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Les meilleures sources statistiques du marketing mobile

Les meilleures sources statistiques du marketing mobile
Se lancer dans le marketing mobile exige de s’appuyer non pas sur des convictions personnelles mais plutôt sur des études chiffrées permettant de vraiment comprendre l’écosystème mobile et surtout de rentabiliser ses investissements. De nombreuses études et sources d’informations existent. Je vous propose de découvrir une sélection à travers ce billet. Disponible en 23 langues, Google met à disposition en ligne les résultats d’une enquête effectuée régulièrement depuis 2011. La version française est accessible à cette adresse : Cette source propose le niveau d’adoption et d’utilisation des smartphones dans 40 pays du monde. Il est possible de créer des graphiques personnalisés afin de mieux guider sa stratégie mobile. Par ailleurs, Google propose l’ensemble des données par pays grâce à des rapports téléchargeables en version pdf. Le report Ofcom’s seventh International Communications Market a été publié le 13 Décembre 2012.

Comment Pixmania optimise ses investissements publicitaires digitaux Le site d'e-commerce cherche à affiner la prévision de ses résultats publicitaires Search, Social et Display. Il vient pour cela de mettre en place Adobe Media Optimizer. En difficulté depuis plusieurs mois, Pixmania a été amené à se recentrer sur son activité cœur de métier d'e-commerçant et s'est d'ailleurs séparé en février dernier de ses magasins physiques (lire l'article : Pixmania quitte douze pays et stoppe toute diversification). "Jusqu'à présent nous avions mis en place des outils internes pour assurer le suivi de nos campagnes et investissements publicitaires, mais il nous manquait un outil plus complet pour prévoir les impacts de nos investissements digitaux notamment dans l'achat de mots clés génériques, la longue traine et le search Products Listing Adds", explique François de Casson chez Pixmania. En 2012, Pixmania lance un appel d'offres auprès de plusieurs éditeurs : Marin Software, Kenshoo, Google DoubleClick et Adobe.

[Guest post] Logo, arnaques et crowdsourcing : ne jouez pas avec votre identité visuelle J’ai la chance au bureau de partager mes locaux avec de super startups. Et dans l’une d’elles, Mapado, se trouve travailler Christelle Mozzati (et ici sur Twitter), graphiste web-designer de talent. Et en plus de partager les locaux avec elle, j’ai un super plan : je vois directement ses écrans de là où je suis. Autant dire que mes yeux grignotent un peu de ce qu’elle fait, de comment elle travaille, et de ses inspirations. Connaissant mon penchant quasi maladif pour le beau design bien yummy yummy, j’ai aussi pas mal papoté avec elle, et on s’est bien poilés sur certains comportement « design », avec la question en toile de fond « jusqu’où une startup doit aller dans son design ? — plein de bonnes choses à en retirer pour vos logos et vos créations d’entreprises les amis ! 300 logos pour 7 euros ? Sauf que si on décortique… Une “source PSD” ? Des logos créés sur Photoshop, donc. Un logo, ce n’est pas pas un dessin tout fait qu’on colle à côté d’une typo qui nous plaît. 1. 2. 3. 4.

Retargeting : quoi de neuf chez Criteo ? Lors du Salon eMarketing qui s’est tenu à la Porte Maillot la semaine dernière Criteo était sur le devant de la scène. Lors d’une conférence dédiée au retargeting, Grégory Gazagne, son Directeur pour le marché européen a parlé Big Data et s’est prêté à quelques confidences sur ce qui se passe à l’intérieur de sa boîte noire. La société fondée par jean Baptiste Rudelle au milieu des années 2000 s’appuie sur un algorithme prédictif. Criteo enregistre un maximum d’informations sur le comportement de l’internaute aussi bien sur un site marchand qu’en dehors. Julien Simon, qui gère l’infrastructure, explique que Criteo s’appuie sur une cinquantaine d’experts en business intelligence. Pour son produit de bannière personnalisée, Criteo s’appuie sur plus de 300 templates. Chaque jour Criteo affiche un milliard de bannières, on comprend qu’il soit devenu le plus gros acheteurs d’audience chez son « ami » Google.

Comment répondre aux attentes du shopper connecté ? La digitalisation des points de vente physiques et le shopper connecté étaient le thème du second Retail Club organisé par Publicis Shopper, en partenariat avec le JDN. Si, selon les résultats d'un sondage Ipsos réalisé en avril 2013, 72% des Français préfèrent réaliser leurs courses en magasin plutôt que sur Internet, le réseau de distribution physique doit néanmoins faire face à la montée en puissance du e-commerce en France et s'adapter aux nouvelles exigences du shopper connecté. En effet, au regard des chiffres issus de la dernière étude CCM Benchmark, "Le commerce électronique en France", 65% des possesseurs de smartphone déclarent utiliser leur mobile en magasin physique. Les consommateurs sont donc en attente d'innovation de la part des distributeurs et cette innovation passe par la digitalisation du parcours client. L'amélioration de l'expérience en magasin peut se traduire par la réduction des temps d'attente grâce aux nouvelles technologies.

Les nouveautés publicitaires de Facebook pour se monétiser en 2013 Cet article a été publié il y a 1 an 3 mois 24 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. 2012 a marqué pour Facebook une étape décisive : son entrée en bourse (capitalisation à $100 milliards) et l’agressivité progressive de sa stratégie de monétisation, car tous les investissements liés à Facebook nécessitent une rentabilité. Petit récapitulatif de toutes les nouvelles offres publicitaires de Facebook, et de ce qui va se généraliser cette année. Comme Peter Deng, directeur produits de Facebook, l’annonçait lors de #LeWeb, la priorité est au mobile, et toutes les nouvelles fonctionnalités sont d’abord développées pour le mobile, avant d’être élargies à toutes les plateformes. On a donc des publicités directement dans le News Feed mobile : des contenus sponsorisés, des mises en avant de pages Facebook à liker, et des applications à télécharger. Aucun espace n’est pas commercial chez Facebook.

8 phrases de candidats qui ont convaincu les recruteurs Corporate, vous avez dit corporate ? « A ce point du parcours de recrutement, je sais que votre entreprise répond à mes attentes professionnelles et correspond à un modèle d’organisation qui me plait vraiment ! » Entendu en entretien par Marjane Mabrouk, manager chez Talan. La capacité d’initiative du jeune dip’ Entendu en entretien par Marie d’Haegeleer, DRH CEMA d’International SOS : « Après mes études, je suis parti un an en Australie par mes propres moyens pour améliorer mon anglais, m’exposer à des cultures différentes et mûrir mon projet professionnel. ». « Cette expérience de vie correspond à un état d’esprit et à des compétences qui correspondent aux valeurs de notre entreprise. La carte du travail d’équipe Entendu en entretien par Marjane Mabrouk, manager chez Talan : « J’ai passé trois entretiens avec des managers et des consultants de votre entreprise. "C'était l'un des arguments d'une jeune diplômée d’école d’ingénieur ne connaissant pas le métier de consultant.

Facebook publie ses résultats 2012, les investisseurs sont contents, quid des annonceurs ? Cette semaine nous assistons à la publication des résultats financiers des sociétés côtés au Nasdaq. Les performances des grands acteurs du web sont passées au peigne fin, les chiffres analysés dans les moindres détails. Cette année Facebook est de la partie et vient de publier ses chiffres pour l’année 2012 : Facebook Reports Fourth Quarter and Full Year 2012 Results. Autant le dire tout de suite : ces chiffres sont très impressionnants et démontrent un niveau d’activité jamais atteint, il convient néanmoins de les remettre en perspective dans un contexte incertain. Le bilan est donc mitigé et les marchés financiers ne s’y trompent pas, car le cours de l’action est en léger repli au moment où j’écris ces lignes. Une activité au plus haut en progression constante Si l’on regarde les chiffres présentés dans la nuit, 2012 a été une année faste pour Facebook. Une très bonne rentabilité, mais qui cache des faiblesses Concernant les résultats financiers :

The History of App Pricing, And Why Most Apps Are Free The History of App Pricing, And Why Most Apps Are Free Posted by Mary Ellen Gordon, PhD on Thu, Jul 18, 2013 Many consumer surveys point to an obvious conclusion: most people hate seeing ads on smartphones and tablets. In this post we explore that revealed preference for free content over content free of ads by examining four years worth of pricing information for the nearly 350,000 apps that use Flurry Analytics. Our Apps Tell A Story Each time we download an app, we reveal a little bit about ourselves. In many cases, apps are available in two forms: free (with ads) and paid (no ads). So what are consumers choosing? People Want Content To Be Free The chart below shows how the proportion of free versus paid apps has changed over the years in the App Store. Some might argue that this supports the idea that “content wants to be free”. Android Users Are Even Less Willing to Pay For Apps Up until now, we have focused on iOS apps because they have been around longer, but what about Android?

Le modèle de vente au CPM freine-t-il le développement des ad exchanges ? Malgré la complexité de son mécanisme d’enchères, acheteurs et vendeurs continuent d’investir dans le RTB. La tendance ne va pas ralentir demain, selon les experts. Néanmoins, une question se pose : le modèle d’achat et de vente via RTB est-il mauvais ? La solution à ce problème pourrait être de mesurer l’efficacité en fonction du CPA. Comme souvent, la réponse se situe un peu entre les deux.

Full Stack Marketing Full Stack Marketing A few days ago, Marcelo Calbucci, had a great post in Geekwire about the lack of great marketing minds in startups. For whatever reason marketing seems to be a second rate citizen in startup land. Most startups are sucking up as many engineers as possible, but delaying marketing help until after a significant funding round. And the startups that are trying to find marketing help tend to get inundated with “squishy b-school marketing” types rather than marketers that can traverse the full marketing stack. This lack of full stack marketers likely explains why most startups are waiting to hire marketing help. So I wanted to delve into what skills actually make a good full stack marketer. The 21 Skills of a Full Stack Marketer In no particular order these are the skills that I think would make a A+ marketing teammate at an early stage startup. Many of these skills overlap and many of the resources are about similar concepts as well. Where to learn SEO: SEOmoz, SEOBook 2. 3.

Tous les conseils pour rédiger un super executive summary Par Guilhem Bertholet Si vous jouez un jour votre projet sur quelques lignes d’un document Word (et si l’on enlève le cas des pactes d’associés), ce sera vraisemblablement sur un executive summary. Ce document, qui est en quelque sorte la bande annonce de votre projet, doit être préparé avec soin puisque, en quelques minutes, celui qui le lit se fera une idée de tout votre travail et jugera bon (ou pas) de vous accorder une chance de plus de le convaincre, via un rendez-vous ou la lecture de votre business-plan. Je dois recevoir quelques centaines d’executive summaries chaque année, et j’estime que le temps moyen passé sur chacun est de 2 minutes environ (tweetez cette stat !). Vous trouverez dans le doc ci-dessous (téléchargeable si vous vous créez un compte) tous les points principaux sur le sujet : ce que c’est qu’un executive summaryavec quels objectifs il faut le rédigerce qu’il faut y mettre dedansquelle tête il doit avoiret quelques conseils « no bullshit », comme à mon habitude

Trouver des clients en créant son propre « média pro » (aka « un blog ») Trouver des clients, se faire connaître, faire reconnaître son expertise, passer pour LE mec ou LA fille qu’il faut connaître dans son secteur d’activité… voire même être *appelé* par des journalistes ou être invité à parler dans des conférences… Voilà qui fait rêver pas mal d’entreprises, notamment les plus jeunes et les startups. Evidemment, le Web permet bien plus cela qu’auparavant, mais émerger et vraiment gagner durablement une place dans la tête et le coeur de vos prospects n’est pas si simple que cela. Depuis 14 ans (pfiou !!) Prendre la parole, en ayant une approche « Média » (par opposition au côté « je-ne-parle-que-de-moi-mes-exploits-ma-vie-mon-oeuvre-mes-communiqués-de-presse-mes-clients-qui-témoignent-ha-ha-ha »), se révèle sur le long terme souvent gagnant pour une entreprise / un entrepreneur. C’était hier à mon tour de plancher, donc, sur le thème « Bloguer pour trouver des clients« . Et voici les slides.

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