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Des MOOC français, innovants, généreux et précurseurs

Des MOOC français, innovants, généreux et précurseurs
Des MOOC français, innovants, généreux et précurseurs Les MOOCs génèrent actuellement un grand nombre d’articles dans la presse. Les Massive Online Open Courses sont en effet au centre d’enjeux stratégiques internationaux. La compétition a été lancée il y a deux ou trois ans par les grandes universités américaines. Objectif : maîtriser l’énorme marché mondial de la formation et capter des cerveaux sur l’ensemble de la planète. Cet article retrace mon expérience. Un MOOC ? MOOC = Massive Online Open Courses, littéralement, cours en ligne ouvert et accessible au plus grand nombre. Les participants aux cours, enseignants et élèves, sont dispersés géographiquement et communiquent uniquement par Internet. Avec les MOOC, nous visons ce que le chercheur en innovation Clayton Christensen appelle les « non consommateurs », les exclus de fait du système. Parmi les MOOCs, on distingue les cMOOCs et les xMOOCs Les xMOOC visent à valider les compétences acquises en délivrant un certificat de réussite.

MOOC: les édu-hackers à l’assaut de l’éducation Le 25 mars, le Monde publiait un article au titre provocateur « Les MOOC à l’assaut du mamouth« . Il faisait référence à l’attaque en règle menée par les plus prestigieux des établissements américains sur l’enseignement en ligne. La libération du code de la plate-forme edX il y a moins de deux semaines vient de changer les règles du jeu et permettre à une nouvelle catégorie d’acteurs d’émerger: les particuliers. Tout professeur armé de suffisamment de temps et de volonté peut désormais organiser un cours pour l’ensemble de la planète, à condition qu’il dispose d’un peu de soutien. Ce privilège n’est plus réservé aux enseignants d’établissements prestigieux qui ont la chance de pouvoir aller sur Coursera. Cette décision donne potentiellement des ailes aux édu-hackers. La définition de édu-hacker est assez flexible. Dans le domaine de l’éducation, le concept est plus flou. Revenons à edX.

Les SPOC comme alternative crédible aux MOOC | Miscellanées numériques On parle des SPOC (Small Private Online Courses) depuis quelques mois comme une alternative crédible aux MOOC. Alors que les universités se lancent dans la production des MOOC sans trop savoir où cela les mènera, un mouvement inverse à la massification et à l’ effet "vitrine" des CLOM fait son apparition. L’idée des SPOC serait d’utiliser les ressources qui ont fait le succès des MOOC comme la vidéo, et autres contenus pour des "séquences pédagogiques" réservées à un petit nombre d’étudiants. On utiliserait le concept de classe inversée : les cours seraient vus à la maison par l’étudiant et on discuterait et appliquerait en classe notions et concepts développés en vidéos. Certaines universités font déjà du SPOC. Harvard et Berkeley expérimentent ce type d’enseignement. Reste que ce dispositif hybride présentiel/en ligne flexible et peu coûteux à mettre en place pose quelques questions, à commencer par la guidance (tutorat) et l’évaluation des participants. Like this: J'aime chargement…

cours en e-marketing en libre accès cours en marketing digital en libre accès Cours en marketing digital en libre accès <A HREF=" Amazon.fr</A> Voici quelques uns de mes cours en e-marketing (marketing digital) faits en 2012, 2013 et 2014 au CNAM. Le premier cours est un cours d'introduction sur la e-publicité et les tendances du marché : internetsupportpublicitaire.pdf Le deuxième cours parle de SEO et de SEM : le-seo-et-le-sem.pdf Le troisième cours traite du marché du Search : lemarchedusearch.pdf Le quatrième cours est un focus sur le display : display2011.pdf Nous avons également parlé d'e-mailing : l-e-mailing.pdf mais aussi d'achat sur Facebook ou Twitter : la-publicite-sur-facebook-et-twitter.pdf et de transmédia, crossmédia bref de communication 360 degrés : du-cross-media-au-trans-media.pdf ou de marketing à la performance : Blog

MOOC: quelle stratégie pour les établissements ? Les établissements d’enseignement supérieur sont de plus en plus nombreux à vouloir se lancer dans l’aventure des MOOC, et se posent la question de la stratégie à adopter. Compte tenu des moyens limités dont ils disposent, il faut faire des choix. Vaut-il mieux commencer par des cours généralistes pour attirer les internautes, ou se concentrer sur ses spécialités ? Mettre en avant ses stars, ou préférer des professeurs moins renommés mais enseignant des matières plus demandées ? Retour sur les stratégies des uns et des autres. S’adresser au public le plus large possible en offrant des cours avec peu de pré-requis, c’est la stratégie qui domine pour le moment au sein des établissements américains, il n’y qu’à regarder les cours proposés. L’objectif sous-jacent est de gagner une base d’utilisateurs aussi vaste que possible, puis d’offrir des cours de niveau plus élevé en se basant sur le succès des précédents.

Monter un MOOC : combien ça coûte ? Avec le buzz qui monte rapidement, enseignants et établissements sont de plus en plus nombreux à vouloir se lancer dans l’aventure des MOOC, et la première question qui vient naturellement à l’esprit est celle du coût. Combien faut-il pour monter un MOOC de bout en bout ? Les chiffres qui circulent sont souvent contradictoires, on entend parfois 400 euros, parfois plus de 100.000 euros. Qui croire ? Petites réflexions personnelles sur le sujet … La question du coût est souvent mal posée, car il n’y a pas de réponse unique. Commençons par revenir sur les principaux lots de travail. Maintenant, il reste à chiffrer un peu tout cela en termes de charge de travail. Pourtant j’avais dit un peu plus tôt qu’on pouvait s’en tirer avec 600 heures de travail. Dans toutes les budgétisations qui suivent, nous considérerons un xMOOC “complet”, où l’ensemble des lots de travail est réalisé avec la plus grande rigueur. Scénario 1 : Enseignant en cavalier seul Scénario 2 : Equipe d’universitaires

Facilitez vous la vie pour vos reportings community management avec Agorapulse Facebook propose beaucoup de données via son outils analytics, tellement de données qu’il est souvent difficile de prendre du recul et d’analyser efficacement la visibilité de sa page Facebook. Heureusement, certains outils vous permettent d’y voir plus clair. C’est le cas, par exemple, d’Agorapulse dont nous nous servons pour gérer la page Facebook de Webmarketing & co’m ainsi que celles de nos clients… Depuis janvier, en plus des données accessibles depuis son interface, Agorapulse permet d’exporter un bilan sous forme de Powerpoint. Pour obtenir ce rapport, c’est très simple. Dans ce fichier, on retrouve toutes les données clés : l’évolution des fans, de votre reach et des impressions, les sources d’acquisition, les visites sur votre pages et vos différents onglets, la démographie de vos fans ainsi que les meilleurs posts. Voici une petite vidéo de présentation des différentes fonctionnalités :

Un c-MOOC pour mieux comprendre le monde au quotidien Retour de la première session les conférences Quidquam Live Unisciel lance la seconde édition de son MOOC sur la base de Kezako (Communiqué de presse), sur la thématique de la lumière. Le MOOC QuidQuam? Comprendre le monde au quotidien a pour objectif de faire le tour d’horizon des phénomènes de notre quotidien. Comment est-il organisé ? A travers des ressources choisies d’Unisciel et notamment la série Kezako ? Ce MOOC ne nécessite pas de formation scientifique préalable. Pour qui ? Il s’adresse à toute personne désireuse de satisfaire sa curiosité scientifique. Le dispositif place les apprenants dans une démarche de tutorat entre pairs, où l’apprenant interagit avec un autre apprenant. Par qui ? Ce MOOC est encadré par Daniel HENNEQUIN, chercheur CNRS de l’Université de Lille. D’autres enseignants s’associent aux projets, pour favoriser un échange très intéressant sur la science dans notre quotidien. Plus qu’un MOOC ? En effet, vous avez une question ? Programme et thématiques abordés

MOOC ou SPOC ? Ces derniers temps, on a beaucoup parlé des MOOC sur la toile (dans ce blog également, lire ici). Récemment, on peut lire aussi quelques articles qui tempèrent un peu l’enthousiasme initial. Par exemple, beaucoup d’étudiants décrochent des MOOC dans lesquels ils sont inscrits, bien plus que s’ils étaient en présentiel quelque part. Les prestigieuses universités se demandent si c’est réellement une bonne idée de faire un « massif » (car elles craignent alors de voir leur diplômes dévalués). Le modèle économique est lui aussi remis en cause, sans compter ceux qui brandissent le spectre de la destruction de l’université. Pour François Germinet, pré­sident de l’université de Cergy-Pontoise, les MOOC ne sont que des objets « têtes de gondole » qui n’auront pas vraiment d’impact important. On se demande bien qui va s’imposer : les MOOC ou les SPOC ?

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