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Surréalisme : tableaux de Miro - Lam - Masson - Ernst - Magritte - Tanguy

Surréalisme : tableaux de Miro - Lam - Masson - Ernst - Magritte - Tanguy
 Éternels Éclairs Définition du mouvement : Le Surréalisme est un mouvement artistique qu'André Breton définit dans le premier " Manifeste du Surréalisme " comme « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. [...] Il repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie ». Le mouvement surréaliste repose donc sur la volonté de libérer l'homme des morales qui le contraignent et des académismes qui l'empêchent d'agir, c'est-à-dire qui nuisent à la force créatrice. Centre Pompidou Euclide, par Max Ernst Related:  ARTS

Tatoueurs Tatoués | Quai Branly C'est le tatau polynésien, observé au XVIIIe siècle par l'équipage du capitaine Cook qui a donné son nom au tatouage. C'est devenu une forme artistique et un phénomène global. Le tatouage est fait d'échanges entre les pays, entre courants marginaux et dominants. L'histoire globale du tatouage est celle d'un ensemble de gestes techniques, d'outils, de pigments, de procédés figuratifs destinés au marquage du corps. Les premiers tatouages (3500-3100 av. Au Japon, l'irezumi a une longue tradition, il connait son apogée au XVIIIe s. avec Le roman au bord de l'eau, les aventures de 108 bandits couverts de tatouage; le tatouage traditionnel recouvre tout ou partie du corps. En Europe la pratique est réprimée par le christianisme, elle est cependant adopté par les Croisés et les Chrétiens en Terre sainte et perdure surtout comme marquage criminel.

Les 50 meilleurs sites d’artistes, un dossier de Beaux Arts magazine Dans son édition de février 2011, le magazine papier Beaux Arts Magazine consacre un dossier de 11 pages sur l’Art et le Web « Les 50 meilleurs sites d’artistes » avec des repères pour découvrir des espaces Web où les oeuvres sont présentées avec choix et également sur la manière d’exposer sur le Web. C’est d’abord à une interrogation sur comment les artistes utilisent le Web aujourd’hui ? Quels types de sites créent-ils ? Y a-t-il un autoportrait de l’artiste sur l’Internet ? Ce dossier « Les 50 meilleurs sites d’artistes » est chapitré en 6 parties en fonction du choix des éditeurs des mêmes sites : 1. C’est le cas de feu le peintre californien Ed Ruscha avec un site qui s’étoffe progressivement et une section « Missing » où sont lancés des avis de recherche d’oeuvres. 2. 3. Ces espaces Web reconstruisent l’univers créatif de l’artiste : l’atelier et les coulisses de la création. 4. Là ou le site est une oeuvre à part entière, c’est l’objet même de cette catégorie. 5. 6. Licence :

Jack Kirby American comic book artist, writer, and editor (1917–1994) Jack Kirby[1] (born Jacob Kurtzberg; August 28, 1917 – February 6, 1994) was an American comic book artist, writer and editor, widely regarded as one of the medium's major innovators and one of its most prolific and influential creators. He grew up in New York City and learned to draw cartoon figures by tracing characters from comic strips and editorial cartoons. He entered the nascent comics industry in the 1930s, drawing various comics features under different pen names, including Jack Curtiss, before ultimately settling on Jack Kirby. Kirby was married to Rosalind Goldstein in 1942. Early life (1917–1935)[edit] At age 14, Kirby enrolled at the Pratt Institute in Brooklyn, leaving after a week. Career[edit] Entry into comics (1936–1940)[edit] Around that time, the American comic book industry was booming. Partnership with Joe Simon[edit] World War II (1943–1945)[edit] Postwar career (1946–1955)[edit] Young Romance #1 (Oct. 1947).

La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix Contexte historique Charles X, et son impopulaire ministre, le prince de Polignac, remettent en cause les acquis de la Révolution. L’opposition libérale, par le biais du journal Le National, prépare son remplacement par le duc Louis-Philippe d’Orléans. A la session de la Chambre le 2 mars 1830, Charles X menace de sévir. Les députés, par l’“ adresse des 221 ”, refusent de collaborer. Analyse de l'image Achevé en décembre, le tableau est exposé au Salon de mai 1831. C’est l’assaut final. L’action s’élève en pyramide, selon deux plans : figures horizontales à la base et verticales, gros plan faisant saillie sur le fond flou. La liberté Elle remplace d’Arcole. Les gamins de Paris Ils se sont engagés spontanément dans le combat. L’homme au béret Il porte la cocarde blanche des monarchistes et le nœud de ruban rouge des libéraux. L’homme au chapeau haut de forme, à genoux Est-ce un bourgeois ou un citadin à la mode ? L’homme au foulard noué sur la tête Les soldats Le paysage

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