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Astuces visuelles pour pouvoir suivre les cours

Astuces visuelles pour pouvoir suivre les cours
Dans le cadre scolaire, il est possible d'aider les enfants qui présentent des troubles oculomoteurs en mettant en place quelques astuces simples. Ces astuces permettent à l'enfant d'être plus efficace dans la tâche qu'il réalise. Ces "béquilles" sont indispensables pour que l'enfant puisse accéder visuellement à l'écrit et sont à apporter pendant la durée de la rééducation orthoptique. Privilégier une place face au tableau ou avec le tableau à droite/gauche (en fonction de l’œil directeur) Proposer un matériel peu chargé en informations visuelles, des textes aérés (double interligne) Eviter les présentations sous forme de tableau Utiliser des photocopies de qualité et des caractères à haute lisibilité (ex. L'orthoptiste traitant se tiendra très volontiers à disposition des enseignants, afin de discuter ensemble des aménagements personnels pour chaque enfant.

Pourquoi les Chinois n'ont pas le même cerveau Chaque langue se bâtit une représentation du monde à partir des termes qu'elle emploie pour désigner et écrire les objets du monde qui l'entoure. Nietzsche, qui avait déjà remarqué cette particularité, l'appelait le « pli langagier de la pensée ». Mais il la plaçait au niveau de la grammaire, alors qu'elle se situe plus profond, dans l'écriture et la lecture des mots. Le sinologue Léon Vandermeersch définit mieux ce qui est en jeu lorsqu'il dit : « La linguistique a montré que notre vision du monde est entièrement structurée par la langue dans laquelle nous l'interprétons (...) Le langage est une grille d'organisation du réel qu'il marque de son empreinte » . Prenons un exemple : VIVRE. Pour lire un idéogramme, le cerveau gauche est assez inopérant, parce qu'on ne peut pas épeler un idéogramme. Cette primauté du cerveau droit dans la lecture des idéogrammes explique sans doute l'aptitude de l'esprit chinois à

LES "DYS" : un site consacré aux troubles des apprentissages TÉMOIGNAGE d’une ENSEIGNANTE. Lausanne, le 17 février 2013. Dans ma pratique, j’ai eu la chance d’accompagner des enfants de différents âges, présentant des troubles praxiques. Je trouve que la problématique de la dyspraxie n’est pas facile à cerner. Dans le cas de la dyspraxie, pour moi, reviennent souvent les mêmes interrogations : Au moment de faire connaissance, la première chose qui me frappe est la difficulté d’organisation, et cela dès le vestiaire ; dans l’habillage pour les petits et dans l’organisation dans les affaires, cahiers, agendas, pour les plus grands. Puis vient l’aspect scolaire; je remarque souvent une grande lenteur dans l’organisation et l’exécution des tâches. L’enfant est aussi en difficulté d’imitation ; il semble comprendre ce que je lui dis, mais ne parvient pas à reproduire un mouvement, une position, un dessin. L’enfant semble perdu face à son travail, c’est comme s’il n’avait pas de repères; il ne sait pas par où commencer ni comment continuer. Irritation.

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