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Voyager grâce au wwoofing, partir à l’étranger en tant que wwoofer

Voyager grâce au wwoofing, partir à l’étranger en tant que wwoofer
Wwoofing, wwoofer, wwoof… Il ne s’agit ni d’une nouvelle langue, ni d’une nouvelle conjugaison. Le wwoofing est un mouvement a qui débuté en Angleterre en 1971 et qui, dès lors, s’est progressivement développé dans le monde entier. Le concept ? L’échange de services ! Un hôte, qui pratique l’agriculture biologique offre hébergement et repas à un wwoofer qui lui va contribuer à la vie de la ferme en effectuant quotidiennement quelques heures de travail agricole. Le principe du wwoofing Le wwoofing est avant tout un échange culturel ainsi qu’un partage de savoir-faire. Tout travail mérite... gîte et couvert ! Le wwoofer est un volontaire qui s’engage à aider l’hôte qui l’accueillera : horaires et jours de repos sont à définir au préalable mais en moyenne, il s’agit de travailler entre cinq et six heures par jour. Une expérience ouverte à tous Nul besoin d’un cv pour wwoofer ! Wwoofer aux quatre coins du monde Sur le vieux continent… … et ailleurs Wwoofez ! Devenir wwoofer

Le WWOOFing, une pratique sans statut juridique Qu'est-ce que le WWOOFing ? Le WWOOFing (World-Wide Opportunities on Organic Farms) ou WOOFing consiste à accueillir sur des exploitations agricoles ou biologiques des personnes majeures qui bénéficient d'un logement et de nourriture en contrepartie d'une participation aux activités de l'exploitation. En France, le WWOOFing est géré par l'association "WWOOF France", qui propose de mettre en relation des exploitants agricoles (hôtes WWOOF) et des membres de l'association (WWOOFers) souhaitant être accueillis dans une exploitation agricole pour une durée déterminée. Quel statut pour le WWOOFer ? Le WWOOFing ne correspond pas, en tant que tel, à aucun statut légal en particulier en France. Le WWOOFer n'est pas un salarié, n'est pas rémunéré et n'a aucune obligation de rentabilité ou de subordination. En France, le WWOOFing présente le risque d'être considéré comme du travail dissimulé et donc illégal. Le WWOOFing ne peut être qualifié de travail bénévole ou de service d'entraide agricole.

<Wwoofing en Nouvelle-Zélande (woofing), blog, récit de voyage, helpx (helpexchange), astuces, bons plans, bonnes adresses, ...> Témoignages : Le WWOOFING : Dossier pratique de voyage Laura, sept mois de wwoofing en Australie « Je suis partie sept mois en Australie et, grâce au wwoofing, j’ai vécu dans onze fermes. Pour moi, c’était un moyen de rester active, de nouer des rencontres et de ne pas dépasser mon budget restreint. Je souhaitais aussi apprendre l’anglais : avec le wwoofing, j’étais sûre de communiquer avec des Australiens ! J’ai découvert l’apiculture, cueilli des noix de pécan, pêché des crabes, vécu dans une ferme de crocodiles, jardiné, débroussaillé, creusé… À part à deux reprises, où les wwoofers étaient exploités, je suis toujours bien tombée, chez des gens qui avaient envie de partager leurs connaissances et de me faire découvrir leur région. Le wwoofing m’a permis de découvrir des régions reculées, loin des sentiers battus, que je n’aurais jamais visitées autrement. Florence, six mois de wwoofing au Japon et en Afrique du Sud « C’est une amie qui m’a parlé du wwoofing et m’a convaincue de tenter l’expérience.

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