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Le Meilleur des mondes

Le Meilleur des mondes
Brave New World Le Meilleur des mondes (titre original : Brave New World) est un roman d'anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley. Il paraît en 1932. Huxley le rédige en quatre mois[1], à Sanary-sur-Mer, dans le sud de la France[2]. Vingt-cinq ans plus tard, Huxley publie un essai consacré à ce livre, Retour au meilleur des mondes, insistant notamment sur les évolutions du monde réel qu'il perçoit comme allant dangereusement vers celui décrit dans son ouvrage. Le roman figure à la 5e place dans la liste des cent meilleurs romans de langue anglaise du XXe siècle établie par la Modern Library en 1998[3]. Titre[modifier | modifier le code] Le personnage de John, le « Sauvage », reprend souvent cette phrase dans le roman (chap. 8, 11, 15). « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles » Contexte historique[modifier | modifier le code] Ce roman, écrit en 1931, a été publié en 1932. Argument[modifier | modifier le code] Chapitres 1 à 6. Chapitres 7 à 9. Related:  Les UtopiesAudiolivres, lectrices, lecteursDystopies et autres écrits à lire/consulter

1984 (roman) Le résumé qui suit utilise les noms et expressions proposés par Amélie Audiberti, première traductrice en France du roman. Winston Smith, 39 ans, habitant de Londres en Océania, est un employé du Parti extérieur, c'est-à-dire un membre de la « caste » intermédiaire du régime océanien, l'Angsoc. Winston officie au ministère de la Vérité, ou Miniver en novlangue. Son travail consiste à remanier les archives historiques afin de faire correspondre le passé à la version officielle du Parti. Toutefois, contrairement à la majeure partie de la population, Winston ne réussit point à pratiquer cette amnésie sélective et ne peut donc adhérer aux mensonges du Parti. Winston Smith servira également de prétexte dans la suite du roman pour exposer la société totalitaire qui l'entoure, les hommes qui y collaborent et ses ressorts les plus impitoyables. O’Brien leur fait parvenir « Le Livre » de Goldstein, l’ennemi du peuple et du Parti, objet de la haine et de la peur la plus intense en Océania.

Thibault de Montalembert Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Thibault de Montalembert en 2019. Thibault de Montalembert a été pensionnaire de la Comédie-Française de 1994 à 1996. Biographie[modifier | modifier le code] Issu de la famille de Montalembert, dont l'origine remonte à la première croisade, Thibault Charles Marie Septime de Montalembert est le dernier d'une fratrie de sept enfants. En 2007, il met en scène la Lettre au père de Franz Kafka au théâtre de la Bastille. Entre 2015 et 2020, il incarne l'agent artistique Mathias Barneville, dans les quatre saisons de la série Dix pour cent, rôle qui le fait connaître du grand public[2]. Vie privée[modifier | modifier le code] Thibault de Montalembert est divorcé d'Astrid de La Forest depuis 1989 et partage la vie de la comédienne Hélène Babu[4]. Théâtre[modifier | modifier le code] Comédien[modifier | modifier le code] Metteur en scène[modifier | modifier le code] 2007 : Lettre au père de Franz Kafka, avec Thierry de Peretti, Théâtre de la Bastille

Les Furtifs Dans un futur proche, le roman décrit la quête d'un père à la recherche de sa fille disparue, qu'il croit avoir été enlevée par les furtifs, des créatures à la grande vivacité et quasiment invisibles. Résumé[modifier | modifier le code] Les furtifs sont des êtres doués de capacités mimétiques extraordinaires, aimant se cacher dans les angles morts de la vision, métabolisant animaux, végétaux et minéraux pour mieux se fondre dans leur environnement. Tout être humain les ayant aperçus déclenche leur « céramisation », une forme de pétrification de leur corps qui empêche qu'on puisse les étudier. Personnages[modifier | modifier le code] Six personnages se relaient dans la trame narrative. À chacun d'entre eux correspond un symbole qui indique au lecteur un changement de narrateur et lui permet de savoir qui prend la parole dans le récit. Album musical[modifier | modifier le code] Concert-lecture Entrer dans la couleur avec Yan Péchin (2019). Phonophore[modifier | modifier le code]

Jean-Gabriel Ganascia : "La peur de l'intelligence artificielle est infondée" Jean-Gabriel Ganascia est chercheur au Laboratoire d'informatique de Paris 6. Il est aussi l'organisateur de la table-ronde Autonomous machines: what are the ethical issues ? qui s'est tenue le 10 juillet à l'ESOF 2018 de Toulouse. Sciences et Avenir : Qu'est-ce que l'intelligence artificielle (IA) ? Jean-Gabriel Ganascia : C'est d'abord une discipline scientifique, née au milieu des années 1950, qui vise à comprendre l'intelligence humaine à travers la simulation de toutes les fonctions cognitives qui y contribuent. Pouvez-vous donner des exemples ? Le ciblage des publicités sur le web, qui vous sont proposées en fonction de la manière dont vous naviguez, les prévisions météo, fondées sur des modèles complexes, le diagnostic médical sur image, comme celui du mélanome [cancer de la peau], les systèmes de reconnaissance des visages ou des empreintes digitales... Comment ? À la base, il y a des algorithmes. … et ainsi dépasser les aptitudes du cerveau humain.

Dystopie Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie ; l'auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) contemporaine[1]. De fait, la différence entre dystopie et utopie tient davantage à la forme littéraire et à l'intention de son auteur qu'au contenu : en effet, nombre d'utopies positives peuvent également se révéler effrayantes[2],[3],[4]. Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu'une dystopie est, par définition, la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales. Il existe cependant des contre-exemples et la critique est divisée quant aux relations entretenues entre la dystopie et les régimes politiques qu'elle vise. Étymologie du mot « dystopie »[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] — Zamiatine, Nous autres, p. 64 Ainsi :

Aldous Huxley Signature Aldous Huxley, né le 26 juillet 1894 à Godalming (Royaume-Uni) et mort le 22 novembre 1963 à Los Angeles (États-Unis), est un écrivain, romancier et philosophe britannique, membre de la famille Huxley. Il est diplômé du Balliol College de l'université d'Oxford avec une mention très bien en littérature anglaise. Auteur de près de cinquante ouvrages, il est surtout connu pour ses romans, dont Le Meilleur des mondes, roman d’anticipation dystopique, pour des ouvrages non romanesques, comme Les Portes de la perception, qui retrace les expériences vécues lors de la prise de drogue psychédélique, et pour un large éventail d'essais. Au début de sa carrière, Huxley a dirigé le magazine Oxford Poetry et publié des nouvelles et des poésies. Au milieu de sa carrière et plus tard, il a publié des récits de voyage et des scénarios cinématographiques. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code]

Nous autres Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Le roman est publié en russe à Paris en 1920, puis en Union soviétique. Mais la publication du livre est interdite en 1923. En butte à la censure stalinienne, qu'il critique implicitement dans ses ouvrages de fiction, Zamiatine s'exile à Paris en 1931. Résumé[modifier | modifier le code] Il s'agit du journal d'un homme du futur nommé « D-503 ». Comme dans la plupart des contre-utopies (ou dystopies), l'État unique décrit dans le roman est un État totalitaire qui prétend régir toutes les activités humaines (décrites avec précision dans la Table des heures) et faire le bonheur des gens au détriment de leurs libertés individuelles. Autour du livre : anecdotes et citations[modifier | modifier le code] Similitudes[modifier | modifier le code] Adaptation[modifier | modifier le code] Au cinéma[modifier | modifier le code] Nous autres a été adapté en court-métrage en 2016, à la façon de La Jetée de Chris Marker[2].

Sciences cognitives et Intelligence Artificielle L’histoire des sciences cognitives est relativement courte, mais son origine remonte à la naissance de la philosophie occidentale. Ces sciences ont évolué à partir de principaux courants scientifiques des temps modernes. Elles ont commencé à prendre forme avec la Gestalt theorie, une école de psychologie née au début du XXe siècle, qui considère que la perception est au centre de la cognition. Ses fondateurs ont fui en majorité le nazisme pour s’établir aux États-Unis. Certains y ont contribué à la naissance de la cybernétique, tandis que d’autres ont œuvré à la création de la psychologie sociale ou de l’éthologie cognitive. Les années 1950 voient l’émergence de cette branche dans un contexte scientifique très marqué par la naissance de l’informatique, ainsi que par le développement des techniques de traitement formel de l’information.

Utopia La page de titre de la première édition latine de 1516 annonce un Libellus vere aureus, nec minus salutaris quam festivus, de optimo reipublicae statu, deque nova Insula Utopia[n 2]. Entre décembre 1516 et novembre 1518, quatre éditions de l'Utopie furent composées par Érasme et Thomas More[2]. Ces quatre éditions sont toutes différentes : le texte de More n'est pas introduit de la même manière, l'île d'Utopie n'est pas abordée ni quittée dans les mêmes conditions. Le titre arrêté pour l'édition définitive de novembre 1518 est De optimo reipublicae statu, deque nova insula Utopia (La meilleure forme de communauté politique et la nouvelle Île d'Utopie)[n 3]. Adressé aux humanistes puis diffusé dans le cercle élargi des lettrés, à sa parution ce libelle est lu comme un appel à réformer la politique contemporaine et une invitation à observer sincèrement les préceptes chrétiens et aussi, pour les plus érudits d'entre eux, comme un serio ludere. Contexte[modifier | modifier le code] Politique

Lucien Giraudo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lucien Giraudo 2015 Lucien Giraudo, né le 14 août 1957 à Toulon, est spécialiste de la littérature française du XXe siècle et en particulier de l'œuvre de l'écrivain Michel Butor. Biographie[modifier | modifier le code] En 1979 il rencontre Michel Butor à la Faculté des Lettres de Nice. Il soutient sa thèse en mai 2003 à Paris VIII (Œuvres d'art et collaboration chez Michel Butor). Bibliographie[modifier | modifier le code] Travaux universitaires[modifier | modifier le code] Ce coffret comprend six CD audio d'entretiens de Michel Butor avec Lucien Giraudo sur la littérature française du Moyen Âge au XXe siècle, un DVD comprenant deux films réalisés par Jean-Lou Steinmann (1. Textes poétiques et livres d'artistes[modifier | modifier le code] Essais et analyses littéraires[modifier | modifier le code] Approches du jazz[modifier | modifier le code] Commissariat et présentation d'expositions[modifier | modifier le code]

Fahrenheit 451 Le titre fait référence au point d'auto-inflammation, en degrés Fahrenheit, du papier. Cette température équivaut à 232,8 °C. Résumé[modifier | modifier le code] Première partie : Le foyer et la salamandre de feu[modifier | modifier le code] Dans la nuit, le pompier Guy Montag est sur la route pour rentrer chez lui. Arrivé chez lui, il trouve sa compagne Mildred étendue sur le lit sans connaissance et à ses pieds gît un petit flacon de cristal vide : elle vient d'absorber son contenu, une trentaine de comprimés d'un somnifère. Le lendemain, elle ne se souvient plus de rien. Montag croise régulièrement Clarisse dans la rue. Depuis quatre jours, Montag ne voit plus Clarisse. Un peu à la traîne, Montag repart en mission. Le capitaine quitte leur maison en demandant à Montag de revenir travailler. Cette partie se termine alors qu'il vient de lire l'extrait d'un livre. Deuxième partie : Le tamis et le sable[modifier | modifier le code] Montag et Mildred continuent de lire. Denoël, coll.

Intelligence artificielle & cognition – Institut Cognition Intelligence artificielle & cognition Définition & Concept L’intelligence artificielle (ou IA) regroupe des techniques issues des mathématiques ou de l’informatique, ainsi que des concepts issus principalement des sciences humaines et sociales, permettant de créer des systèmes capables d’observer, d’apprendre, de raisonner et de prendre des décisions. L’émergence des sciences cognitives et la nécessité de créer des systèmes permettant la prise en compte de l’homme dans la conception des systèmes ont conduit à la mise en place de projets mélangeant IA et sciences de la cognition. Ces projets permettent donc d’articuler des modèles biologiques, biomécaniques et psychologiques de l’homme avec des données quantitatives collectées à travers des bases de données utilisateurs. Champ d’applications L’IA permet de relier raisonnement et capacités humaines à un environnement numérique. Exemple de projet

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