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Débat avec Pierre Rabhi, Samuel Rouvillois

Débat avec Pierre Rabhi, Samuel Rouvillois

►Arte, avec Raphaël Enthoven Pourquoi se cache-t-on pour faire l'amour ? Le plaisir vient-il de l'interdit, ou l'interdit s'explique-t-il par la structure même de ce plaisir ? Autrement dit, le sexe est-il d'abord cette transgression qui a besoin de perpétuer l'ordre qu'elle ébranle, ou cette douce sauvagerie à laquelle il faut poser des limites, pour faire mieux que les bêtes ? Invité : André Comte-Sponville André Comte-Sponville, né le 12 mars 1952 à Paris, est un philosophe français. Il est membre du Comité consultatif national d'éthique depuis mars 2008. Ancien élève de l'École normale supérieure de la rue d'Ulm (où il fut l'élève et l'ami de Louis Althusser) et agrégé de Philosophie, André Comte-Sponville a soutenu, en 1983, une thèse de doctorat en Philosophie intitulée "Éléments pour une sagesse matérialiste". A sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il enseigne durant un an la philosophie au lycée Adolphe Chérioux de Vitry-sur-Seine. Parmis ses œuvres : Bonus

En Equateur (1/3) : « Le peuple Kichwa de Sarayaku : le peuple du midi » Un documentaire d'Anne Pastor et Christine Diger Sarayaku est le nom d’un peuple et d’un territoire au cœur de l’Amazonie Equatorienne : 135.000 hectares de forêt primaire sous lesquels se cachent des milliers d’animaux, d’insectes et de plantes. Vu du ciel, ce manteau végétal paraît infini, opaque, presque anonyme, pourtant sous cet immense tapis de feuilles vertes, sur les rives du Bobonaza, quelques malocas (huttes de bois et de palmes) rappellent la présence des hommes qui depuis le 15e siècle ont colonisé ce territoire. Dépositaires de savoirs ancestraux, ils ont leur langue, leur mythe et leur vision du monde. Arrivée des chasseurs © c. diger Avec la participation de : Patrick Bard, écrivain journaliste, Sabine Bouchat, du projet d’éducation interculturelle Tayak wasi, José Gualinga, président de la communauté, Eriberto Gualinga, vidéaste et propriétaire de la fête de la Lance 2013, José Luis Gualinga, adjudant de la fête de la Lance 2013, Fabricio Guanam, Casa del Arbol à Quito,

Mastère spécialisé ® CELSA ENTREPRENDRE: Conversation stratégique du 4 avril 2016 – Strat Sherman & Patrick Bourdet Plus qu’à un cours, c’est à un parcours intérieur que nous ont invités Strat Sherman et son invité d’honneur, Patrick Bourdet. Lors qu’on rencontre Strat Sherman, on se rend vite compte que ce n’est pas un personnage et encore moins un « prof » ordinaire. Son cours n’était donc pas vraiment un cours, mais plutôt une invitation au parcours intérieur. Plutôt que de vous faire un compte-rendu de blog ordinaire, je préfère donc vous livre quelques réflexions de Strat, à méditer : « La pensée mature consiste à savoir ce qu’on ne sait pas et agir en acceptant d’être faible et incertain. » « On peut avoir des idées fausses sur soi-même mais pour moi ce qu’on est, est ce qu’on fait. » « On se trompe souvent sur soi même, il faut du temps pour se découvrir. » « Le plus court chemin vers soi passe par l’autre. Mais Strat n’était pas tout seul. Mais ce qui nous a sans doute le plus impressionné, c’est la sagesse à laquelle il est parvenu tout en s’aidant de la gestalt thérapie. Marie-Laure Théodule

Interview KTO V.I.P. Le désir ►Débat La santé du dirigeant, un capital pour réussir Ecrire à Compte-Sponville Posez vos questions à André Comte-Sponville par e-mail (a.c-s@orange.fr). S'il s'agit de questions générales, il y répondra volontiers ici même. Si vous ne souhaitez pas que votre nom figure sur ce site, merci de l'indiquer expressément. Monsieur Comte-Sponville, C'est à l'auteur de "L'esprit de l'athéisme" que je m'adresse pour lui demander ce qu'il pense de la position de Michel Benoît sur la question de la preuve de l'existence de Dieu. Ce plan d'organisation, tous les astrophysiciens sont contraints d'en constater à la fois l'existence et l'inimaginable précision. Les philosophes l'appellent une pensée directrice. Les religieux l'appellent "Dieu." Vous parlez, quant à vous, de "dessein intelligent" quand vous résumez et contestez, dans votre livre, l'argument "physico-théologique" auquel me semble se rattacher la position de Michel Benoît qui est cependant plus nuancée et plus complexe (plus convaincante aussi, peut-être?) Croyez(?) Pierre Debray. Réponse d'André Comte-Sponville Stéphane

Interview La Revue-Médias « Je n’aime pas mon époque. Pourquoi m’aimerait-elle ? » André Comte-Sponville n’a jamais été un nouveau philosophe. On pourrait même dire qu’il philosophe à l’ancienne. Vous êtes un philosophe médiatique. Quand vous dites « les gens vous connaissent », c’est la version gentille de la chose : cela peut vouloir dire que je suis un philosophe connu. Ce qui me fait fantasmer - même si c’est évidemment absurde -, c’est ce qu’auraient pensé de mes livres Aristote, Montaigne ou Pascal, ou ce qu’on en dira dans deux ou trois siècles. On vous voit moins à la télé. On m’y invite de moins en moins... Avez-vous été blessé par certaines critiques vous réduisant à un philosophe « populaire » ? Vous connaissez la formule de Diderot : « Hâtons-nous de rendre la philosophie populaire ! Avant « Le Petit Traité des grandes vertus », j’avais publié trois livres, qui ont eu un succès d’estime. Au fond, il n’est pas étonnant que ces journalistes, qui aiment ce que je n’aime pas, n’aiment pas ce que je fais.

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