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Littérature jeunesse

Littérature jeunesse

Le décrochage scolaire Sélection thématique créée le 30/05/2007 Sélection thématique mise à jour le 09/12/2013 Auteur(s) : CRDP de l'académie de Grenoble Editeur(s) : CNDP On parle de décrochage scolaire lorsqu’un élève quitte l’institution scolaire, abandonne ses études, arrête le cursus en cours avant qu’il ne soit terminé. La définition du « décrochage » se rapproche de celle de « déscolarisation » même si le premier terme est utilisé plus fréquemment lorsqu’il est question d’élèves ayant dépassé l’âge de la scolarité obligatoire. Derrière des questions de vocabulaire, se retrouvent des phénomènes variés.

Télémaque CRDP académie de Créteil - Centre ressources littérature de jeunesse Sans scripts, Télémaque reste entièrement accessible mais certaines fonctions sont désactivées. Sur le web Sites pédagogiques ou institutionnels Le site Bienlire Le site d'accompagnement du plan de prévention de l'illettrisme propose aux adultes intervenant auprès des enfants et des jeunes des outils, des exemples d’actions menées sur le terrain, des documents d’analyse et des communications de chercheurs. Éduscol Le site pédagogique du Ministère de l'Éducation nationale présente les listes de références des œuvres de littérature pour les trois cycles de l'école primaire. Les sélections en littérature de jeunesse du CNDP La rubrique "Actualités pour la classe" propose des sélections commentées de livres de littérature de jeunesse. Alinéa : des élèves critiques littéraires Résumés d'ouvrages écrits par des élèves, dans le cadre de projets entre professeurs et documentalistes.

Les articles critiques Aborder la mort dans les livres pour enfants peut déranger les adultes pour différentes raisons : un sujet trop tristes pour les petits, trop loin de leur monde, trop difficile à expliquer. En réalité, les enfants ont déjà développé leurs idées sur la mort : les plus petis pensent qu’il s’agit d’un moment passager, associé au voyage et au sommeil ; après ils ont tendance à l’identifier à un personnage imaginaire (le diable, une vieille femme...) ; à 9-10 ans, ils comprennent enfin que la mort est un événement définitif et la personne morte ne reviendra plus sur terre, mais pourra vivre dans un «paradis» selon les croyances. En plus, les enfants connaissent déjà la mort : ils la voient tous les jours (au moins dans le journal télévisé), ils ont peut-être eu une expérience indirecte (la mort d’un grand-père ou d’un ami âgé). Il est inutile de faire semblant que la mort n’existe pas. Et il est nuisible de ne pas répondre aux questions des enfants. La mort : thème central ou marginal ?

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