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Altermondialisme

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Slogans altermondialistes lors de la manifestation au Havre contre le sommet du G8 2011 à Deauville. Les mouvements altermondialistes regroupent divers acteurs qui, opposés à ce qu'ils appellent le « mondialisme néolibéral », jugé injuste et dangereux, revendiquent la mise en place d'une autre mondialisation. Leur diversité incite à parler davantage de mouvance que de mouvement au singulier. L'altermondialisme met en avant des valeurs comme la démocratie, la « justice économique et sociale », la protection de l'environnement et les droits humains. Hétérogène[1], le mouvement oscille entre un réformisme (par exemple à travers la revendication d'une Taxe Tobin[2] proposée par Attac) et un radicalisme[3], mais se rassemble autour du slogan « Un autre monde est possible » ou plus récemment, « D'autres mondes sont possibles »[4]. Historique et structure[modifier | modifier le code] Composition[modifier | modifier le code]

Bernard Charbonneau Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Toute son œuvre est marquée par l'idée que « le lien qui attache l'individu à la société est tellement puissant que, même dans la soi-disant “société des individus”, ces derniers sont si peu capables de prendre leurs distances avec les entraînements collectifs que, spontanément, ils consentent à l'anéantissement de ce à quoi ils tiennent le plus : la liberté. »[1] Durant les années 1930, il dénonce la dictature de l'économie et du développement[2] et s'impose comme pionnier de l'écologie politique [3]. Se méfiant toutefois de l'écologie partidaire, il propose de concevoir une forme d'organisation de la société, radicalement différente des idéologies du XXe siècle, solidement ancrée sur l'expérience personnelle. Bernard Charbonneau est par ailleurs le père de Simon Charbonneau, universitaire, spécialiste de l'environnement[4] et militant associatif. Biographie[modifier | modifier le code] Engagement[modifier | modifier le code]

Commerce équitable Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le commerce équitable est un système d'échange dont l'objectif est de parvenir à une plus grande équité dans le commerce conventionnel[1]. Sa démarche consiste à utiliser le commerce comme un levier de développement et de réduction des inégalités, en veillant à la juste rétribution des producteurs. À cette perspective économique s'ajoutent des préoccupations éthiques, sociales et environnementales qui ne font pas toujours l'unanimité[2], ne nécessitant pas l'intermédiaire des États et la modification des législations nationales. En 2009, les ventes de produits certifiés équitables étaient estimées à plus 3,4 milliards d'euros[3]. Définitions et historique[modifier | modifier le code] Le terme "commerce équitable" apparaît dans la sphère publique en 1989, lorsque les dirigeants de la coopérative Andines, l'enregistrèrent comme marque auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI), mais sans usage exclusif.

Mélenchon peut-il faire perdre Hollande ? De l’Ecossaise à monsieur Abdu... Votre analyse, bien que succincte est tout à fait réelle.Le PS est aujourd’hui un bon parti de droite, fidèle toutou de l’UMP. Lorsqu’on voit que la CFDT (syndicat « apolitique » comme le veut la définiition d’un syndicat, support « ouvrier » du PS, et son patron, monsieur Schrek, signer les accords les plus réactionnaires, on se demande encore comment il peut avoir encore des « adhérents »... Le but n’est pas de faire perdre monsieur Hollande. Le but est de le ramener, par un pourcentage de voix important pour le Front de Gauche, (mauvaise appellation selon moi, car les plus vils ont rapproché LFG du FN à cause du mot « FRONT, le traitant alors d’extrémiste alors que c’est un parti foncièrement REPUBLICAIN), dans le droit chemin de la gauche. SI monsieur Mélenchon obtient un score de 10 ou 12%, monsieur Hollande le suppliera à deux genoux à terre, de lui »donner« les voix de ses électeurs, ce que n’avait pas fait Arlette en temps utile...

Luddisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation figurée du chef des luddites (mai 1812). Le luddisme est, selon l'expression de l'historien Edward P. Thompson, un « conflit industriel violent »[1] qui a opposé dans les années 1811-1812 des artisans – tondeurs et tricoteurs sur métiers à bras du West Riding, du Lancashire du sud et d'une partie du Leicestershire et du Derbyshire – aux employeurs et manufacturiers qui favorisaient l'emploi de machines (métiers à tisser notamment) dans le travail de la laine et du coton[2]. Le mot[modifier | modifier le code] Le terme trouve son origine dans le nom d'un ouvrier anglais, John ou Ned Ludd (parfois appelé « Captain Ludd », « King Ludd » ou « General Ludd »), qui aurait détruit deux métiers à tisser en 1780. Le terme « luddisme » est parfois utilisé pour désigner ceux qui s'opposent aux nouvelles technologies ou critiquent celles-ci (on parle même de « néo-luddisme »). Origine du mouvement[modifier | modifier le code] ↑ Edward P.

Infographie : Achetez malin, achetez local | Dilengo - Le blog C’est un fait, effectuer ses achats auprès de commerces locaux stimule l’économie dans sa globalité. Selon une étude effectuée par Sage (société éditrice du logiciel spécialisé dans la gestion d’entreprises) sur la ville de San Francisco, si seulement 10% des dépenses annuelles effectuées dans les grandes enseignes étaient dépensés dans des commerces locaux, cela générerait 192 millions de dollars au sein de l’activité économique locale, ce qui aurait pour effet la création de près de 1.300 nouveaux emplois. L’infographie ci-dessous vous présente un comparatif entre le commerce local et les grandes enseignes, en terme d’impact sur le dynamisme économique. Pour résumer, dépenser dans des boutiques locales au lieu des grandes enseignes a pour effet de renforcer le tissu économique local et de créer des emplois. Consommez local !

Climato-scepticisme : Galilée convoqué devant le Saint-Office ? Les scientifiques climato-sceptiques seront-ils contraints, comme Galilée en 1633, d’abjurer à genoux la formule prévue par le Saint-Office ? Devront-ils faire eux aussi leur profession de Foi et déclarer sur les Saints-Evangiles du « réchauffisme » qu’ils jurent qu’ils tiennent, et tiendront toujours pour vrai, avec l’aide du dieu écolomaniaque, tout ce que la Sainte Eglise affirme, présente et enseigne ? Décidément, l’écologie est une chose trop sérieuse* pour la confier aux seuls écologistes surtout s’ils sont climatologues… Au nombre des « scientifiques compétents en sciences du climat » (pour reprendre les termes consacrés) signataires de l’appel initié par la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte, citons les plus médiatisés, le climatologue Hervé Le Treut et le climatologue et géochimiste Jean Jouzel. « Anti-sceptiques » virulents(1), Le Treut, Jouzel et Masson-Delmotte sont tous membres du Groupe International d’Experts Intergouvernemental (le fameux GIEC). Lire aussi :

Guy Debord Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Debord. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et contexte historique et culturel[modifier | modifier le code] Très tôt, Guy Debord perd son père. Le mouvement populaire est amené dans l’impasse de la Seconde Guerre mondiale, et, à ses 17 ans, tous les événements fondateurs de ce qu’il appellera La Société du spectacle sont en place : la généralisation de la technologie, l'espionnage généralisé, les camps, Hiroshima/Nagasaki, la collaboration de classe du PCF avec la bourgeoisie, l’affrontement « spectaculaire » Est/Ouest, et surtout la reconstruction à crédit de l’Europe. En 1951-1952, selon les propres mots de Debord, « jamais… le champ de bataille n'avait été aussi vide[5] ». D’autres, cependant, refusaient ce partage. Le mouvement lettriste[modifier | modifier le code] Les débuts de l'Internationale situationniste[modifier | modifier le code] Les années de réalisation.

économie circulaire Arnaud Montebourg Installation à qui appartiendra l'économie de demain? «Une économie contributive repose sur le développement des savoirs des individus, et le partage de ces savoirs est facilité par une propriété collective qui n’empêche pas sa circulation.»Ou comment penser l'après-demain quand l'économie sera pris d'assaut par le deep learning, en éliminant comptables, vendeurs, rédacteurs techniques, agents d'immeubles, etc... Posté un peu plutôt aujourd'hui sur Facebook par Alain Depocas, le lien vers cette réflexion de Bernard Stiegler m'interpèle. «Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif», dit Stiegler. L’économie contributive est fondée sur la recapacitation : elle augmente la capacité des gens plutôt qu’elle ne la diminue. Il y a donc une utopie qui peut répondre au modèle capitaliste? Pas que ce n'est pas le cas, le savoir fait parti du bien commun, en théorie, mais dans les détails il y a des zones très grises (notamment au niveau du droit d'auteur). Intéressant, non? Le deep learning se nourrit du «Big Data».

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