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Je suis visible sur le Web, comment faire ?

Je suis visible sur le Web, comment faire ?
C’est décidé, je suis visible sur le web, le site de conseils de Cadre-Emploi. Cadremploi a lance le 21 septembre son nouveau site dédié à la gestion et au marketing de l’identité numérique : www.jesuisvisiblesurleweb.fr Dans la famille « C’est décidé », voici celui de la visibilité Comme le souligne IndiceRH, « c’est décidé, je suis visible sur le Web » est le 6eme du nom « C’est décidé »: Conçu avec les mêmes chartes graphique & éditoriale, vous retrouvez sur JeSuisVisibleSurLeWeb.fr des conseils pratiques des clefs pour s’auto-évaluer, construire son identité numérique pas à pas, se renseigner sur les droits et devoirs liés à une présence numérique. Je suis honorée de figurer dans la liste des spécialistes cités. Ravie surtout de constater qu’un acteur aussi important que Cadre Emploi s’investisse pour proposer des conseils aux chercheurs d’emploi dans la gestion de leur image & leur identité numérique. Le lancement de ce site marque une avancée !

La dimension internationale de la cybercriminalité Les communautés internationales ont récemment pris en compte et srtout pris conscience des enjeux liés au développement des technologies numériques : - 23 Novembre 2001 : Convention du Conseil d'Europe sur la cybercriminalité - 7 Novembre 2002 : lancement du protocole additionnel de la Convention du Conseil d'Europe sur la Cybercriminalité relatif à l'incrimination d'actes de natue raciste et xénophobe commis par le biais de systèmes informatiques Les dispositions contenues dans ces deux textes sont donc inégrées dans le droit français. Il y a aussi de nombreuses directives européennes: - 8 Juin 2000: loi relative à certains aspects juridiques des services de la société de l'information, et notamment du commerce électronique, dans le marché intérieur - différents travaux accomplis au sein du G8, d'EUROPOL, ou du groupe de travail sur la criminalité liée aux technologies de l'information d'INTERPOL .

Tribunaux, cours d'appel (...) des solutions sévères mais efficaces Le cyber-espace: instrument actif qui favorise la commission de l’infraction Compte tenu de l’éventail des nouvelles technologies mises à la disposition des personnes malveillantes et qui font une large place à l’ingéniosité d’une part et de la spécificité des délits informatiques d’autre part, l’usage des N.T.I.C pour commettre des nouvelles infractions est devenu un phénomène international. Internet a fait fleurir une multitude d’infractions liées à la circulation de l’information telle que les violations du droit d’auteur , les violations de vie privée et du secret des correspondances, les délits de presse et de diffamation, etc. La pédophilie est un exemple particulièrement saisissant de criminalité ayant pris de l’ampleur grâce au cyber-espace. Les pédophiles peuvent reproduire des informations ou des photos, l’anonymat y est préservé, la distribution de documents est simple et la quantité de matériaux que l’Internet peut transporter est sans limites. Sources: Ibid et voir aussi C.

Etats-Unis : vers des peines plus sévères pour les hackers Jeudi 12 mai, l’administration Obama a annoncé que de nouveaux projets de loi seraient présentés au Congrès afin de renforcer les sanctions contre le piratage de systèmes informatiques. Conscient des coûts élevés d’un tel dispositif, la Maison Blanche déclare ne pas vouloir appliquer de règlementation stricte, obligeant les entreprises à ériger plus de barrières informatiques. Ainsi, la solution serait de mettre en place un système incitatif pour pousser les compagnies à améliorer leur sécurité informatique. « Le secteur privé a tout intérêt à garantir ses propres systèmes » déclare Gregory T. Nojeim, avocat et conseiller pour le Center for Democracy and Technology. « Un coupe –circuit » Bien que le gouvernement ne mentionne pas la mise en place d’une coupure à distance de l’accès à Internet, le département de la sécurité intérieure pourrait alors disposer de pouvoir accrus afin prendre la main sur la gestion des systèmes informatiques privés. Des peines plus lourdes

gendarmerie nationale INTERPOL

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