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Acta Alga révolutionne le biocarburant de microalgues

Acta Alga révolutionne le biocarburant de microalgues
Acta Alga est une jeune société française qui a frappé un grand coup : elle a réussi à mettre au point brevet de production de carburants à l’aide de microalgues deux fois plus efficace que les méthodes existant jusqu’alors. Elle est peut-être un futur géant du secteur ? Le rendement qu’a réussi à atteindre Acta Alga dans la production de biocarburant à base d’algues est inégalé dans le monde : 20 000 litres de carburant par hectare pour une hauteur d’eau de 1 mètre. Ce résultat est loin d’être le fruit du hasard. Un projet d’avenir qui concrétise la vision et l’acharnement d’un entrepreneur aguerri, Michel Conin. Un brevet qui concrétise une recherche pointue Michel Conin, homme d’affaires aux multiples expériences, a créé Acta Alga dès 2008, persuadé de l’immense potentiel des microalgues tant sur le terrain énergétique qu’alimentaire. Exploiter le potentiel des microalgues Produire 1 litre de biocarburant consomme 50 fois moins de surface avec des algues qu’avec du colza. Related:  zigue

Ennesys, cultiver des micro-algues pour produire de l’énergie Interview de Christine GRIMAULT, Directrice du développement chez Ennesys, publiée dans le Lettre du pôle de compétitivité Trimatec n°17 de Juin 2013 Quelle est l’activité d’Ennesys ? Notre métier est de cultiver des micro-algues pour produire de l’énergie en dépolluant les eaux usées, grâce à des éco-systèmes que nous installons sur les bâtiments ou industries rejetant des eaux polluées. Quand la société a t-elle été créée et quel est son effectif ? Ennesys a été créée en septembre 2010. L’équipe est actuellement composée des trois associés fondateurs, de 3 ingénieurs système, 1 ingénieur biologiste et de stagiaires et s’appuie sur un comité stratégique composé d’experts tels le Docteur Rhadidja Romari ou Philippe Hachin, directeur immobilier d’Areva. Quels principaux marchés sont adressés par Ennesys ? Nous visons deux marchés prioritaires : celui du bâtiment à énergie positive et celui du traitement local des eaux polluées. Quels objectifs de développement se donne Ennesys ?

Global et Local Parmi les projets d’énergies marines labellisés par le Pôle Mer Bretagne depuis quelques mois et dont j’entame aujourd’hui de lister les plus intéressants (ma semaine de questionnement breton en somme !), j’ai choisi de présenter aux lecteurs de ce blog le projet SAFEOIL qui est loin d’être un scoop puisqu’il a été révélé au public il y a tout juste un an, mais dont on a plus beaucoup entendu reparler depuis lors Il s’agit d’un projet de production de biocarburant à partir de micro-algues marines cultivées dans d’anciennes carrières de kaolin. Les algo carburants faisant en ce moment l’objet de campagnes bizarres à coup d’absurdités invérifiables, il n’est pas inutile d’insister sur l’état des recherches en cours dans ce domaine (surtout en France où l’opposition de certains lobbies aux algo carburants semble être plus vive que partout ailleurs dans le monde). Les articles signalés ici procèdent du choix de la Rédaction.

Suède : projet d'une ville "zéro énergie fossile" à Boras La Suède fait partie, avec la France, des pays européens, dont la production électrique est la moins émettrice de CO2 grâce à un mix qui accorde une part réduite au thermique (13%). La ville de Boras, À 60 km de Göteborg souhaite aller plus loin en devenant une ville “zéro énergie fossile”, en développant notamment les énergies renouvelables telles que l’hydro-électricité et la biomasse. Boras, ville pionnière Pourquoi cette ville suédoise de 105 000 habitants connaissant des hivers rudes et enneigés s’est lancé le pari d’alimenter son réseau de chaleur, d’électricité, de transports …sans avoir recours ni au gaz, ni au charbon, ni au pétrole ? Boras, située à 60 kilomètres de Göteborg, est en réalité une ville pionnière dans le domaine des énergies renouvelables et des solutions innovantes. En 1959, la ville a ainsi inauguré le premier réseau de chaleur en Suède alimenté par la centrale de Ryaverket et distribué par plus de 350 km de canalisations enterrées.

Hydroponie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un chercheur de la NASA vérifie les oignons hydroponiques : à sa gauche se trouve de la laitue Bibb et à sa droite des radis. Photo d'un plant de bananier dans le potager hydroponique HydroTown. Récolte de poivrons sur le potager hydroponique HydroTown. Culture hydroponique de tomates (hybrides de Black Macigno), Sardaigne, Italie Variante de culture hydroponique de tomates, sur ballot (hybrides de Black Macigno), Sardaigne, Italie L’hydroponie ou culture hydroponique (ou agriculture hors-sol), du grec πονος (ponos, « le travail » ou « l'effort ») et ὕδωρ (hudōr, « l'eau »), est la culture de plantes réalisée sur un substrat neutre et inerte (de type sable, pouzzolane, billes d'argile, laine de roche etc.). La culture hydroponique est très présente en horticulture et dans la culture forcée de certains légumes sous serre. L'état sanitaire de ces cultures est contrôlé par des pesticides ou produits phytosanitaires.

Algosource cultive le talent des micro-algues Recyclage de déchets, biocarburants, liants routiers... Les micro-algues sont pleines de promesses. Reste à passer de la théorie à la production. C'est la mission d'Algosource Technologies, la nouvelle start-up d'Olivier Lépine, créée en 2008 à Saint-Nazaire, sur fonds propres, avec trois associés. Algosource Technologies développe des photobioréacteurs plus performants pour la production de micro-algues. La directive européenne du 2009/28/CE du 23 avril 2009 inscrit, pour 2020, 20 % de réduction des émissions de GES et 20 % d'énergies renouvelables dans la consommation totale d'énergie pour l'Union européenne.

Une Canadienne de 15 ans invente une lampe torche alimentée par la chaleur de la main Ann Makosinski, une jeune Canadienne de 15 ans a inventé une lampe torche qui ne nécessite ni pile, ni chargeur. L’énergie provient de la chaleur de votre main, une source d’énergie gratuite et inépuisable. Baptisée Hollow Flashlight, la nouvelle lampe torche pourrait ouvrir des perspectives dans les pays qui ne disposent pas encore d’un réseau électrique. Le principe de cette lampe repose sur l’effet Peltier, ou effet thermoélectrique. « Il y a plusieurs paires de métaux prises en sandwich entre deux plaques de céramique. La lampe sera produite pour un montant de 25 dollars et pourrait permettre de créer bien d’autres systèmes qui ne nécessiteraient plus d’êtres fournis en électricité. « Je pense qu’il existe un réel potentiel pour les appareils d’urgence, les kits médicaux. La vidéo de présentation (en anglais) de la Hollow Flashlight Source : Courant Positif

Béa Johnson: le nouveau messie de l'écologie Elle arrive pieds nus, mince comme une brindille, sexy dans une grande chemise d’homme noire, les cheveux mouillés. Elle sort de la douche et nous ouvre la porte vitrée de sa maison. A Mill Valley, village chic au nord de San Francisco, des médias, elle en a vu défiler. Depuis qu’elle a lancé son blog «Zerowastehome» en 2010, ils sont tous venus l’interviewer : le «New York Times», «USA Today», «Sunset», «NBC», «People Magazine», le «Huffington Post»… Avec Scott, son mari et leurs garçons Max et Léo, elle a aussi été starisée dans des talk-shows télé. Et a convaincu des milliers d’adeptes de suivre ses préceptes à la lettre. «Ça me fait super plaisir que les Français s’intéressent à ma démarche!» Le modèle «zéro déchets», un ascétisme chic Ces derniers temps, elle reçoit tellement de sollicitations qu’elle a pris un agent. Béa Johnson a répondu aux questions de Paris Match. Paris Match. Vous considérez-vous comme une écologiste ? «Le recyclage est le dernier recours»

Des micro-algues au pétrole bleu La culture du phytoplancton et plus précisément des cyanobactéries en est à ses balbutiements, mais c’est l’un des domaines les plus prometteurs de la révolution des biotechnologies. Ces organismes microscopiques unicellulaires se développent selon un processus photosynthétique comparable à celui des plantes, qui en fait de minuscules usines biochimiques. Dans la nature, ils participent à la régulation du CO2. Le phytoplancton marin est responsable de plus de la moitié de la fixation totale du CO2 sur notre planète, et les cyanobactéries, qui comptent parmi les formes vivantes les plus anciennes, furent même à l’origine d’un phénomène connu sous le nom de grande oxydation, il y a environ 2,4 milliards d’années : une crise climatique inverse de celle qui nous menace aujourd’hui, avec un déséquilibrage de l’atmosphère au profit de l’oxygène. Le rythme de développement des micro-algues est sensiblement supérieur à celui de la plupart des plantes terrestres.

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