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Du droit à violer la vie privée des internautes au foyer

Du droit à violer la vie privée des internautes au foyer
Les sites web que vous visitez, les recherches que vous faites sur Google, une bonne partie de ce que vous partagez sur Facebook en particulier, et l’Internet en général, sont des données personnelles qui relèvent de votre vie privée. Pour autant, le Conseil de l’Union Européenne estime que cela relève de ce que vous faites dans votre « foyer », et qu’il n’y a donc pas matière à inclure vos activités en ligne et sur les réseaux sociaux dans le champ d’application de la « directive européenne sur la protection des données personnelles »… et donc d’exiger de Google, Facebook & Cie, tout comme aux entreprises de marketing direct, de respecter votre droit à la vie privée. La nouvelle ruée vers l'or (numérique) L’exploitation de nos données personnelles, considérées comme le “pétrole du numérique”, est l’un des principaux business modèle de l’économie numérique, eldorado financier que se disputent les géants du web, du tracking comportemental et de la publicité personnalisée.

Données personnelles : attention danger Nouvelle mise en demeure pour Google. Après la CNIL il y a quelques jours, c’est l’UFC Que Choisir qui vient de s’en prendre à son réseau social Google Plus, mais aussi à Facebook et à Twitter. L'association de défense des consommateurs dénonce les clauses de leurs contrats et ce que ces réseaux gratuits peuvent faire de nos données personnelles. Jeudi, après quelques mois d’enquête, l’UFC Que Choisir donnait 3 semaines à ces 3 réseaux sociaux pour réagir, avant d’aller en justice. Quand près de 32 millions de Français sont inscrits à un réseau social, les craintes et les plaintes des utilisateurs prennent de l’ampleur. Dans le même temps, les dysfonctionnements se multiplient. Sur la forme, l’UFC dénonce d'abord des contrats illisibles et excessivement longs, 65 pages pour Twitter. Contrats qui pourraient permettre de graves dérives, avec deux constats sur le fond. Contactés par le site PC Inpact, les représentants de Facebook et Google ont rejeté ces accusations.

Protéger son identité sur Internet : pourquoi et comment ? Qui a besoin de protéger son identité et ses données sur Internet ? Sébastien Gambs : Les journalistes d’investigation, les professions médicales et juridiques, les activistes... sont des exemples courants. Cependant, il n’y a pas que les professionnels ou les entreprises à être concernés. Sur Internet, le grand public peut vouloir se mettre à l’abri des exploitations commerciales ou frauduleuses de ses données personnelles et de son identité. Peut-on cacher facilement son identité sur Internet ? C’est difficile parce qu’on peut profiler un internaute de multiples façons. Ces méthodes d’identification ne requièrent pas de connaître directement l’identité de l’internaute mais permettent de pister ce navigateur particulier, et donc la personne derrière ce navigateur. Pour mieux protéger son identité, que faut-il faire ? Autant que possible, il ne faut pas dévoiler sa véritable identité - ce qui revient à porter un masque. Que peut-on attendre de l’initiative « do not track » ?

Neutralité des algorithmes et pertinence des profils sont dans un bateau. Deux vieilles questions déjà largement discutées et débattues notamment sur ce blog. Celle de la neutralité des algorithmes. Et celle de la pertinence des profils humains. Société du contrôle et #toussa. Mais en plein coeur de l'affaire #Prism (écoutes de la NSA, voir mon analyse ici) et au hasard de quelques autres lectures glanées sur le web, je voudrais rappeler l'intérêt de ces questions, et les remettre en perspective. Il est un fait établi que la neutralité des algorithmes est un pur #bullshit. Preuve en image ;-) Plus exactement, un algorithme (le programme et les formules logico-mathématiques qui le constituent) est neutre dans sa conception. Et de toute façon comme souvent rappelé ici ou là : "Quand nous consultons une page de résultat de Google ou de tout autre moteur utilisant un algorithme semblable, nous ne disposons pas simplement du résultat d'un croisement combinatoire binaire entre des pages répondant à la requête et d'autres n'y répondant pas ou moins (matching).

Comment délimiter ? La revue Réponses Photo vient de consacrer son nouveau hors-série à la question : Où s’arrête la photographie ? “Pourquoi faire une différence de nature entre un ‘dessin’ et une ‘photo’ si tous les deux naissent de l’imagination d’un graphiste devant son ordinateur ? Et ‘récupérer’ (‘voler’, pourrait-on dire) des images sur Internet, les fusionner, les retoucher pour construire un ‘travail photographique’, est-ce encore de la photographie ?” L’interrogation est alimentée par les transformations récentes de l’activité photographique, sous l’effet combiné du passage au numérique et de la généralisation d’Internet. La plupart sont des photographes “créateurs” qui exposent dans des galeries et vendent à des collectionneurs. Cédric Delsaux est passé par la publicité, d’abord comme concepteur-rédacteur, puis comme photographe free-lance, avant de développer une production plus personnelle désormais largement exposée.

Thomas Ostermeier über die Zukunft des Theaters Ein paar Narren im Dienst der Gesellschaft von Thomas Ostermeier 1. Juli 2013. Die westlichen sogenannten Demokratien eint eine simple Tatsache: Zur Aufrechterhaltung des Gemeinwesens erhebt jeder Staat Steuern. Dieser von der Gesellschaft abgeschöpfte Reichtum wird in demokratischen Institutionen verteilt – nach Maßgabe dessen, was diese für richtig und wichtig erachten. Natürlich braucht ein Wirtschaftsstandort Infrastruktur, um den Unternehmen die Möglichkeit zu geben, Profite zu machen. Das Verständnis dafür, wie eine bürgerliche Gesellschaft zu organisieren ist, kommt uns mehr und mehr abhanden. Utopien, gesellschaftlicher Reichtum und nüchterne Zahlen Tragischerweise war die alte westeuropäische Linke traditionell auch eher institutionsskeptisch, um nicht zu sagen staatsfeindlich. Von dieser Utopie sind wir meilenweit entfernt. Heute erscheint vielen neoliberalen Wortführern der Staat nur noch als Verhinderer wirtschaftlicher Prosperität. Champagnersaufende Subentionsschmarotzer?

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Nouveaux territoires de l’art, un atout pour innover (par Michel Duffour*) Dans ces espaces s’exprime une des tendances fortes de l’art actuel, le désir de faire de l’œuvre un lieu de prédilection de la rencontre entre les hommes. L’ appellation « nouveaux territoires de l’art » renvoie à des expériences qui ont un fonds commun. Mais ces trois mots, dont je me suis servi avec d’autres chercheurs et acteurs culturels pour nommer des lieux que nous estimions singuliers au regard des institutions existantes, ne sont pas une marque déposée. Qu’on leur préfère d’autres mots – fabriques, lieux alternatifs, espaces intermédiaires – peu importe, puisqu’il s’agit à chaque fois de donner à voir l’originalité et la pertinence d’actes artistiques cherchant à ouvrir des pistes jusqu’alors insuffisamment explorées. Des expériences novatrices Ces expériences ne sont pas sans passé. Il est primordial, dans un monde de plus en plus standardisé, de favoriser des espaces qui essaient « autre chose». Les rapports avec les populations La Revue du projet, n° 20, octobre 2012

references bibliographiques Cette bibliographie se présente comme complément méthodologique spécifique à la bibliographie générale (bibliothèque FORCOPAR) et aux bibliographies des modules 1, 5 et 6le tout constituant les références de base du Module 7. BEAUFILS M-L., JANVIER Y., LANDRIEU J., Aménager la ville demain : une action collective . Editions de l'Aube, harmonia mundi-diffusion livres, Saint-Etienne, 1999. BECHER Bernd et Hilla, Basic Forms , Schirmer/Mosel, Munich, 1999. BERGER John, MOHR Jean, Une autre façon de raconter , Collection « Voix », François Masspéro, Paris, 1981. CASSAIGNE Alain et Josyane, Crépuscule de l'industrialisme , Editions France Delory, Pris, 2000. CHARDÈS Mylène , La régénération des friches minières, La chance de réussite des sites déprécié s, Mémoire de DESS Structures Urbaines et Processus de Projet, Institut National des Sciences Appliquées de Strasbourg, 2005. COLLECTIF , Les Fabriques, lieux imprévus , Éditions de l'Imprimeur, Besançon, 2001. DATAR. KRUK CHARRIER M. SIEVERTS T.

Art et politique sous le regard des sciences sociales Les relations entre art et politique apparaissent comme un objet d’étude à la fois classique et encore peu exploré par les sciences sociales. Classique parce que, d’une part, l’artiste engagé a été une figure majeure de la vie politique du vingtième siècle ; et que, d’autre part, les politiques culturelles, dont l’institutionnalisation remonte au moins à plusieurs décennies (en particulier en France – Dubois, 1999 ; Urfalino, 2004 [1996]), sont depuis longtemps étudiées par la science politique et par l’analyse des politiques publiques, comme toutes les politiques sectorielles [1] Ainsi, les politiques culturelles font l’objet d’un... [1] . Pourtant, l’interaction entre art et politique est un champ encore largement en friche. Les deux questions qui viennent d’être évoquées sont traitées le plus souvent de manière isolée : les travaux se concentrent généralement soit sur l’engagement des artistes, soit sur les politiques culturelles.

Art et politique Si les années 1980 ont correspondu à un reflux du politique et, du même coup, à une mise en veilleuse des débats sur l’engagement de l’art qui avaient agité le xxe siècle, il n’en reste pas moins qu’on a peut-être été trop prompt à en proclamer la caducité. La réflexion théorique sur les rapports entre l’art et le politique, qui avait pu sembler tarie, se renouvelle depuis une décennie en tentant de dépasser l’aporie des conceptions fondées sur la notion de représentation aussi bien que celles qui reposent sur l’homologie entre transgression formelle et révolution politique. Le présent ouvrage entend cerner ce point de tangence de l’art et du politique. Réunissant des collaborateurs appartenant à plusieurs disciplines, il présente une série d’aperçus sur la manière dont le théâtre, le cinéma, la littérature ainsi que les arts visuels et performatifs négocient, à la fin du xxe siècle, leur insertion dans le champ politique. Ce qu’on en dit...

De l’art populaire à l’émancipation politique Recensé : Jacques Rancière, Aisthesis. Scènes du régime esthétique de l’art, Paris, éditions Galilée, 328 p., 28 €. Comment une démocratie peut-elle assurer un accès égal à la culture et permettre une plus grande émancipation de la parole publique ? Quels chemins cette démocratie du langage doit-elle emprunter pour favoriser l’émergence d’une parole singulière, à l’école ou dans le monde du travail, et d’une parole collective sur le terrain des luttes sociales ? C’est pour répondre à ces questions que Jacques Rancière déplace depuis une trentaine d’années les frontières qui séparent traditionnellement le politique du non-politique et délimitent la sphère du pouvoir et de la décision. Aux yeux du philosophe, il s’agit de se méfier des antithèses frappantes et de défaire les oppositions traditionnelles sur lesquelles les démonstrations se construisent ordinairement. De l’éthique à l’esthétique Rancière étudie de près ce paradoxe originel du régime esthétique. Une soirée avec Mallarmé

'La ville tournée vers l'espace public. Prix européen de l'espace public urbain 2012' Le Prix européen de l’espace public urbain a été créé en 2000 à l’initiative du Centre de Cultura Contemporània de Barcelona (CCCB). Il est attribué tous les deux ans suite à un concours organisé par le CCCB en collaboration avec six institutions européennes : The Architecture Foundation (Londres), Cité de l’architecture & du patrimoine (Paris), Architekturzentrum Wien (Autriche) Nederlands Architectuur Instituut (Rotterdam), Museum of Finnish Architecture (Helsinki) et le Deutsches Architekturmuseum (Francfort). Ce prix a pour objectif de souligner l’importance de l’espace public dans la vie urbaine. La ville contemporaine, associée dès l’origine aux idées d’égalité, de pluralisme et de liberté, fait face aujourd’hui à de nouveaux défis issus de sa croissance et d’une plus grande complexité culturelle et sociale. Les lauréats et mentionnés du Prix européen de l’espace public urbain 1. 2. 3. Réaménagement de l'Exhibition Road, Londres (Royaume-Uni), 2011Informations pratiques :

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