Messageries instantanées : les «bots» se font passer pour vos potes «Bonjour Christophe, je suis un robot et j’adore les humains, vous n’avez qu’à me donner votre ville, votre destination et la date de départ, ensuite je m’occupe de trouver les meilleurs prix pour vos trajets en train.» Le «chatbot» (contraction de «chat» et «bot», pour robot) de Voyages-SNCF est aussi direct que concis lorsque, titillé par la curiosité de tester l’étendue de son bagout algorithmique, l’utilisateur de Messenger se décide à engager un brin de causette avec lui. Moins d’une minute plus tard, «voilà qui est fait !» annonce le robot social sur la messagerie de Facebook comme s’il était un agent du service client : le Paris-Nice est réservé avec une option de 24 heures, à régler sur le site de la filiale de la SNCF. «Merci, trop cool», répond-on en forçant le trait. Nous entrons dans l’ère du «commerce conversationnel» automatisé, aussi convivial et spontané que sait déjà l’être une intelligence artificielle. «Relation client ininterrompue» Défi redoutable Christophe Alix
En savoir plus sur le réseau internet invisible Darknet En savoir plus sur le réseau internet invisible Darknet Sources diverses citées dans l’article D’abord, le Darknet ne doit pas être confondu avec le « Deep Web », le Web profond, qui regroupe les sites accessibles librement mais non indexés par les moteurs de recherche. Comme l’explique Okhin, un jeune trentenaire qui se définit avec provocation comme un « cryptoterroriste », « un darknet est un réseau qui n’est pas connecté à Internet. Sombre et clandestin, inconnu du grand public, c’est un royaume de l’anonymat, inaccessible depuis un navigateur traditionnel. En choisissant de disparaître du Web marchand, les anars du code choisissent en quelque sorte de brûler leur carte d’identité. Dans leur esprit, le Darknet, les darknets, leurs darknets, sont l’utopie réalisée des Zones autonomes temporaires (ZAT) d’Hakim Bey (1) , « îles en réseau » ou « enclaves libres » échappant à toute tentative de définition. Commentaire de la vidéoA propos de la phrase : "Le Réseau Tor fait partie du Darknet."
Bloquer des fans Facebook pour améliorer le taux d'engagement Depuis plusieurs mois ma principale page Facebook accueille plusieurs centaines de nouveaux fans chaque semaine, un chiffre en augmentation ces dernières semaines. Mais j’ai souhaité bloquer des fans Facebook dans un but bien précis. Je vous raconte pourquoi. A la lecture des statistiques de fréquentation de ma page, je suis content, les tactiques mises en œuvre payent. Mais je m’intéresse plus aux retours sur investissements – ROI – qu’aux scores de vanité, aussi je surveille de près le taux d’engagement sur chacune de mes publications. Je gère plusieurs pages Facebook dans le cadre de mon activité d’entrepreneur indépendant pour générer du trafic vers mes sites et mes pages de capture (je travaille beaucoup avec l’email marketing). Facebook représente environ 10% des visites sur mon site principal et donc autant en chiffre d’affaires. A force de tester, j’ai constitué une liste de bonnes pratiques (j’en parle ici) pour optimiser le taux d’engagement. Oui mais quand même. C’est fini.
Le dossier complet sur le réseau TOR Dans cette ère où tout le monde cherche à protéger ses données et sa vie privée, on entend beaucoup parler du réseau TOR. Certains chantent ses louanges tandis que d’autres le considèrent comme un outil pour les criminels. Dans ce dossier, nous vous donnons les principes de fonctionnement de TOR en décrivant aussi ses avantages et ses inconvénients. Qu’est-ce que le réseau TOR ? TOR signifie The Onion Router, et c’est une organisation à but non-lucrative qui se concentre sur la protection de la vie privée et l’anonymat des internautes sur le web. En se basant sur ce constat, le réseau TOR fonctionne en faisant passer votre connexion par différents points de relais qui sont gérés par des milliers de volontaires dans le monde. Le réseau TOR se base sur 2 principes fondamentaux, à savoir, le logiciel qui vous permet de vous connecter au réseau et les volontaires qui proposent des serveurs à travers le monde. Qui a crée le réseau TOR ? C’est quoi, l’Onion Routing C’est quoi, les routeurs Onion ?
7 meilleurs sites pour organiser sa veille sur internet Auteur de l’article Marie-Anne MAURY Depuis l’enfance, j’écris par plaisir et par passion. Voir le tableau comparatif Donner votre avis sur le meilleur site Scoop.it est un outil vraiment complet pour faire de la veille en ligne. Mais ce n’est pas tout, Scoop.it! Les meilleurs sites pour faire de la veille sur internet de 2 à 4 Pearltrees.com fonctionne un peu à la façon des « favoris ». Flipboard.com est lui basé sur le principe d’association d’informations. Création ou récupération de données, personnalisation des publications, partage communautaire des interventions, … rebelmouse.com réunit toutes les fonctionnalités d’un bon site pour faire de la veille en ligne. Cet article, vous plait ? Les challengers pour les sites de veille Bien que moins performant au final, stample.co peut aisément être comparé à Scoop.it!. Le concept des deux derniers sites de la liste est un peu différent. Conclusion sur les sites pour organiser sa veille sur internet Le tableau comparatif
Infographie : d’où provient votre trafic ? Trouvez facilement un rédacteur professionnel Et boostez votre content marketing sur Redacteur.com TesterDes milliers de rédacteurs freelance sont disponibles pour vous répondre La plateforme Hubspot a réalisé une étude auprès de 15 000 de ses clients, appartenant à différents secteurs d’activité. L’objet de cette recherche : trouver quelles sont les meilleures sources de trafic sur leur site internet. Une analyse pertinente dont les conclusions intéresseront toutes les entreprises souhaitant optimiser leur stratégie Content Marketing ! Le trafic organique et direct en tête Sans surprise, la notoriété de l’entreprise et les requêtes sur les moteurs de recherche sont les meilleures sources de trafic. Les secteurs de la construction, des produits de consommation, des services marketing et de l’industrie ont tout intérêt à utiliser le Content Marketing pour booster leur référencement naturel. Quant aux e-commerces et aux agences immobilières, c’est leur notoriété qui draine du trafic. Fabien
Connaitre le nombre de visite d’un site concurrent Comment faire pour connaitre ou tout du moins estimer le trafic d’un site qui n’est pas le nôtre ? En effet, il peut être intéressant de savoir combien de visiteurs uniques se rendent chaque mois sur le site d’un concurrent par exemple. Ou bien si vous voulez acheter de la publicité sur un site ou un blog, vous voudrez sans doute vérifier tout d’abord que les chiffres du trafic annoncé sont bien réels… Ainsi, pour pouvoir déterminer le nombre de visites d’un site, il existe plusieurs outils en ligne, certains gratuits, d’autres payants, qui vont vous permettre de vous faire une petite idée de l’audience du site en question. Ci-dessous, je vous propose une petite liste non exhaustive d’outils en ligne pour tenter de connaitre le trafic d’un site. Yooda Insight Le premier outil que je vous propose d’essayer pour estimer le nombre de visiteurs d’un site concurrent est Yooda Insight. SimilarWeb Le second outil à découvrir pour estimer le trafic d’un site est SimilarWeb. SEMrush
Les moteurs de recherche | CNIL Personnaliser la publicité Les moteurs de recherche, et plus largement les régies publicitaires, disposent d'une connaissance approfondie de vos centres d'intérêts. Ils peuvent créer des profils d'internautes qui trouvent leur exploitation dans la personnalisation d'espaces publicitaires en fonction de critères de fréquentation, de localisation, etc. Géolocaliser les internautes Depuis quelques années, les moteurs de recherches ont diversifié leur offre : il est désormais possible de réaliser un calcul arithmétique directement depuis le moteur, ou encore trouver une carte géographique en entrant une adresse. Mais aussi, des utilisations détournées Comme les moteurs de recherche indexent la totalité d'Internet, ils peuvent être utilisés par des personnes mal intentionnées pour mettre au jour les failles de sécurité de certains sites et les exploiter !