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Ivre, Hadopi adopte le label PUR foutage de gueule

Ivre, Hadopi adopte le label PUR foutage de gueule
Disclaimer : cet article n’a pas grand chose à voir avec mes posts habituels. Mais comme en même temps, c’est mon blog, je fais bien ce que je veux. Disclaimer 2 : Si toi pressé, toi aller direct au panneau “LE TEST. “ Il est en rouge parce que je suis sympa. Alors voilà. Ouais, si. Donc, ni une ni deux toussa, voilà mon extatique personne -sans déconner j’étais tellement de bonne humeur je pense qu’on avait mis un truc dans mon café- à la recherche des meilleurs moyens de téléchargement légaux. Et donc, tu sais ce qu’on trouve quand on cherche “Téléchargement légal” dans Google ? Bingo. Donc PUR, c’est un label qui n’a rien à voir avec une quelconque idée de gaz dans les douches, mais qui est censé valider, attends je te colle le truc “Les plateformes labellisées par l’Hadopi proposent une offre dans le respect des droits des créateurs.” Je vais donc essayer de résumer rapido mon test de chacun des 20 sites labellisés par Hadopi. 1 – FUNANIM ( C’est quoi ? Le test

Libérez Justin Bieber Aux Etats-Unis, le streaming est menacé par le projet de loi S.978 qui veut faire du streaming un crime. Et Justin Bieber n'entend pas se laisser faire, lui qui a bâti son succès avec des vidéos publiées sur Internet. C’est une première. Justin Bieber sort un album de Noël se rebelle. La star de 17 ans s’est emportée récemment contre une proposition de loi, intégrée au Protect-IP Act. Cinq ans de prison pour du streaming Le projet de loi S.978 est d’une redoutable simplicité. Le chanteur s’est en effet fait connaître en mettant en ligne des vidéos dans lesquels il interprète les tubes de ses idoles. Les souffrances du jeune Bieber Il est donc possible que le jeune Bieber se retrouve en prison. En page d’accueil, on retrouve la fameuse intervention radiophonique, durant laquelle la célèbre frange de Justin laisse apparaître une mèche rebelle [en anglais]. Justin Bieber speaks out against S. 978 by Fightforthefuture

Pourquoi les gens téléchargent (et ce qu'Aurélie Filippetti devrait comprendre de la culture sur Internet) Redlist, site belge d'agrégateurs de liens de séries, films, et jeux vidéo en «direct download» va fermer. Ou plus exactement il va arrêter de fournir des contenus illégaux. Le webmaster a fait l'objet d'une perquisition par la police du commerce. «Ça sert à rien de m'opposer à une décision de justice, je suis quand même pas fou», a-t-il expliqué sur son site. Le coeur de ses utilisateurs saigne; ils ont laissé des centaines de commentaires. Tous les commentaires montrent que le Web est loin de tuer la culture, simplement que l'accès à celle-ci est trop cher, que le téléchargement permet aux internautes de voir des films qui leur donnent ensuite envie d'aller au cinéma, d'acheter des DVD, que c'est une invitation à encore plus de culture, et payante. Surtout, Olivier Ertzscheid insiste sur le fait que ce type de sites permet de mêler les nouveautés culturelles et des oeuvres plus anciennes: «Le web ne tuera pas la culture. Charlotte Pudlowski Partagez cet article

Bac Nord de Marseille : presque tous les policiers réintégrés Le Parisien | L'ensemble des policiers de la brigade anti-criminalité (Bac) de Marseille accusés d'avoir eu des comportements de «ripoux» ont été réintégrés. L'information a été révélée par le site Mediapart mardi. Un seul d'entre eux n'aurait pas pu reprendre son service : l'homme qui a tenté de prévenir sa hiérarchie des dérives commises par ses anciens collègues. «Les 17 policiers de la BAC Nord mis en examen (...) ont tous été autorisés à reprendre leur travail, indique Mediapart. Même les sept policiers placés en détention provisoire pendant plus de deux mois pourront donc prochainement exercer sur la voie publique.» Interrogé par Mediapart, l'homme qui n'a pas pu réintégrer la police confie son amertume. Un système «institutionnalisé» de racket Marseille a été secoué par le scandale de la Bac Nord à l'automne dernier. L'affaire a vu le jour en novembre 2011, quand la justice a été alertée par le préfet de police de l'époque, Alain Gardère. VIDEO.

Oui à la légalisation des échanges non-marchands ! Le collectif SavoirsCom1 se réjouit du retour du débat public lié à la soutien à la création et au partage non-marchand. Nous tenons à saluer de récentes prises de position de parlementaires en faveur de la légalisation des échanges non-marchands. Notre Manifeste indique : Le partage non marchand d’œuvres protégées doit être possible, et des mécanismes de rémunération alternatifs pour les auteurs doivent être explorés. De la même manière, la possibilité d’effectuer des usages non commerciaux des œuvres est essentielle pour le développement personnel des individus. La situation de l’auteur doit être prise en compte lors de la mise en place de nouvelles exceptions ou limitations au droit d’auteur, ou lors de la révision des anciennes. Aussi nous notons avec intérêt la proposition de loi de Michel Zumkeller, député UDI du Territoire-de-Belfort « Une licence globale à paliers est versée par les titulaires d’un accès Internet. Sur ces fondements : Sharing is caring.

Qui gouvernera Internet ?, par Dan Schiller Habituellement circonscrite aux contrats commerciaux entre opérateurs, la géopolitique d’Internet s’est récemment étalée au grand jour. Du 3 au 14 décembre 2012, les cent quatre-vingt-treize Etats membres de l’Union internationale des télécommunications (UIT, une agence affiliée à l’Organisation des Nations unies) s’étaient donné rendez-vous à Dubaï, aux Emirats arabes unis, pour la douzième conférence mondiale sur les télécommunications internationales. Une rencontre où les diplomates, abreuvés de conseils par les industriels du secteur, forgent des accords censés faciliter les communications par câble et par satellite. Longues et ennuyeuses, ces réunions sont cependant cruciales en raison du rôle déterminant des réseaux dans le fonctionnement quotidien de l’économie mondiale. Les Etats-Unis répondirent par un « non » ferme et massif, en vertu de quoi le nouveau traité renonça à conférer le moindre rôle à l’UIT dans ce qu’on appelle la « gouvernance mondiale d’Internet ».

Video business de la sécurité routière Tout ce que vous devez savoir sur (pour accéder directement à la Consultation Nationale sur la Sécurité Routière, cliquez ici ) Comme beaucoup de conducteurs, vous vous êtes peut-être déjà fait flasher par un radar dans un endroit qui, de toute évidence, n'avait rien de dangereux. Peut-être même avez-vous fait l'expérience d'un excès de zèle manifeste des forces de l'ordre, sans que vous en compreniez vraiment la raison. La communication des pouvoirs publics affirme que ce système ultra-répressif permet de faire baisser la mortalité routière. Mais qu’en est-il vraimentlorsqu’on regarde les chiffres ? L’année dernière, 15,5 millions d'avis de contravention ont été dressés (sans compter le stationnement], le bilan est de plus en plus lourd pour ceux qui prennent la route souvent. Face à une répression de plus en plus étouffante, le mécontentement grandit et la résistance s'organise du côté des usagers comme des policiers. Qui sont donc ces mécontents de la répression routière? 3 avril 2012.

une copy party à Paris Dans l’est parisien, le long d’une voie de chemin de fer, dans un local SNCF désaffecté transformé en « espace de travail artistique temporaire » - un squat toléré par les autorités. En cette journée ensoleillée de juin, , un groupe informel de militants de l’Internet libre a investi le lieu pour organiser une « Copy Party » - un événement banal dans de nombreuses villes occidentales, mais assez rare à Paris. Les initiés sont au courant depuis longtemps, les invités du deuxième cercle ont été prévenus la veille par SMS. L’entrée est libre et gratuite, à condition de ne pas poser trop de questions. Pour bien profiter de la fête, le visiteur doit venir avec son propre ordinateur. Au fond de la salle, un autre groupe anime la Copy Party proprement dite. Dans un coin de la salle, un jeune homme est venu présenter une nouvelle action militante, « paris-sous-surveillance.net », qui a lieu à la fois dans la rue et sur Internet. Cette entrée a été publiée dans Non classé.

Congress sends Google a list of questions about privacy and Glass Today a bipartisan Congressional privacy caucus sent Google a letter with eight questions regarding a topic that's caused a lot of speculation: how will privacy be protected by Google Glass? The headsets can take photos and video in a more discreet manner than raising a smartphone or a camera and pointing it in the direction of a subject. Advances in facial recognition technology, as well as the wealth of data that Google has collected through increasingly consolidated user accounts, have raised the possibility that a stranger could see you on the street and access considerable data about you. Co-Chairman of the privacy caucus Joe Barton (R-TX) and seven other members of the caucus signed the letter, which said, “we are uncertain of Google's plans to incorporate privacy protections into the device.” AllThingsD reported that Glass product director Steve Lee addressed some of these privacy concerns informally at a fireside chat with reporters and developers today in San Francisco.

Sensibilisation ou propagande ? Quand Hadopi souhaite s'incruster dans nos écoles On nous a fait parvenir cette lettre d’un responsable d’Hadopi qui ne perd pas de temps et souhaite s’inviter dans l’Éducation nationale en animant des ateliers de « sensibilisation » en direction des professeurs et des élèves. Pour ce faire (et c’est malin), on contacte les personnes en charge de la vie lycéenne dans les rectorats. Nous nous sommes dits que cela pouvait vous intéresser… N’hésitez pas à manifester votre approbation ou réprobation dans les commentaires ;) Lettre d’Hadopi Madame la déléguée, Hier, mercredi 5 juin, l’Assemblée nationale a adopté définitivement le projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République. Ce texte est porteur d’un formidable élan pour le numérique à l’école. Il précise également que la prise en compte du numérique sera inscrite dans les plans académiques et nationaux de formation des enseignants et des corps d’inspection et d’encadrement. Hadopi 4 rue du Texel 75014 Paris

Five ways Congress should improve the copyright system In a Wednesday speech, Rep. Bob Goodlatte (R-VA) announced plans for a "comprehensive review" of copyright law. The announcement is significant because Goodlatte chairs the House Judiciary Committee, which has jurisdiction over copyright issues. "I am announcing today that the House Judiciary Committee will hold a comprehensive series of hearings on US copyright law in the months ahead," Goodlatte said. Goodlatte cited recent comments by Register of Copyrights Maria Pallante as an inspiration for his initiative. So here are five suggestions for improving copyright law that Congress ought to consider. Bring proportionality back to copyright penalties Over the last three decades, Congress has repeatedly increased the penalties for copyright infringement. These disproportionate penalties have had devastating consequences for both individuals and businesses. And the threat of astronomical damages has been a potent weapon in the hands of copyright trolls like Prenda Law.

Le partage est un droit culturel, pas un échec du marché Une série sans fin de projets législatifs, de politiques contractuelles et d’accords commerciaux ou traités continue à essayer d’éradiquer ou d’empêcher le partage non marchand d’œuvres numériques. De nouvelles stratégies misent sur les incitations et les menaces pour que les intermédiaires techniques fassent la police de l’internet et protègent les modèles commerciaux fondés sur la rareté de la concurrence de l’abondance. Tout serait donc inchangé ? Et bien non. Il y a des indications importantes que les citoyens et les organisations défendant les droits dans l’univers numérique ont dépassé « le débat sur le piratage ». Pendant de nombreuses années, ils ont bien souligné les dommages causés par la guerre contre le piratage à l’internet, aux libertés et aux droits fondamentaux. Cette approche défensive et compensatoire n’a jamais été la seule proposée. Le partage n’est pas un problème, mais une condition du développement humain culturel. This post is also available in: English

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