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Pourquoi surveiller son langage ?

Pourquoi surveiller son langage ?
Saviez-vous que les mots que vous utilisez peuvent déterminer vos humeurs, vos processus de pensée, vos opinions et même vos comportements et vos émotions? Le psychologue américain John Bargh a mené une expérience démontrant que des individus exposés à un ensemble de mots exprimant la vieillesse étaient sortis de la salle d'expérimentation totalement ralentis, y compris dans leur démarche. Avez-vous remarqué que les individus souvent dans la plainte utilisent un vocabulaire qui traduit leurs doutes, leur insécurité et leurs peurs ? A l'inverse, les individus à l'aise dans leurs capacités parlent plus souvent de leurs réussites que de leurs échecs et partagent aisément leurs connaissances. Il en va de même dans notre façon de nous parler à nous-même. Avec l'espoir, dans les entreprises aussi, de transformer le langage en vigueur et de donner sa chance au fameux quotient émotionnel dont on vante désormais le mérite. Related:  Sciences de Gestion

L'open space rend les salariés moins performants, même les plus jeunes La mise en accusation de l’open space (bureaux ouverts) se poursuit. «Alors que l’open space a été à l’origine conçu par une équipe de Hambourg dans les années 90 pour faciliter la communication et la circulation d’idées, un nombre croissant de preuves suggère qu’il sape ce qu’il était précisément censé améliorer», écrit Maria Konnikova dans le New Yorker. Les études sur la santé, le bien-être, la créativité et la productivité au travail et en open space sont innombrables, et le psychologue Matthew Davis a compilé en 2011 les résultats de plus de cent d’entre elles. Sur ces différents plans, l’organisation ouverte semble ne pas tenir ses promesses. En comparaison avec les autres salariés, ceux qui évoluent en open space ont un niveau de stress plus élevé, et de moindres niveaux de concentration et de motivation. C’est tout simplement le bruit, écrit l’auteur, qui serait la cause principale de ces problèmes.

Salaire : les villes françaises où les femmes sont le plus discriminées Les inégalités de salaire entre femmes et hommes sont très importantes en France. Les écarts sont plus ou moins grands en fonction de l’âge et de la catégorie socioprofessionnelle… mais aussi du lieu géographique. Voici, parmi les plus grandes aires urbaines de l’Hexagone, les villes les plus discriminantes. Connue pour sa centrale nucléaire, la ville de Fessenheim, dans le Haut-Rhin, détient aussi le triste record des inégalités de salaire net horaire entre les femmes et les hommes : 12 euros contre 17,68 euros, selon les données du rapport Salaire net horaire moyen en 2014 de l’Insee. Aucune agglomération ne respecte la parité des salaires. Au-delà du critère géographique, l’ampleur de ces discriminations salariales varie beaucoup selon la catégorie socioprofessionnelle et l’âge. >> Notre service : Évaluez votre salaire, notre simulateur calcule si vous êtes bien payé >> Notre service : Vous cherchez un emploi ou voulez en changer ?

En Aquitaine, le télétravail plébiscité La région Aquitaine a lancé en avril une grande consultation auprès des Aquitains portant sur le télétravail. L’enquête, qui sera bouclée dans quelques jours, a déjà obtenu près de 2.500 réponses: 60% des répondants ont entre 30 et 50 ans, un peu plus de 40% sont des salariés du secteur privé, 35% des salariés du secteur public et 20% des indépendants. Plus de 60% des répondants utilisent leur voiture. 20Minutes dévoile les grandes lignes de cette consultation. 80% des Aquitains favorables au télétravail. Développer les espaces de travail partagés. A la recherche d’endroits calmes et conviviaux. Réduire les temps de trajet domicile-travail. Dans les espaces péri-urbains ou ruraux, comme Bedous ou Mimizan, l’enjeu est différent. Un frein: la crainte d’être isolé. Un salarié sur deux «télétravaillable.» >>> Vous pouvez encore répondre à l'enquête sur le télétravail de la région Aquitaine, qui est toujours en ligne Mickaël Bosredon Plus d'informations sur ce sujet en vidéo

L'absentéisme coûterait au moins 45 milliards d'euros aux entreprises françaises 16,7. C'est le nombre moyen de jours d'absence d'un salarié en France en 2014, selon le 7e baromètre de l'absentéisme* publié par Alma Consulting Group en partenariat avec Goodwill-Management, le 8 septembre 2015. Frais de remplacement du salarié, maintien de salaire, perte de valeur ajoutée... Le coût direct de l'absentéisme représenterait ainsi environ 5,8% de la masse salariale, soit au moins 45 milliards d'euros pour les entreprises du secteur privé. Et cela ne s'arrête pas là. L'étude pointe d'autres dépenses indirectes telles que le montant des cotisations AT/MP ou encore le coût de la prévoyance santé, qui feraient grimper l'addition à 60 milliards d'euros au total. "Pour donner un ordre de grandeur, cela équivaudrait à 2,84 % de notre PIB, comparent les auteurs du baromètre. Pour certaines entreprises, le phénomène pourrait tout de même représenter jusqu'à 10% du chiffre d'affaires, évalue l'étude. Source : baromètre de l'absentéisme - Alma Consulting Group 2015 *Méthodologie

Accenture informe et fédère ses équipes avec un jeu vidéo Nokia vise la totalité d'Alcatel-Lucent L'équipementier télécoms finlandais reconnaît négocier avec son concurrent franco-américain... Le buzz des Etats-Unis : une vidéo montre un policier tirant... Une vidéo divulguée par les autorités montre un shérif adjoint réserviste tirant sur un... Delhi renonce à construire les Rafale en Inde ! Tout achat supplémentaire de Rafale, au-delà des 36 commandés ce vendredi, se fera de... Fonctionnaires : l’indemnité exceptionnelle de compensation de... Marylise Lebranchu a annoncé ce lundi aux syndicats la suppression progressive de...

Numérique : encore trop de stéréotypes ? Des jeux vidéo récents ont été très critiqués pour avoir représenté des personnages féminins de manière caricaturale. Chez les développeurs informatiques, les femmes sont encore trop peu présentes. La faute aux clichés sur toute une série de métiers du secteur ? La cause féminine avance lentement dans beaucoup de secteurs du numérique. « Compliqué de motiver les filles sur ce sujet » Dans le secteur du développement informatique, les femmes sont largement minoritaires. Gwenda Frocrain était auparavant projectionniste et Anna Mimouni travaille en parallèle en tant que graphiste. Anna Mimouni décrit des camarades étudiantes arrivées de l’hôtellerie, des beaux-arts ou encore de de la gendarmerie. « Des femmes qui étaient en reconversion professionnelle, qui avaient déjà eu un premier métier et qui changeaient radicalement ». Écouter Pixel sexisme numérique - 42 constats Pixel sexisme numérique - 42 initiative OK « Le problème ce n’est pas de faire venir des femmes, c’est de les faire rester »

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