
Centres de désintoxication et nouvelles technologies Les jeunes de plus en plus impliqués dans les nouvelles technologies Les addictions ne sont pas limités aux dépendances générées par les produits chimiques. Dans un centre de désintoxications comme CITA nous savons bien que les comportements peuvent aussi générer des comportements addictifs. Certains comportements, comme l'utilisation compulsive de nouvelles technologies (Internet, téléphones portables, jeux vidéo, réseaux de télévision, audio et vidéo portable), peuvent sérieusement interférer avec la vie quotidienne des personnes touchées. Par exemple, les adolescents et les jeunes espagnoles dédient aux nouvelles technologies (TV, Internet et mobile) 6 heures par jour, soit un quart de la journée, ce qui réduit le dévouement absolu à d'autres activités importantes (travail, études, relations ). Les nouvelles technologies ont un pouvoir énorme sur l'obsession des jeunes avec leur utilisation peut entraîner de graves conséquences sur la dépendance. Y at-il les facteurs de risque?
Transmédia Naissance d’un concept entre imagination et raison Depuis quelques mois, le concept se répand dans les directions des grandes chaînes de télévision mais aussi du côté d’opérateurs de télécommunication. À l’heure de la multiplication des écrans (TV, mobiles, ordinateurs…) et, surtout, de leur usage en simultané, l’avenir aurait pour nom « transmédia ». Le terme n’est pas encore entré dans le Larousse et sa définition même est fluctuante. Mais les phénomènes et les évolutions qu’il recouvre n’en sont pas moins bien réels. Avant de les aborder pleinement, risquons néanmoins une première définition, rudimentaire, du transmédia : il s’agirait d’une nouvelle façon de concevoir des histoires, à partir de la prise en compte des nouveaux usages des outils de communication. Là où le « crossmédia » consistait à décliner un même contenu narratif sur plusieurs supports (Internet, réseaux sociaux, écrans de téléphone…), le transmédia élabore plusieurs contenus complémentaires en fonction des caractéristiques respectives de ces mêmes supports.
Des cures de désintox pour les accros d'Internet En Californie, un camp propose à tous les cyberdépendants des séjours pour revenir aux joies de l'enfance, loin des connexions et des réseaux. New York À chaque addiction son remède. En Californie, un camp de «digital detox» propose aux cyberdépendants de smartphones, tablettes et ordinateurs de retrouver un peu d'«humanité» pendant quatre jours, en se déconnectant. Les adultes sont invités à se livrer, par exemple, à des batailles de polochons, à des concours de rire, ou encore à participer à des ateliers de cuisine pieds nus. «Redevenir humain» Camp Grounded propose déjà des soirées «déconnectées» (sans smartphone) qui font un tabac en Californie. La charte du camp ne fait pas mention de punitions pour ceux qui seraient pris en flagrant délit de tweeter, mais les organisateurs mettent en garde les rabat-joie. La société lance également au printemps des séjours d'une semaine de «détox» à l'étranger, au Cambodge, au Nicaragua et au Costa Rica.
La criatura creativa | Blog de creatividad publicitaria, diseño y mucho más… Móvil Publicado el julio 30th, 2013 | por huss87 En IKEA tienen muy claro que en muchos casos el primer contacto entre sus consumidores y sus muebles se produce con su catálogo. De hecho, quizá el de IKEA, junto al de Navidad de El Corte Inglés para los más peques, sea el catálogo más esperado por la mayoría de la población. Por eso, año tras año, la empresa sueca ha intentado mejorar dicho catálogo, haciéndolo más atractivo, interactivo y mejorando así la experiencia de verlo. Este año han ido un paso más allá introduciendo una novedad que seguro que os va a encantar: realidad aumentada. Tags: IKEA, realidad aumentada Sobre el autor huss87 Social Media Freelance.
Les remèdes pour les addicts du numérique se développent Les thérapies contre l'addiction aux nouvelles technologies se développent, du papier peint anti-Wifi aux vacances 100% offline, en passant par les cures de désintoxication. « Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions - au lit, au restaurant, dans les salles d'attente », constate Remy Oudghiri, directeur de l'institut de sondage français Ipsos et auteur d'un livre sur la « e-dépendance ». Les écrans ont colonisé les années 2010. Des chercheurs français ont créé un papier peint spécial qui bloque la transmission des ondes wi-fi. En 2006 déjà, Ipsos avait mis en avant que 54% des Français avaient le sentiment de passer moins de temps ensemble en raison des avancées des nouvelles technologies. Désintoxication numérique Dans le secteur du tourisme, des hôtels se sont engouffrés dans le créneau de la « désintoxication numérique ». D'autres sociétés ont élaboré d'autres formules. Les entreprises imposent une obligation à la déconnexion
20 vidéos courtes pour comprendre le Web et numérique A chaque média thématisé, ses vidéos didactiques. Des modules courts présentent brièvement un des aspects du Web : services, outils, techniques et enjeux. La firme Orange s’est fait la spécialité de ces vidéos de sensibilisation qui ne dépassent pas la durée d’une minute et trente secondes. L’objectif est de donner envie de découvrir, de comprendre et pourquoi pas d’utiliser. Le site Paroles d’Elus (à destination des collectivités territoriales) propose 3 vidéos d’animation à bases de phrases courtes et de chiffres pour faire comprendre aux institutions locales l’intérêt de stratégies orientées numériques : La fibreFacebookTwitter On peut aussi consulter les vidéos 60 secondes du Collectif Orange (« grandes évolutions et les petites révolutions de la vie numérique ») pour comprendre des outils du Web social, des services en ligne ou procédés techniques : Services en ligne BitcoinFlipboardFoursquareGoogle+KloutLe microblogging (Twitter)PheedPinterest Technique Concepts Pratique J'aime :
Ce vendredi, journée mondiale sans Facebook… Tenir 24h sans consulter son profil ou celui de ses amis, ne pas «liker» un commentaire ou une photo ou bien encore ne pas «poker» l'un de vos contacts. Les objectifs de la journée sans Facebook sont simples, leur réalisation un peu plus compliquée. Preuve en est le résultat de l'édition 2013, où 42% des inscrits avaient renoncé à se connecter, selon les données publiées par le réseau social lui-même. Pour motiver les récalcitrants, les organisateurs de cette journée mondiale mettent en avant «la lutte contre l'addiction à la cyberdépendance», le fait de «protester contre l'intrusion des publicités qui se font passer pour de l'information» et enfin «la sécurisation nécessaire de l'outil qui est plutôt du genre perméable à de nombreuses attaques et autres pillages d'informations». Pour cela, un calcul simple peut être réalisé. (Jmh/L'essentiel)
Une ville numérique a urbaniser rapidement pour éviter la tour de Babel La ville numérique est très tendance en ce début d'année! Au moins pour les chargés de communication territoriale. Montpellier Agglomération profite de la présence d'IBM sur son territoire (site de fabrication européen des grands ordinateurs depuis 1965 et localisation d'un datacenter) pour signer un partenariat autour de la "SmartCity". Nice Côte d'Azur, qui organise en Juin l'Innovative City Convention, avait fait de même l'an dernier et bénéficié de l'expertise d'industriels dans le cadre de partenariats ou de projets européens. Grand Lyon de son coté a annoncé le mois dernier ses objectifs en matière de "ville intelligente et durable", avec une orientation forte sur la mobilité. A chaque fois, une volonté affirmée de la ville ou de l'agglomeration, mais aussi l'appui de budgets et de projets d'industriels et de "bâtisseurs" implantés localement. Et le bal des annonces ne va certainement pas s'essouffler à l'approche de la manifestation 5Plus City Forum. Sans commentaire...
Nomophobie : comment soigner cette addiction aux nouvelles technologies Qu'est-ce que la nomophobie ? Jean-Michel Rolland définit la nomophobie comme une forme d'addiction concernant « toutes les personnes qui donnent l'impression d'abuser de l'usage » des nouvelles technologies, c'est-à-dire qui utilisent les outils technologiques (ordinateur, tablette, smartphone, réseaux sociaux) dans l'excès. Le terme de nomophobie reste peu connu mais peut équivaloir à celui de cyberdépendance. Cette attirance prononcée pour les technologies agit directement sur notre quotidien car elle développe sans cesse notre disponibilité et nos besoins d'interactivité. Comme le note Jean-Michel Rolland, « avec les technologies, on ne sait plus être absent ». Les symptomes de la nomophobie Si après avoir lu ces lignes, vous commencez à vous poser des questions au sujet de votre dépendance aux technologies, il existe plusieurs signes qui peuvent vous mettre la puce à l'oreille. L'impact de la nomophobie dans le monde de l'entreprise Que faire face à la dépendance ? Camille Coutant
« GIF-iti » : le street art en ligne d’Insa | Rue89 Culture Le street artist britannique Insa mélange graffiti et GIF animés : un GIF étant composé de plusieurs images, Insa modifie autant de fois que nécessaire le graffiti original pour produire une image animée. Dans une interview au blog de Photoshop, il raconte : « J’ai réalisé que je regardais plus d’œuvres en ligne que dans la vraie vie ; la majorité de mon accès à l’art se faisait à travers Internet, que ce soit du street art quelque part dans le monde ou des vernissages d’expo sur des blogs. Cela m’a un peu découragé, car même si j’avais la possibilité de découvrir plein de travaux, j’ai réalisé que ce n’était jamais la manière dont l’artiste aurait voulu que l’on voie son travail.J’ai donc pensé qu’une manière intéressante de jouer avec ce constat était de créer un art spécifiquement fait pour être vu en ligne, au point qu’on ne pourrait le voir en vrai. De telle manière qu’Internet devient de fait la meilleure manière de voir ce travail. » (Via Lense.fr)
Et si nous étions tous des déconnectés Valeurs croisées de Samuel Bianchini : les spectateurs réagissent face à un mur de chiffres qui lui-même réagit selon leurs gestes, créant en quelque sorte leur empreinte numérique. Dans un article visiblement écrit juste avant qu’elle ne parte elle-même en vacances d’été, la sociologue Joëlle Menrath interpelle son lecteur (en ligne) : « Et vous, comment déconnectez-vous pendant les vacances ? »… Elle y met en scène Olivier, le matin de son départ alors que sa femme et ses deux enfants l’attendent dans le taxi. Dans le cadre de son métier, entre SMS et réseaux sociaux, ce pédopsychiatre nage dans le numérique comme un merlu dans le Golfe du Morbihan. Dilemme : alors qu’il s’est promis une vraie cure de déconnexion, doit-il ou non prendre avec lui son iPhone ? Leur petite leçon de complexité du réel a quelque chose de savoureux. rédacteur : Ariel Kyrou Accédez aux sources à l'origine de cet article consulter la sourceURL | Lettre hebdomadaire de l’ARCEP, n° 117, 19.07.2013
Chirp: une application géniale à essayer d'urgence • Actualité Apple, Mac, iPhone, iPad, App Store avec Ohmymac De temps en temps sort une application avec une fonctionnalité qui nous impressionne. Chirp en fait partie car elle invente une nouvelle façon de partager nos contenus. Imaginez que vous êtes à une soirée et là vous prenez une photo géniale avec votre iPhone, tellement géniale que tout le monde à la soirée la veut. Que faites vous ? Certains d’entre vous vont l’envoyer vers Facebook ou Twitter et donner le nom de leur compte, d’autres vont l’envoyer par email ou par MMS, certains vont utiliser une application dédiée pour la partager, les plus renseignés vont me dire qu’il existe une sorte d’AirDrop pour iPhone et les plus geeks vont peut être tenter de créer un réseau sans fil ad-hoc. Toutes ces solutions sont valables mais sont embêtantes et pas fun. C’est donc là qu’arrive de nulle part Chirp, qui trouve une solution astucieuse, simple, et vraiment fun de partager vos contenus pour notre génération fanatique du partage. Image: itunes, Chirp Pour poursuivre votre lecture :
Les débranche-tout Au resto, au cinéma, aux toilettes, ils gardent toujours un œil sur leur téléphone. Jusqu'à l'overdose. Des cures existent pour ces ultraconnectés. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Lisa Vignoli "Absent du bureau, je serai de retour le 19 août." Afin de se "déconnecter" pour de bon, c'est-à-dire de s'éloigner du réseau Internet et téléphonique pour quelques heures, quelques jours, quelques semaines, il faut désormais envisager quelque chose de bien plus radical : abandonner du même coup ordinateur, tablette et téléphone. Plus qu'un simple outil de communication, le smartphone est devenu cet objet transitionnel dans lequel, selon la formule consacrée, on a déposé "toute sa vie". Aussi, quand il décide de s'en séparer – même temporairement –, le déconnecté le crie haut et fort. En plein "burn-out numérique", l'écrivain français Thierry Crouzet, 50 ans, a raconté, dans J'ai débranché (Fayard), sa cure de déconnexion, longue de six mois.