nutritionniste

Sélection scientifique de la semaine (numéro 261) Reconstruction, selon différents angles, du crâne d’un cousin d’Homo sapiens à partir des éléments (en jaune) retrouvés en Chine. © Li et al./Science. – Un crâne ancien (et partiel) découvert en Chine pourrait être celui d’un Dénisovien, cet hominidé cousin d’Homo sapiens qui a aujourd’hui disparu et dont on n’avait jusqu’à présent que des traces infimes… à moins qu’il n’appartienne à une branche encore inconnue du buisson Homo. (en anglais) – Comment un laser parvient à faire parler des os de dinosaures… (en anglais) – Faire renaître des espèces disparues pourrait poser un problème aux espèces en voie de disparition… (en anglais) – La célèbre brebis clonée Dolly est née il y a vingt ans, en 1997, et elle est morte prématurément. –Toutes ces substances potentiellement nocives pour notre santé qui se retrouvent dans les emballages de nourriture. – En Chine, la contamination d’humains par la grippe aviaire prend des proportions inquiétantes.

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