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«Chacun sait»... rien (ou les ravages de la rhétorique)

C’est une ficelle bien connue des psychologues sociaux et des profs de marketing: qui veut faire ingurgiter un anaconda à autrui, doit d’abord lui faire avaler une couleuvre (une petite, puis une grosse, puis un cobra, un boa constrictor, etc.). La technique repose sur cette règle simple: si j’entends une proposition dont l’intensité d’aberration est n («entendre» au sens de: considérer que je puis la prendre au sérieux, éventuellement la discuter, et tenir son énonciateur pour un interlocuteur possible), je suis prêt à entendre une nouvelle proposition dont ce degré sera n+a (a étant 3, ou 4, etc., variant selon les sociétés et l’échelle de mesure). Donc, à force de couleuvres toutes plus aberrantes l’une que l’autre (n+2a, n+3a, etc.), on sera préparé à entendre cet énoncé de degré n+10a qui est tel que, quelques temps auparavant, on n’aurait jamais imaginé qu’il fût possible de le proférer sérieusement. Cette technique est excellemment employée par nos gouvernants. publicité 1. 2.

La canonisation libérale de Tocqueville: Amazon.fr: Claire Le Strat, Willy Pelletier Discours prononcé lors du transfert des cendres d’Alexandre Duma Discours prononcé lors du transfert des cendres d’Alexandre Dumas au Panthéon 30 novembre 2002 Alexandre DUMAS ! Avec vous, c’est l'enfance, ses heures de lecture savourées en secret, l’émotion, la passion, l'aventure, le panache qui entrent au Panthéon. Avec vous, nous avons été d'Artagnan, Monte Cristo ou Balsamo, chevauchant les routes de France, parcourant les champs de bataille, visitant palais et forteresses. Le dix-neuvième siècle avait deux ans quand il voyait naître deux enfants qui allaient incarner l’esprit de leur temps et donner à la France deux oeuvres qui se confondent avec elle. L’un était Victor HUGO. Fils de deux généraux de la Révolution, dont l'un n'était pas encore d'Empire et l'autre ne le serait jamais, ils reçurent tous deux la Liberté et l'amour de la France en héritage. La République, aujourd’hui, ne se contente pas de rendre les honneurs au génie d’Alexandre DUMAS. De tout cela, DUMAS n'aura que faire. Le combat romantique d’abord. Les combats politiques ensuite.

Commémoration de la Nakba du 10 mai 1981 sur Radio Brave Patrie Une génération plus tard, la France souffre encore des turpitudes mitterrandiennes dans tous les domaines : mœurs, sécurité, économie, culture... Malgré les titanesques efforts déployés depuis 2002, la plupart des spécialistes estiment que les plaies béantes du règne socialiste ne seront pas refermées avant la fin du second mandat de M. Sarkozy. Plus jamais ça ! A l’occasion du trentième anniversaire de la Catastrophe, la rédaction de Brave Patrie se mobilise pour vous accompagner dans le nécessaire devoir de mémoire qui empêchera la France de renouveler les erreurs du passé. Vous serez invités à témoigner en direct, aussi bien en nous appelant qu’en utilisant les outils modernes du Internet participatif (ICQ, bulletin boards, AOL). Ne ratez pas ce grand moment de radio, branchez-vous sur Radio BP dimanche soir !

Tables analytiques Chaque décision du Conseil constitutionnel est analysée par le secrétariat général qui rédige des abstrats, c'est-à-dire des résumés de chaque point jugé par une décision donnée. Ce résumé vient alimenter un document général ordonné selon un plan de classement thématique. Ce document, appelé « tables », présente ainsi toute la jurisprudence de façon synthétique et accessible par thème. Tables analytiques 1959-2013 - à jour au 1er avril 2014 (Document pdf de 18 Mo, nous vous conseillons de l'enregistrer sur votre poste : cliquer droit sur le lien, puis "enregistrer la cible du lien" - Voir aussi la vidéo "Mode d'emploi du site du Conseil constitutionnel", chapitre "Les tables analytiques") Tables analytiques de 2014 - à jour au 1er avril 2014 Tables analytiques de 2013 Tables analytiques de 2012 Tables analytiques de 2011 >> Voir aussi les tables analytiques en anglais (Analytical synopsis)

A response to the state of the union address, from the West Wing president | Jed Bartlet President Barack Obama delivers his State of the Union address before a joint session of Congress. Photograph: Saul Loeb/Pool/EPA • After watching last night's state of the union speech, we began to wonder what the great president Jed Bartlet from the television programme The West Wing would have to say about the debate. Unfortunately, the former president and Nobel prize winner for economics is fictional, and therefore generally unable to comment on such matters. The state of the union is one of anger. We hear a lot about the high level of partisanship in Washington from congressmen and pundits who are positively phototactic. But these are not the real issues we are facing. We need to get kids interested in education again. Today there will be a lot of discussion about how well the president did. The paper is blank. The union is angry because, for many Americans, the state of our union needs improving and they have little to no hope that their leaders will take action.

State of the union 2012: full transcript of President Obama's speech | World news Remarks of President Barack Obama – As Prepared for Delivery"An America Built to Last" Mr Speaker, Mr Vice President, members of Congress, distinguished guests, and fellow Americans: Last month, I went to Andrews Air Force Base and welcomed home some of our last troops to serve in Iraq. Together, we offered a final, proud salute to the colors under which more than a million of our fellow citizens fought – and several thousand gave their lives. We gather tonight knowing that this generation of heroes has made theUnited States safer and more respected around the world. These achievements are a testament to the courage, selflessness, andteamwork of America's Armed Forces. Imagine what we could accomplish if we followed their example. We can do this. The two of them shared the optimism of a Nation that had triumphedover a depression and fascism. The defining issue of our time is how to keep that promise alive. Let's remember how we got here. In 2008, the house of cards collapsed.

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