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Homéostasie

Homéostasie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Initialement élaborée et définie par Claude Bernard[1], l'homéostasie (du grec ὅμοιος, hómoios, « similaire », et στάσις (ἡ), stásis, « stabilité, action de se tenir debout ») est la capacité que peut avoir un système quelconque (ouvert ou fermé) à conserver son équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes qui lui sont extérieures. Selon Walter Bradford Cannon, « l’homéostasie est l’équilibre dynamique qui nous maintient en vie ». L'homéostasie est la maintenance de l'ensemble des paramètres physico-chimiques de l'organisme qui doivent rester relativement constants (glycémie, température, taux de sel dans le sang, etc.). Dans les neurosciences, l'homéostasie joue un rôle clé comme l'un des substrats biologique de la conscience et du sentiment d'unité du Soi[2]. Régulation[modifier | modifier le code] Le système nerveux autonome ainsi que le système endocrinien, jouent un rôle incontournable dans le maintien de l'homéostasie.

repères Résilience Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Le mot résilience désigne de manière générale la capacité d'un organisme, un groupe ou une structure à s'adapter à un environnement changeant. Il est utilisé dans plusieurs contextes : Postmodernité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La postmodernité est un concept philosophique et intellectuel de la fin du XXe siècle qui tente, après l'effondrement des idéologies, de s'inscrire dans le prolongement du structuralisme et du déconstructivisme, tout en critiquant l'héritage du freudisme et du marxisme. Les post-modernes se situent dans la perspective de surmonter le désenchantement du monde, après la désagrégation des repères culturels ou religieux, le relativisme des sciences, la crise de l'idée de progrès, l'humanité confrontée aux faillites écologiques, économiques et sociales, et l'échec patent des utopies révolutionnaires. Caractéristiques de la société postmoderne[modifier | modifier le code] Un nouveau rapport au temps[modifier | modifier le code] La sociologie postmoderne donne une place centrale à l'imaginaire de l'ici et maintenant (Michel Maffesoli). Fragmentation de la société et fragmentation de l'individu[modifier | modifier le code] Commentaires autour du concept

Pourquoi la jeunesse aux Etats-Unis ne se Le conditionnement ! par anonyme (je ne sais pas qui a écrit ce texte) Seuls les + de 50 ans peuvent comprendre... ! Manifeste pour une nouvelle spiritualité « Beaucoup de gens ne savent pas ce qu’ils Néocolonialisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le néocolonialisme décrit une politique impérialiste propre aux anciennes puissances coloniales vis-à-vis de leurs anciennes colonies, ainsi que plus généralement les méthodes d'influences occultes au profit des pays développés et de leurs grandes entreprises. Le terme néocolonialisme utilisé, pour la première fois, par Kwame Nkrumah en 1965[1] fait référence à la continuité historique de la transition des colonies à des nations officiellement indépendantes, et aux méthodes n'étant pas beaucoup plus louables que le colonialisme entre les XVIe et XIXe siècles... Méthodes du néocolonialisme[modifier | modifier le code] Le néocolonialisme se décline en plusieurs approches. Présence après décolonisation[modifier | modifier le code] Les anciens États colonisateurs, et d'autres États économiquement forts, continuent de maintenir leur présence dans les économies des anciennes colonies, particulièrement pour ce qui concerne les matières premières.

Critiques : "La peur de la nature" de François Terrasson Une prise de conscience salutaire… 1992, la Convention de Rio signe avec l'Agenda 21 (1), un ensemble de recommandations concrètes pour le 21ème siècle, qui incite notamment à une meilleure protection et éducation à l'environnement. Cette reconnaissance internationale de la détérioration implicite de la nature par l'homme, et de l'importance de sa sauvegarde, reste 10 ans plus tard et malgré quelques réussites, marquée de beaucoup de déceptions… et d'ambiguïtés. Par exemple, la France, pays pourtant réputée pour être un des plus soucieux de la protection de son environnement, est le troisième état au monde pour sa consommation de pesticides (responsables de la pollution de 94 % des cours d’eaux nationaux). Au sud, la réserve naturelle de Camargue, endroit le mieux protégé, voit pourtant 500 hectares disparaître chaque année au profit de l’agriculture, du tourisme, des infrastructures. Qu'est ce que la nature ? Rupture Dans le passé, en Europe, le berger était un personnage à part.

"La peur de la nature" de François Terrasson Au-delà des causes économiques, politiques, culturelles, sociales, qui rendent ardue la protection de la nature, il en est une, beaucoup plus cachée, insaisissable et sourde qui prévaut sur toutes les autres : l’homme occidental, maître économique actuel de la planète, a peur de la nature… et de sa part d’animalité. Aimez-vous vraiment la nature ? Toute la nature ? Le gluant, le griffu, le velu, le vaseux, l’organique ? Quelques jours avant sa mort, François Terrasson, écrivait : "Je voyais évoluer dans les forêts et savanes mes amis naturalistes, semblant baigner dans des paradis. Le lien ou l’absence de lien avec la nature, voilà le point crucial ! L’homme émotionnel perçoit, rêve, symbolise les aspects sensibles de l’Univers. L’homme moderne n’en est plus à une contradiction près : il pense être le chef-d’œuvre de la nature, mais refuse d’être perçu comme lié à elle. "Sang de la Terre" de François Terrasson réédité aux Editions "Sang de Terre" - Prix public : 21,00 EUR

Transhumanisme H+, un symbole du transhumanisme. Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer la condition humaine notamment par l'augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains. Les transhumanistes considèrent certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subis comme indésirables. Le transhumanisme partage de nombreux éléments avec l'humanisme, y compris le respect de la raison et de la science, une volonté de progresser et une valorisation de l'existence humaine (ou transhumaine). Il en diffère cependant par la reconnaissance et l'anticipation des changements radicaux que pourraient entraîner les techniques émergentes[1]. Le mouvement transhumaniste se préoccupe des dangers comme des avantages que présentent de telles évolutions[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Cet article a besoin d'un nouveau plan(mai 2016).

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