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La bédéthèque idéale - Télérama

La bédéthèque idéale - Télérama
La bédéthèque idéale #86 : les variations de Sandrine Revel sur Glenn Gould Passionnée de jazz et fascinée par le pianiste, Sandrine Revel lui consacre des planches envoûtantes. Complexité de l'homme, chevauchement entre passé et présent, découpage rythmique. La bédéthèque idéale #85 : “La République du catch”, Nicolas de Crécy au pays du Soleil-Levant Le dessinateur fait se croiser l’univers de la BD et celui du manga pour un album qui sort simultanément en France et au Japon. La bédéthèque idéale #84 : “Sauvage”, un destin plus vrai que nature par Gaëlle Hersent Enfant inuite confiée à une famille française au XVIIIe siècle, Marie-Angélique Le Blanc retournera à la vie sauvage avant de retrouver une vie mondaine. La bédéthèque idéale : sur les pas de l’“Homme de joie” de Régis Hautière et David François Années 1930. La bédéthèque idéale #82 : Alexis Laumaillé concocte une “Folle Cuisine” aux saveurs délirantes La bédéthèque idéale #80 : sur “L’Ile aux femmes”, Zanzim se fait un grand strip Related:  BDBD

BD Jeunesse : quoi de neuf ? Jeanne- Chabane Merwan, Bertrand Gatignol- Dargaud, 2012 Jeanne vit avec son ami renard, Pistouvi, en haut d'un très grand arbre. Dans ce monde onirique, la déesse du vent sème généreusement graines et plantes tandis qu'un homme-tracteur fauche et taille sans relâche cette jungle végétale. Jeanne et Pistouvi auraient tout pour être heureux si des oiseaux chanteurs ne menaçaient de transformer le renard en l'un des leurs. Un conte émouvant et poétique sur le passage de l'enfance à l'âge adulte. Jeanne est une superbe version couleurs de cette histoire également publiée en noir et blanc, en format manga, sous le titre Pistouvi. Powa- Ben Fiquet- Delcourt, 2010 Nathan est un lycéen mal dans sa peau mais voilà qu'une fée lui fait une proposition fantastique : celle de disposer chaque jour du pouvoir magique de son choix.

La Ribambulle L’association La Ribambulle a pour but de promouvoir la bande dessinée à travers des médias dont le site la-ribambulle.com, sa web-tv, ses produits dérivés et diverses manifestations auxquelles elle participe. Le siège social de l’association est basé en Eure-et-Loir, à Blévy plus précisément, depuis le mois d’août 2013 après avoir été basée 7 années en Seine-et-Marne. En 2014, l’association comptait plus de 150 adhérents résidant principalement en France mais également dans les pays francophones. La boutique de l’association est reconnue pour la qualité de ses produits depuis de nombreuses années, que ce soient les ex-libris, les cartes postales ou bien encore les timbres qui rencontrent un fort succès auprès des collectionneurs. L’historique par date 2006 Novembre : Festival de Vigneux-sur-Seine (91) – participation Juin : Festival de Lyon (69) – participation Mai : Création de l’association BDE-Bulle d’Encre

La BD, une idée fixe pour le cinéma Chaque année sortent une vingtaine de long-métrages tirés d’albums. Le Festival d’Angoulême célèbre ces noces avec une exposition dédiée à « Valérian », en amont du blockbuster annoncé de Luc Besson. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Frédéric Potet Y échapper sera impossible. Tout aura été fait pour alimenter le buzz en amont. L’installation mettra en perspective des « contenus » exclusifs du film (extraits, costumes…) et des planches de la BD dont celui-ci est tiré, Valérian et Laureline, de Pierre Christin (scénario) et Jean-Claude Mézières (dessin). C’est ce dernier qui suggéra à Luc Besson, sur le tournage du Cinquième Elément (1997), où figurent de nombreux emprunts à Valérian (notamment des voitures volantes), que soit adapté à l’écran son space opera de papier. Une longue histoire commune Que le Festival d’Angoulême participe à l’accompagnement d’un événement n’appartenant qu’indirectement à sa sphère n’est...

sans titre P ar une triste matinée pluvieuse, en ce début des années 1970, un vieil homme déambule dans son appartement solitaire, quand son regard se pose sur un court manuscrit publié quelques vingt-cinq ans plus tôt : Jour de mes dix ans, par Albert Cohen. Aussitôt, les souvenirs jaillissent, les images déferlent dans l’esprit de l’écrivain, le renvoyant irrémédiablement à ce jour d’août 1905. Ce jour fondateur où son innocence enfantine s’était pulvérisée sur le mur de la haine antisémite – qui revêtait pour l’occasion les traits carnassiers d’un camelot de la Canebière. C’est un bien subtil procédé qu’utilise Luz pour immerger le lecteur dans les pensées de son personnage, faire revivre ce traumatisme de l’enfant à travers le regard du vieillard qu’il est devenu, alterner les scènes contemporaines et passées, souvent, les superposer, parfois, faisant se répondre les deux émanations du héros en un pénétrant – quoique souvent muet – dialogue par-delà les époques. Par O.

Bande Dessinée Info Ode à la pensée visuelle C’est une expérience de lecture inédite. Le Déploiement est « une authentique curiosité, un traité philosophique en forme de bande dessinée », écrit Douglas Wolk dans les colonnes du New York Times au sujet de cet ovni littéraire né du crayon du dessinateur Nick Sousanis. L’ouvrage est tiré de la toute première thèse de doctorat entièrement rédigée en bande dessinée, et soutenue par l’auteur à l’université de Columbia en 2014. Dans cette incroyable épopée scientifique, entre sémiologie et épistémologie, Sousanis s’intéresse aux limites de notre système perceptif, à la pensée visuelle et aux moyens que nous avons de dépasser nos conditionnements pour appréhender le monde de façon « multimodale », en alliant texte et image. Découvrez la Booksletter ! Inscrivez-vous à la Booksletter et bénéficiez d'un mois d'abonnement Web gratuit !

The Whites, Richard Price, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Jacques Martinache Chaque nuit, les flics du NYPD arpentent les rues de Manhattan, zone de combat où se noient les oubliés. L'écrivain leur redonne vie dans un roman haletant. C'est un roman en noir et blanc. Une série d'instantanés taillés dans le vif des rues de Manhattan, entre 1 heure et 8 heures du matin. Urgences hospitalières. Depuis l'origine, la rue est le terrain de jeu de ce descendant d'immigrés juifs d'Europe de l'Est, né et ayant grandi dans une cité HLM du Bronx, et qui publie, en 1974, à 24 ans, son premier roman, Les Seigneurs, un hommage revendiqué à Hubert Selby Jr, chronique violente et chaotique d'une bande d'adolescents italo-américains en rivalité avec d'autres, noires ou irlandaises. La rue est encore une fois le territoire électrique de ce nouvel opus, parcourue chaque nuit toutes sirènes hurlantes par Billy Graves et son équipe, en prise et aux prises avec elle, d'une rixe d'ados au cadavre d'une junkie, « allongée par terre sur le dos, comme une étoile de mer ». Michel Abescat

L'AVIS DES BULLES | Le Mensuel critique de la bande dessinée Le capitaine Haddock et les Dupondt : à chaque personnage son langage “Cela ne fait pas l’oncle d’un doute” : si le capitaine Haddock défie le langage par ses jurons fantaisistes et farfelus, les Dupondt sont quant à eux de fins rhétoriciens. Exploration du langage de l’oeuvre d’Hergé, aussi graphique que littéraire. Si la bande dessinée est souvent envisagée dans sa dimension graphique, le texte chez Hergé tient une place fondamentale. Dans un même mouvement de crayon, Hergé fait naître les dessins et les dialogues. Dupont et Dupond : vous avez dit tautologique ? “Je dirais même plus”, les Dupondt manient habilement le langage et les figures de style. “Le chiasme est une figure très belle qui prouve que les Dupondt sont une créature de la syntaxe. Écouter L'arsenal rhétorique des Dupondt expliqué par Albert Algoud Durée : 3'55 Les jurons du capitaine Haddock Dans un genre tout différent, le capitaine Haddock défie le langage avec ses fameux jurons qui regorgent d'inventivité. Mondes langagiers Benoit Peteers évoque le langage des personnages d'Hergé

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