background preloader

Auschwitz à travers des témoignages- Odyssée : Histoire Géographie Éducation civique

Auschwitz à travers des témoignages- Odyssée : Histoire Géographie Éducation civique
Séquence inscrite dans le cadre du chapître sur la Seconde Guerre Mondiale lors de l’étude de l’Europe sous la domination nazie, lorsqu’on aborde la politique d’extermination. Des séquences vidéo prises sur le site.TV1 en recherchant le mot "auschwitz". 1er extrait : "L’arrivée à Auschwitz" : 7 mn 24 : Cet extrait du documentaire "Auschwitz, des mots pour le dire" présente les témoignages d’hommes et de femmes déportés au camp d’Auschwitz... 2nd extrait : "Vivre à Auschwitz, entre l’humiliation et la souffrance" : 7 mn 24 : Cet extrait du documentaire « Auschwitz, des mots pour le dire » présente les témoignages de femmes déportées au camp de concentration d’Auschwitz. 3ème extrait : "Vivre après Auschwitz : le difficile retour des déportés" : 6 mn 13 : Cet extrait du documentaire "Auschwitz, des mots pour le dire" présente les témoignages d’hommes et de femmes déportés au camp de concentration d’Auschwitz • Modalités • Objectifs Related:  Histoire Géographie

Les tranchées Les tranchées Le « système-tranchées » est une tranchée qui est parallèle à la ligne de défense adverse. Elle doit être étroite et profonde pour assurer une bonne protection. Par conséquent, les soldats se servaient de pelles pour s’enterrer. La stabilisation du front fut acquise grave au creusement d’un immense réseau de tranchées. Les leçons de cette supériorité défensive furent complètement tirées par les Allemands, qui s’employèrent à faire de leurs tranchées un lieu d’existence le moins inconfortable possible : utilisation du béton, creusement d’abris profonds, systèmes d’éclairage et de chauffage. Seul le renversement des conditions stratégiques en faveur des Alliés redonna, à partir de l’été 1918, une nouvelle efficacité aux opérations offensives ouvrant la voie à la défaite allemande.

Le Chambon-sur-Lignon en 1939-1945 L’histoire de la Montagne a une montagne toute particulière : le mont Lizieux (1388 mètres). Ce mont symbolise le pays. Il est au centre de la résistance spirituelle, notamment protestante, d’abord avec les Juifs puis avec les réfractaires du Service au Travail obligatoire qui font naître les maquis. I. Si nous lisons les archives du registre du conseil municipal du Mazet ou d’Araules, le mont Lizieux est d’abord une réserve de bois et de genêt dans une période de restrictions. Face au maréchal Pétain, le cultivateur de la Montagne n’est pas plus iconoclaste qu’un autre. Plusieurs centaines de Juifs résident sur la Montagne par différents moyens : hôtels, pensions de famille, homes d’enfants, pièces d’accueil chez le paysan. Premier élément : l’organisation du refuge, matériel, intellectuel et moral, passe par Le Chambon. Troisième élément : La cinquantaine de Juifs qui arrivent au pays du Lizieux semblent venir plutôt en 1943-1944. II.

Histoire ou mémoire Histoire ou mémoire ? Ce texte reproduit une intervention prononcée lors du colloque "Quelle histoire pour quelle mémoire?" qui s'est tenu à Chateauroux le 31 mars 2001. Puisqu’il m’appartient d’ouvrir cette journée consacrée aux rapports entre l’histoire et la mémoire, je dois d’abord m’expliquer sur le titre donné à mon intervention. Pourtant, cette identification de la mémoire collective et de l’histoire est une source d’interrogations philosophiques et épistémologiques majeures. Il semblerait que c’est le bon sens même qui parle quand nous lions intimement l’histoire et la mémoire. Ces rapprochements et cette identification ne résistent cependant pas à l’analyse. Histoire contre mémoire Il semble en effet que l’histoire soit d’abord de la mémoire, systématisée, bien rangée. On peut dire que la science historique se construit d’abord par une patiente déconstruction de la mémoire. 1. 2. 3. 4. Je sais bien que je dresse ici un portrait idéal de la science historique. Nora poursuit : 1.

Pierre Nora, "L’histoire, la mémoire et la loi en France (1990-2008)" XXIe Congrès international des sciences historiques, Amsterdam, 23 août 2010. Les rapports de l’histoire, de la mémoire et de la loi ont connu en France, depuis une vingtaine d’années, une intensité particulière. C’est elle que je voudrais ici mettre en relief, en en rappelant brièvement l’histoire, et les raisons. Cette histoire débute principalement en 1990 avec la loi Gayssot qui crée, à propos des crimes contre l’humanité, tels que les définit le tribunal de Nuremberg, un délit de « contestation » passible de sanctions pénales, délit qui, deux ans plus tard, va être élargi au crime de « génocide ». La promulgation de cette loi n’avait cependant pas à l’époque soulevé beaucoup de protestations, au contraire, de la part des historiens. Ce n’est qu’en 2005 que la communauté historienne s’est mobilisée, à la suite de deux phénomènes concomitants. C’est dans ce contexte que s’est opérée une réaction générale des historiens. Pierre Nora , président de Liberté pour l’Histoire

Berlin par HG Sempai · 2 mars 2015 une carte animée sur la crise de Berlin : Berlin.Une animation sur le blocus de Berlin ( Berlin_blocus – cette animation reprend l’animation précédente sans évoquer la construction du mur de Berlin).Une carte pour illustrer la partition de l’Allemagne à la fin de la Seconde Guerre mondiale : Une carte de Berlin pour illustrer la partition de la ville à la fin de la Seconde Guerre mondiale: un graphique montrant l’évolution des passages entre Berlin Est et Berlin Ouest entre 1950 et 1989: L’article de Wikipedia est très complet notamment en terme d’illustrationsLa ville de Berlin consacre une partie de son site au murLe Mémorial de Caen propose un mini-site très complet (notamment pour des élèves) Approche Multimedia Pour aller plus loin Un article de Liberation.fr évoquant les « tristes héritiers » du mur de BerlinUn article de Daniel Letouzey sur les nouveaux murs Articles similaires L'agglomération de Paris, une métropole mondiale 25 janvier 2015 Dans "Géographie"

Les débuts de la Guerre froide 1947 – 1962 | Cahiers d'histoire géo Au lendemain de la guerre, le monde est bipolaire : • EUA et URSS sont les seuls grands vainqueurs, et tous les autres pays sont affaiblis et ruinés, dépendants le plus souvent, déchirés parfois. • Les deux grands, que tout oppose maintenant, se retrouvent face à face, inquiets chacun de la montée en puissance de l’autre. • La guerre froide est donc un profond antagonisme E-W qui dure de 1947 à 1991et prend la forme d’un conflit permanent et systématique, sur le plan idéologique, politique, économique, culturel, militaire et spatial, mais qui ne conduit pas pour autant à un affrontement armé direct et généralisé des deux blocs. • Les deux adversaires vont recourir à tous les moyens de l’intimidation, de la propagande, de la subversion, voire de la guerre locale tout en s’abstenant d’en venir aux armes l’un contre l’autre ; la menace sur la paix est tout de même désormais permanente. Trois grandes lignes dans la politique de Staline : 1. faire oublier son alliance avec Hitler de 1939 à 1941

1914-1918 – La Grande Guerre à travers les arts Ce webdocumentaire a pour ambition de raconter la Grande guerre à travers l’expérience d’artistes qui l’ont vécue et les échos qu’ils lui ont donnés dans leurs œuvres. Il montre l’évolution du regard artistique sur cet événement depuis 1918 et permet d’en saisir le caractère traumatique pour les combattants et les sociétés concernées. Cinq grandes thématiques : «L’autre et l’ennemi», «Les tranchées », «Les femmes et les enfants», «Désobéissance et révolte», «La blessure», permettent de suivre le destin et le travail d’artistes profondément marqués par la guerre, qu’ils y aient participé en tant que créateurs (Georges Scott, Félix Vallonton…), en tant que soldats (Wilfred Owen, Ernst Jünger, Guillaume Apollinaire…), ou que, bien après, ils y aient trouvé une source d’inspiration majeure (Tardi, Stanley kubrick…) Le cinéma, la peinture, la littérature, la bande-dessinée et l'art de la propagande nourrissent le webdocumentaire. Découvrez le webdocumentaire

L'Antiquité en cartes animées - Vincent Boqueho raconte... l'Antiquité Je vous propose une incursion dans la Haute Antiquité, aux racines de l’Histoire, là où tout se met en place, là où émerge de par le monde le fil des civilisations qui se déroule jusqu’à aujourd’hui. La Haute Antiquité, c’est aussi 2800 ans d’Histoire, de 3300 à 525 avant J.C. : c’est-à-dire une durée plus longue que celle qui nous sépare de ces époques reculées. Lorsque le pharaon Psammétique III est détrôné par le Perse Cambyse II, les grandes pyramides de Gizeh sont déjà dressées depuis plus de 2000 ans : tout autant qu’aujourd’hui elles semblent issues du fond des âges, comme érigées par les dieux. Car la Haute Antiquité, c’est avant tout l’éclat de deux civilisations d’une précocité remarquable, héritières du Croissant Fertile : la Mésopotamie et l’Égypte. La haute Antiquité en 36 épisodes Notre collaborateur Vincent Boqueho enseigne les sciences à Nice. Vous pouvez consulter librement chaque carte pendant la semaine qui suit sa parution. Herodote.net À la découverte de nos origines

Tokyo dans la mégalopole japonaise. Géographie 4ème Objectifs Le programme de 4e, applicable à partir de la rentrée 2011, s'intitule : "approches de la mondialisation". La séquence proposée se situe dans la partie I : "des échanges à la dimension du monde", thème 4 : "les lieux de commandement" ou "les entreprises transnationales". Rappel du programme "Connaissances : les grandes métropoles. Centres décisionnels majeurs, elles concentrent le pouvoir économique, financier, culturel, politique et technologique. Objectifs de contenus Notions : métropole mondiale, mégalopole, métropolisation, pouvoir de commandement Vocabulaire : mégapole, verticalité, terre-plein articifiel, conteneurisation, indice Nikkei... Intégration du thème transversal Histoire des arts Période historique : le XXème siècle et notre époque Grands domaines artistiques : "arts de l'espace" pour l'architecture et urbanisme « arts du visuel » : étude de bandes dessinées Thématique : « arts, créations, cultures» L'étude de cas au collège Objectifs méthodologiques Durée 3 heures

Related: