Sept lois à connaître pour être plus efficace au travail " La vie au travail comme à la maison, ne peut pas être mise en équation. Il y a pourtant des dizaines de lois empiriques qui la régissent sans que nous en prenions conscience. Mises à jour par des savants ou des praticiens, elles ont fait leurs preuves. En voici sept qui devraient aider le manager à bien s'organiser. 1. Définition : " Rien ne se passe jamais comme on l'a prévu ". Le pépin arrive toujours quand il ne faut pas et où il ne faut pas. >>> Faites de la paranoïa intelligente, dès que c'est important pour vous. 2. Définition : " Comme le gaz, le temps se dilate jusqu'à occuper la totalité de l'espace disponible ". Cette loi fondamentale s'applique à la gestion de son temps mais aussi de sa carrière et de sa vie. >>> Il faut donc borner son temps et celui des autres. 3. Définition : " Plus on dispose de place, moins on trie ". C'est une variante de la loi de Parkinson. >>> Restreignez vos zones de rangement. 4. >>> Inutile de gaspiller ses forces. 5. >>> Faites des pause. 6. 7.
S'organiser au travail : arrêter le multitasking pour être plus productif "Le cerveau n'est pas dessiné pour répondre aux multiples sollicitations du monde digital sursaturé d'informations instantanées." De qui ce constat ? D'un technophobe rétrograde ? Pas du tout. Il est dressé par un ancien ponte de Google, Douglas Merrill, ex-vice-président chargé des services d'information, et auteur de Getting Organized in the Google Era ("Soyez organisé à l'heure de Google", éditions Brodway Books). Ce livre d'efficacité personnelle, best-seller aux Etats-Unis, apprend aux cadres et employés à reprendre en main leur efficacité à l'heure où les joujoux high-tech multiplient les occasions de distraction et nuisent gravement à notre productivité ! Répondre au téléphone tout en écrivant un mail, converser avec un collaborateur tout en surfant sur le web pour vérifier une info, conduire en téléphonant... "Multitâche veut dire absence de concentration ! Dans la réaction aux infos plutôt que dans l'analyse Face aux tâches longues, le réflexe de remettre à plus tard > Smartphone
Cinq lois à connaître pour être efficace au travail (saison 2) " La vie, au travail comme à la maison, échappe à la logique mathématique. Mais il existe des lois empiriques, éprouvée par des scientifiques ou des praticiens, qui devraient aider le manager à mieux gérer son temps, son énergie et son équipe. Après les sept lois exposées dans la saison 1, en voici cinq autres dans notre saison 2 ! 1. Loi de Fraisse : la loi du temps soumis au plaisir et au déplaisir Définition : " Plus l'activité est captivante, plus elle parait brève Les minutes ralentissent ou s'accélèrent selon l'intérêt qu'on porte à la tâche. >>> Allouez un budget temps à chacun des dossiers que vous allez traiter, dès le matin, et ce que vous démarriez par les plus faciles ou les plus pénibles. 2. Définition : " L'utilité d'un réseau est proportionnelle au carré de ceux qui l'utilisent ". C'est l'effet levier des réseaux sociaux, mis en équation par le créateur d'Ethernet, Robert Metcalfe. 3. Définition : " Il y a un moment pour tout et un temps pour chaque chose ". 4. 5.
14 règles pour organiser son temps - Méthode NERAC Dans la multitude de méthodes pour bien gérer son temps, l’une d’elles se nomme NERAC. Simple et efficace, elle se distingue des autres méthodes par le fait qu’elle nous invite à prévoir l’imprévu. Pour savoir faire face aux imprévus, il est nécessaire de réserver une marge temporelle avant et/ou après une activité et la noter dans son agenda. En effet, avec l’augmentation du trafic, il est devenu normal d’anticiper les ralentissements lors d’un trajet en voiture. Pour vos activités principales, pensez aussi à la méthode NERAC et ajoutez, avant ou après, 1/3 du temps initialement planifié pour une tâche. Notez les activités à réaliser Chaque jour, se fixer un objectif précis avec des résultats à atteindre. Estimez la durée pour chaque activité Avoir une estimation des temps moyens nécessaires pour des activités principales. Réservez du temps pour les imprévus Concernant les tâches principales, réservez un tiers du temps pour les imprévus (Collègues, visites, téléphones).
Faire face à des insinuations désobligeantes. Partons d’un cas classique: Un collègue, arborant un sourire vous annonce à la cafétéria : « Je ne veux pas me mêler de ce qui me regarde pas. Mais ne penses tu pas que dans ton services les dysfonctions s’accumulent. Sans vouloir t’influencer, un autre à ta place réagirait. » L’emploi des négations, des questions interrogatives, du conditionnel,et de la comparaison avec un autre contactant de signes d’une insinuation désobligeante. Afin de faire face à ce type de jeu de pouvoir, voici 7 options, sachant qu’il est possible d’en inventer d’autres. - Ignorer : « Merci de me dire cela » ou « Que prends tu comme plat ? Le point commun de toutes ces options est que la meilleure façon de sortir d’un jeu de pouvoir est ne pas y rentrer.
Le processus stratégique - Réviser le cours - Management des organisations - Terminale STMG Face à la complexité de l'environnement, les organisations doivent mettre en place une stratégie. Les dirigeants fixent des objectifs à long terme pour orienter les actions des partenaires. Leurs choix doivent être le fruit d'une réflexion structurée autour du processus stratégique, afin d'aider les organisations à se différencier des autres. Cette stratégie doit être construite autour de la définition claire de la finalité de l'organisation. 1. • Les missions de l'organisation sont un ensemble d'activités répondant à sa finalité. • Les objectifs sont des résultats quantitatifs ou qualitatifs précis, à atteindre dans un délai déterminé. 2. • La stratégie est un terme emprunté au domaine militaire. 3. Il existe plusieurs manières de classer les différentes stratégies. • La première classification se fait autour de la question : quels domaines d'activité veut exploiter l'organisation ? • La seconde classification répond à la question : avec quels moyens ? 4. À retenir
untitled Organisation au travail | S'organiser, c'est facile C’est Nat qui pose cette question. En effet, retenir une liste de courses ou des choses à faire semble un exercice salutaire à qui se soucie de la vivacité de ses neurones. C’est exact, jusqu’à un certain point. D’abord, notre mémoire à court terme n’est capable de retenir, en moyenne que 5 à 9 items. Puis, il faut créer un sens à ce qu’on veut mémoriser (à l’aide d’images mentales, de rimes, d’associations…). Ensuite, pour que ces mots (ou chiffres, ou objets), restent en mémoire jusqu’à ce qu’on en ait besoin, il faut répéter et réviser. Autrement dit, pour mémoriser une liste de course composée de quelques éléments, il y aura un peu d’effort à déployer, mais pas vraiment de problème. Et quant à se souvenir au bon moment de toutes nos tâches, ce n’est guère mieux. C’est ici que la liste entre en jeu. Les enfants nous battent au jeu du mémory: ils sont plus attentifs Pour finir, si vous souhaitez entretenir votre mémoire, voici quelques attitudes à adopter (ou conserver): - jouer. J'aime :