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La montée de la consommation collaborative

La montée de la consommation collaborative
Pour ses défenseurs, la consommation collaborative est en passe de devenir un mouvement, qui va des places de marchés mondiales comme eBay à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Hubert Guillaud "La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs", explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un "mouvement". Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

L'émergence de la Consommation collaborative - Economie « Sur les déchets, la situation est pire qu'avant le Grenelle » « Favoriser le traitement biologique des déchets » , « réduire la quantité globale de déchets stockés ou incinérés » ou encore « utiliser la fiscalité pour taxer les produits fortement générateurs de déchets ». Les engagements pris lors du Grenelle étaient clairs : il faut réduire la quantité de déchets produits et traiter le reste de manière plus propre. Mais quelques semaines à peine après le vote de la loi Grenelle II, un rapport parlementaire intitulé « Traitement des déchets : quels choix après le Grenelle ? Terra eco : Dans cette lettre, vous vous alarmez des menaces que le rapport parlementaire fait peser sur les avancées du Grenelle de l’Environnement. Sébastien Lapeyre : Ce texte défend une vision orientée et tout à fait contestable. Quel poids peut avoir ce rapport parlementaire, alors que le texte du Grenelle II a déjà été voté ? Ce texte se présente comme un guide de gestion des déchets à l’usage des dirigeants locaux. Traiter les déchets coûte cher.

Consommation collaborative Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La consommation collaborative désigne un modèle économique où l'usage prédomine sur la propriété : l'usage d'un bien, service, privilège, peut être augmenté par le partage, l'échange, le troc, la vente ou la location de celui-ci. Cette optimisation de l'usage est une réaction à la sous-utilisation classique supposée des : biens ;services ;privilèges ; principalement permise par l'échange d'information via Internet et à l'essor, dans un cadre légal, sécurisé, dans la transparence, de cette tendance depuis les années 2000 est donc fortement lié à l'essor des échanges en ligne ; des immenses places de marché, publiques, telles qu'eBay, aux secteurs émergeant de : La consommation collaborative bouscule les anciens modèles économiques en changeant non pas ce que les gens consomment mais la manière dont ils le consomment[1]. Origines[modifier | modifier le code] Le terme avait été introduit par Ray Algar dans la revue Leisure Report d'avril 2007.

Les herboristes, un savoir en herbes Dans le jardin Camifolia, un essaim de stagiaires touche, hume et goûte des plantes médicinales. L'écriteau planté dans le sol invite les visiteurs à faire de même. On est loin de l'austérité de certains parcs botaniques. Après avoir sucé une fleur de chèvrefeuille, une jeune femme avale quelques graines de lin puis en propose à la ronde. "Oh, de la camomille romaine ! Depuis 1989, l'ARH propose un enseignement d'herboristerie par correspondance. Faute de mieux, les formations parallèles se développent, comme celle de l'ARH. Dans la salle de lycée où ils sont hébergés, les stagiaires de l'ARH attendent le signal pour passer leur dernier examen, carte d'identité à la main. 40 plantes sèches à identifier (feuilles, fleurs, tiges ou graines) sont réparties dans des assiettes en carton. Même forts de leur savoir, les stagiaires ne pourront pourtant pas conseiller directement leurs clients, car leur statut ne le leur permet pas. Effacer "l'image de l'herboriste sorcier"

Apéruche #2 La consommation collaborative Retour sur l’Apéruche du 6 janvier sur la consommation collaborative… Merci à Régis Chatellier de l’association BUG pour ce compte-rendu très complet de son intervention. Consommez qu’ils disaient La deuxième moitié du XXème siècle fut celle de la création d’un idéal collectif : le poussé de caddie, la communion du parking, la joie de la caisse enregistreuse. En 2008, dans son film Us Now, Ivo Gormley imaginait un monde ou le web permettrait de pallier les carences du service public par l’organisation des citoyens au travers des réseaux sociaux. le capital est la « réputationnel », la monnaie est sociale Loin de tout discours moralisateur ou catastrophiste, l’idée n’est pas de dire : attention vous allez tous mourir si vous ne changez pas vos modes de consommation ! Tout Rennes collabore Dans ce mouvement mondial vers la consommation collaborative, Rennes tient très bien son rang.

Le mouvement E.Leclerc 174 QUAND DES HOMMES VIVENT ET TRAVAILLENT SUR LE MÊME TERRITOIRE Partout en France, les adhérents des centres E.Leclerc s’associent avec des producteurs de leur région pour valoriser la production locale. Ces partenariats sont formalisés par la dénomination « Les Alliances Locales ». 176 LES ALLIANCES LOCALES : LES CENTRES E.LECLERC SOUTIENNENT LES PRODUCTEURS LOCAUX Acheter des produits de sa région : voilà une autre façon de consommer responsable. Avec sa nouvelle appellation «Les Alliances Locales», E.Leclerc rapproche consommateurs et petits producteurs en régions. 144 MANGER LOCAL : UNE NOUVELLE TENDANCE DE CONSOMMATION Les consommateurs changent. Ils sont de plus en plus nombreux à exprimer leur souhait de consommer autrement en recherchant, notamment, des produits faits dans leur région.

@ Brest - L'empreinte écologique de la restauration collective Pour réorienter notre système alimentaire occidental dans une logique écologique, territorialisée et juste, nous interpellons en particulier les "mangeurs" et préparateurs de repas en restauration collective, en utilisant (entre autres) un calculateur d’empreinte écologique en ligne. Pour disposer d’outils d’aide à la décision, à l’évaluation et la valorisation des démarches de changement en cours dans nombre de restaurations, un groupe d’acteurs de la restauration collective, formateurs-accompagnateurs et chercheurs développent le projet REPAS-RC (Repères pour l’Evolution des Pratiques AlimentaireS en Restauration Collective)-1- dans le cadre du programme Régional ASOSC. Oui, l’empreinte écologique est un outil de prise de conscience et d’accompagnement des changements pertinent pour aider les mangeurs en général et les responsables de restauration collective en particulier à changer leurs pratiques !

Système U cultive à fond la proximité Entretien Votre enseigne a misé sur la proximité. Un gage de développement ? Notre groupe est constitué de commerçants indépendants ancrés dans leur territoire. Avec la notion de prix bas comme fer de lance... Période de crise ou pas, si vous perdez le prix des yeux, vous perdez le client des yeux. Une démarche visible dans vos rayons ? Après les U d'Alsace, du Sud-Ouest, de Vendée, place bientôt aux U de Bretagne. Comment voyez-vous l'hyper ou le supermarché du futur ? Multiformat et multicanal. Que valent vraiment les murs des hypers ? Un vieil adage du commerce consiste à affirmer que les trois ingrédients de la réussite sont d’abord l’emplacement, ensuite l’emplacement et enfin l’emplacement ! Autrement dit, la localisation du magasin aurait davantage d’importance que son contenu, le succès des distributeurs reposant essentiellement sur leur capacité à disposer des meilleures positions possibles pour y déployer leurs enseignes, au plus près des consommateurs. Sur ce fondement, un emplacement vaudrait d’autant plus cher qu’il se situerait dans une zone de chalandise très dense et si possible peuplée de consommateurs à hauts revenus. C’est pourtant en s’affranchissant de ce dogme que le concept d’hypermarché,inventé par Carrefour à Sainte Geneviève des Bois en 1963, a forgé sa réussite. Le succès attirant le succès, les importants flux de clients drainés par ces grandes surfaces ont motivé les enseignes spécialisées à s’établir dans leur voisinage, profitant ainsi du trafic régulier et considérable qu’elles génèrent.

La Ville de Paris accueille le premier congrès des greeters français Les greeters sont les principaux acteurs du tourisme dit « participatif », un tourisme alternatif qui se veut basé sur la rencontre et la création de lien social, en opposition au tourisme de masse. Les greeters – de l’anglais « hôte » – sont des particuliers qui, bénévolement, accueillent et baladent les touristes dans leur ville, selon leurs choix personnels, transmettant anecdotes et bonnes adresses. Là où elles sont implantées, les associations de greeters nouent généralement un partenariat avec les collectivités locales : mairies, conseils généraux et régionaux, et par extension avec les offices de tourismes et comités départementaux de tourisme (CDT), comme, par exemples, à Saint-Ouen (93), Lyon (69) ou Marseille (13). Un mouvement en plein développement « Notre mouvement est en plein développement. Pour cette première rencontre nationale, les greeters se sont donné le programme suivant :

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