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Des MOOC français, innovants, généreux et précurseurs

Des MOOC français, innovants, généreux et précurseurs
Des MOOC français, innovants, généreux et précurseurs Les MOOCs génèrent actuellement un grand nombre d’articles dans la presse. Les Massive Online Open Courses sont en effet au centre d’enjeux stratégiques internationaux. La compétition a été lancée il y a deux ou trois ans par les grandes universités américaines. Objectif : maîtriser l’énorme marché mondial de la formation et capter des cerveaux sur l’ensemble de la planète. Cet article retrace mon expérience. Un MOOC ? MOOC = Massive Online Open Courses, littéralement, cours en ligne ouvert et accessible au plus grand nombre. Les participants aux cours, enseignants et élèves, sont dispersés géographiquement et communiquent uniquement par Internet. Avec les MOOC, nous visons ce que le chercheur en innovation Clayton Christensen appelle les « non consommateurs », les exclus de fait du système. Parmi les MOOCs, on distingue les cMOOCs et les xMOOCs Les xMOOC visent à valider les compétences acquises en délivrant un certificat de réussite.

Les SPOC comme alternative crédible aux MOOC | Miscellanées numériques On parle des SPOC (Small Private Online Courses) depuis quelques mois comme une alternative crédible aux MOOC. Alors que les universités se lancent dans la production des MOOC sans trop savoir où cela les mènera, un mouvement inverse à la massification et à l’ effet "vitrine" des CLOM fait son apparition. L’idée des SPOC serait d’utiliser les ressources qui ont fait le succès des MOOC comme la vidéo, et autres contenus pour des "séquences pédagogiques" réservées à un petit nombre d’étudiants. On utiliserait le concept de classe inversée : les cours seraient vus à la maison par l’étudiant et on discuterait et appliquerait en classe notions et concepts développés en vidéos. Certaines universités font déjà du SPOC. Harvard et Berkeley expérimentent ce type d’enseignement. Reste que ce dispositif hybride présentiel/en ligne flexible et peu coûteux à mettre en place pose quelques questions, à commencer par la guidance (tutorat) et l’évaluation des participants. Like this: J'aime chargement…

L'incroyable productivité des cMOOCs Si vous vous intéressez à l'actualité des MOOCs et lisez les articles réguièrement publiés sur Thot Cursus sur ce sujet, vous devez maintenant savoir qu'on distingue habituellement deux catégories de MOOCs : - Les xMOOCs, qui sont des cours académiques massivement distribués; les contenus sont préparés par l'institution distribuant le cours, et les apprenants doivent assimiler ces contenus. Des tests réguliers et un examen final (qui peut prendre diverses formes) permettent de vérifier le niveau de rétention et de compréhension des contenus, et d'attribuer un certificat de réussite à ceux qui ont obtenu le niveau minimal exigé. - Les cMOOCs, qui sont des espaces de co-construction des savoirs et savoir-faire par les apprenants eux-mêmes. Les animateurs du cours établissent une liste de sujets qui sont abordés dans le cadre d'une progression, fournissent des ressources favorisant la réflexion et facilitent les interactions. Ces MOOCs peuvent faire l'objet d'une validation ou pas. ITyPA

Monter un MOOC : combien ça coûte ? Avec le buzz qui monte rapidement, enseignants et établissements sont de plus en plus nombreux à vouloir se lancer dans l’aventure des MOOC, et la première question qui vient naturellement à l’esprit est celle du coût. Combien faut-il pour monter un MOOC de bout en bout ? Les chiffres qui circulent sont souvent contradictoires, on entend parfois 400 euros, parfois plus de 100.000 euros. Qui croire ? Petites réflexions personnelles sur le sujet … La question du coût est souvent mal posée, car il n’y a pas de réponse unique. Commençons par revenir sur les principaux lots de travail. Maintenant, il reste à chiffrer un peu tout cela en termes de charge de travail. Pourtant j’avais dit un peu plus tôt qu’on pouvait s’en tirer avec 600 heures de travail. Dans toutes les budgétisations qui suivent, nous considérerons un xMOOC “complet”, où l’ensemble des lots de travail est réalisé avec la plus grande rigueur. Scénario 1 : Enseignant en cavalier seul Scénario 2 : Equipe d’universitaires

MOOC : Google au lancement d'un Youtube des cours en ligne Anant Argawal, pré­sident de la plateforme d'apprentissage edX, versant dans les MOOC (Massive Open Online Courses, ou cours en ligne ouverts), a annoncé le lan­ce­ment à venir d'un « Youtube des cours en ligne » avec Google pour partenaire. Tandis que 2014 pourrait bien être l'année du boum pour cette pratique d'enseignement, le mouvement devrait permettre à chacun de diffuser ses propres cours. Pour le meilleur comme le pire ? Anant Argawal est également pro­fes­seur d'électronique au MIT en plus d'être pré­sident pour edX. Le service en ligne Mooc.org sera basée sur la tech­no­lo­gie open source d'edX, déjà mise à profit entre autres par la plateforme de cours en ligne ouverts France Université Numérique (FUN). Par ce lancement, les deux partenaires devraient faire fondre la « bar­rière à l'entrée tech­no­lo­gique », estime Matthieu Cisel, doc­to­rant sur les MOOC. Le service devrait être officiellement mis en orbite au cours du pre­mier semestre 2014. Pour approfondir

MOOC ou SPOC ? Ces derniers temps, on a beaucoup parlé des MOOC sur la toile (dans ce blog également, lire ici). Récemment, on peut lire aussi quelques articles qui tempèrent un peu l’enthousiasme initial. Par exemple, beaucoup d’étudiants décrochent des MOOC dans lesquels ils sont inscrits, bien plus que s’ils étaient en présentiel quelque part. Les prestigieuses universités se demandent si c’est réellement une bonne idée de faire un « massif » (car elles craignent alors de voir leur diplômes dévalués). Le modèle économique est lui aussi remis en cause, sans compter ceux qui brandissent le spectre de la destruction de l’université. Pour François Germinet, pré­sident de l’université de Cergy-Pontoise, les MOOC ne sont que des objets « têtes de gondole » qui n’auront pas vraiment d’impact important. On se demande bien qui va s’imposer : les MOOC ou les SPOC ?

MOOC La 1ére Guerre mondiale expliquée à travers ses archives Le MOOC La Première Guerre mondiale expliquée à travers ses archives, est conçu comme un laboratoire. Le public est invité à se confronter à la Grande Guerre à travers les archives et les sources conservées à la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BDIC). Inscription Organisateur Université Paris Ouest, Nanterre – La Défense - Annette Becker, professeure des universités spécialisée dans l’étude de la Première Guerre Mondiale. - Gilles Ferragu, maître de conférences, spécialiste des relations internationales et de l’histoire des religions au XIXème et XXème siècles. - Valérie Tesnière, directrice de la BDIC, spécialiste de l’histoire de l’édition contemporaine. - Philippe Rygiel, professeur d’histoire contemporaine Université Paris Ouest Nanterre, spécialiste de l’histoire des migrations contemporaines et des usages des technologies informatiques dans le champ historique. Durée 12 semaines Début : Lundi 16 Janvier 2014 Fin : Lundi 18 Avril 2014 Pré-requis Charge de travail Coût

Cours en ligne : après le MOOC, le SPOC Critiqués pour leur fort taux d'échec de l'autre côté de l'Atlantique, les MOOC n'ont plus la côte aux Etats-Unis et pour­raient bien­tôt être éclip­sés par les SPOC (pour small pri­vate online classes). © olly — Fotolia.com Alors qu'en France, les ins­crip­tions à la pre­mière plate-forme natio­nale de MOOC viennent de s'ouvrir, aux Etats-Unis, ces cours mul­ti­me­dia en ligne ouverts à tous, cri­ti­qués, sont déjà en perte de vitesse. Et une nou­velle forme d'enseignement en ligne est en train d'émerger : il s'agit des SPOC (small pri­vate online classes). Manque d'interaction dans les MOOC Les MOOC sont notam­ment incri­mi­nés outre-Atlantique pour le nombre élevé d'étudiants qui aban­donnent avant la fin du cur­sus. Une situa­tion que les détrac­teurs du modèle attri­buent au peu d'interaction entre ensei­gnants et étudiants, le pro­fes­seur ne pou­vant répondre aux sol­li­ci­ta­tions des mil­liers de per­sonnes qui suivent le MOOC. Les MOOC bien­tôt sup­plan­tés par les SPOC ?

MIEUX COMPRENDRE LA FORMATION AUX ADULTES, L’ANDRAGOGIE : UNE SCIENCE IMPRÉGNÉE D’HUMANISME | Le Bloc Notes Dans le cadre de notre travail d’intervenant en santé, plusieurs d’entre nous sommes appelés à développer des activités de formation. La connaissance et l’application des principes d’andragogie (plus communément appelé les principes d’éducation aux adultes) est primordial dans l’élaboration d’une formation efficace qui a de l’impact dans le changement des comportements. L’andragogie (Marchand, 1997) est une science parce qu’elle doit être scientifique en ce qui attrait à la planification, l’application et l’évaluation des interventions éducatives mais c’est aussi un art parce qu’elle doit être imprégnée d’humanisme et repose sur le climat relationnel qui existe entre l’apprenant, le facilitateur et les autres apprenants. Le rôle de la formation La formation aide les individus à développer leurs connaissances, compétences et attitudes en appliquant les principes suivant lesquels les adultes apprennent le mieux. Le rôle unique du formateur Le cycle de démarche consécutive

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