"A l'ère de l'information l'ignorance est un choix."
Libertés fondamentales
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les libertés fondamentales ou droits fondamentaux représentent juridiquement l'ensemble des droits essentiels pour l'individu, assurés dans un État de droit et une démocratie. Elles recouvrent en partie les droits de l'homme au sens large. Dans la doctrine juridique, le concept est relativement récent et il existe plusieurs façons d'appréhender la « fondamentalité » d'un droit ou d'une liberté. L'idée même de fondamentalité revient à prioriser et hiérarchiser les droits ou les libertés en fonction de leur essentialité. Présentation[modifier | modifier le code] Les libertés fondamentales ou droits fondamentaux représentent juridiquement l'ensemble des droits primordiaux pour l'individu, assurés dans un État de droit et une démocratie. Il existe plusieurs façon d’appréhender la fondamentalité d'un droit ou d'une liberté. Contenu[modifier | modifier le code] Contenu des libertés fondamentales : Différences[modifier | modifier le code]
« Lorsque les nazis sont venus chercher les
Liberté d'expression
La liberté d'expression est le droit reconnu à l'individu de faire connaître le produit de sa propre activité intellectuelle à son entourage[1]. Elle procède de la faculté de communiquer entre humains. Celle-ci a longtemps été considérée comme un simple phénomène naturel conditionnant la vie sociale, avant d'être solennellement érigée en liberté individuelle, aujourd'hui juridiquement garantie mais en réalité encadrée. Histoire[modifier | modifier le code] De tout temps, l'expression des idées, principalement sous sa forme verbale, mais aussi par l'écrit, a suscité l'intérêt des penseurs. À l'origine, elle était avant tout considérée comme un élément essentiel du processus de structuration sociale permettant d'atteindre les idéaux suprêmes de vérité, de perfection et de justice. Faculté de s'exprimer, phénomène social[modifier | modifier le code] Droit de s'exprimer, liberté individuelle[modifier | modifier le code] Dans la pensée kantienne, la liberté n'est cependant pas sans limites. « 1.
Démocratie
Déclaration universelle des droits de l'homme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À l'origine, 48 États sur les 58 participants devaient adopter cette charte universelle. Aucun État ne s'est prononcé contre et seuls huit se sont abstenus. Parmi eux, l'Afrique du Sud de l’apartheid refuse l'affirmation au droit à l'égalité devant la loi sans distinction de naissance ou de race ; l’Arabie saoudite conteste l’égalité homme-femme. La Pologne, la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie et l'Union soviétique (Russie, Ukraine, Biélorussie), s'abstiennent, quant à eux, en raison d'un différend concernant la définition du principe fondamental d’universalité tel qu'il est énoncé dans l’article 2 alinéa 1. Le texte énonce les droits fondamentaux de l’individu, leur reconnaissance, et leur respect par la loi. Le texte du préambule et de la déclaration est inamovible. Genèse et rédaction[modifier | modifier le code] De 1946 à 1948, les délégués des Nations unies se sont consacrés à l'élaboration de la Déclaration.
Manipulation
Terrorisme intellectuel
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terrorisme intellectuel est la pratique qui, au moyen d'arguments et de procédés intellectuels (publication, interventions médias, etc.), vise à intimider pour empêcher la formulation d'idées gênantes (que les idées visées soient fausses, vraies, ou discutables). On parle aussi de police de la pensée. Historiquement, Montaigne parlait de "tyrannie parlière" (Essais, livre III, chapitre 8), Ernest Renan de "tyrannie spirituelle" (L'Avenir religieux des sociétés modernes, 1860, III : « Le christianisme, avec sa tendresse infinie pour les âmes, a créé le type fatal d'une tyrannie spirituelle, et inauguré dans le monde cette idée redoutable, que l'homme a droit sur l'opinion de ses semblables. ». Les autres procédés visant à limiter ou interdire l'expression (censure légale, intimidation physique, menaces judiciaires, etc.) ne relèvent pas du pur terrorisme intellectuel, bien qu'ils y soient évidemment associés et puissent en être des outils.
Le Scorpion et la Grenouille
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Scorpion et la Grenouille est une fable dans laquelle un scorpion demande à une grenouille de le transporter sur l'autre rive d'une rivière. D'abord effrayée par son aiguillon venimeux, la grenouille accepte cependant, puisque la piquer les conduirait tous deux à leur perte. Au milieu de la rivière, pourtant, le scorpion la pique mortellement. Comme la grenouille demande au scorpion la raison de son geste, ce dernier répond que c'est dans sa nature. La fable illustre le fait que certains comportements sont irrépressibles, indépendamment des conséquences. Il existe des variantes avec un fermier, une tortue, un kangourou ou un renard au lieu de la grenouille, et un serpent à la place du scorpion. Origine[modifier | modifier le code] L'origine et l'auteur de cette fable sont inconnus. Références dans la culture[modifier | modifier le code] La fable est citée dans plusieurs œuvres cinématographiques comme : Portail des contes et fables
by quenelius Apr 2